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<span style="color:red">'''Documents divers EXTERNES, de personnes impliquées dans l'affaire Ummo ou d'origine incertaine, ayant un lien qui peut être parfois ténu.<span style="color:red">
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<span style="color:red">'''ATTENTION, NOUS N'AVONS JAMAIS PRÉTENDU QUE CES DOCUMENTS SAUVEGARDES SONT D'ORIGINE OUMMAINE; NOUS FAISONS ICI OEUVRE D'ARCHIVISTES'''<span style="color:red">
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'''Comment BUAWA définit l'OEBUMAOEMMII (27-02-2020)'''
 
'''Comment BUAWA définit l'OEBUMAOEMMII (27-02-2020)'''
(Troisième texte publié par Yatesbury sur le blog FutEnFol)
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(Troisième texte publié par Yatesbury sur le blog FutEnFol en réponse aux questions posées)
Voir https://ummo-ciencias.org/otrostextos/Unio%20Mentalis/YATESBURY%20200227.html
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Voir https://ummo-ciencias.org/otrostextos/Unio%20Mentalis/YATESBURY%20200227.html  
   
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::L’une de vos questions concerne la contradiction apparente suivante :
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'' "À ce sujet, on notera un passage peu clair de la D41-15 : " Il ne serait pas du tout, non plus, correct de dire que le BUUAWEA [l’âme] “fait” tout cela d’un seul coup pour toujours et en un instant, mais cette dernière manière de nous expliquer, sans employer un lexique technique de UMMO presque intraduisible, est la plus efficace. WOA [le dieu des ummites] concède à l’âme une prérogative qui est transcendante
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ELLE PEUT MODIFIER UNE FOIS POUR TOUTES LA FORME DE L’OEBUMAOEMII (HOMME-PHYSIQUE : ESPACE-TEMPS)" 
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Ne s’agirait-il pas de comprendre que l’âme peut revoir instantanément tout le trajet de l’homme boudin et ceci plusieurs fois au cours de notre vie ? Là, on comprendrait clairement que notre intention pourrait modifier notre futur. Mais modifier le futur implique de modifier d’autres hommes boudins et pourquoi pas le passé… Nous en serions complètement inconscients puisque notre niveau de conscience est prisonnier du présent.
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Comme si cela n’était pas déjà assez compliqué comme cela, les ummites font intervenir une conscience collective, qu’ils appellent BUUAWUA BIAEEII et que les passionnés nomment communément BB. "''
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(source : https://futurenfolie.blogspot.com/2020/02/synchronicites-et-retrocausalite-lien.html )
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::Pour comprendre cet étrange paradoxe, vous pouvez utiliser l’analogie des systèmes chaotiques et des attracteurs étranges plutôt nommés « ensembles-limites », terme plus adéquat, comme vous le constaterez.
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::Il s’agit d’un concept intrinsèque à la théorie du chaos qu’il faut définir précisément afin de comprendre ses propriétés singulières et ce qu’elles impliquent pour les systèmes chaotiques.
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::Le terme « attracteur », comportant la notion « d’attirance », peut induire une mauvaise interprétation de ce concept mathématique.
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::Le qualificatif « étrange » fait référence à la forme particulière et complexe des ensembles-limites décrivant la trajectoire des systèmes chaotiques au cours du temps.
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::L’ensemble-limite est une figure abstraite qui représente le visage mystérieux de l’évolution d’un système chaotique sur le long terme. L’attracteur ne peut être visualisé qu’au sein de ce que les physiciens appellent « l’espace des phases ». L’espace des phases est également un concept abstrait. Il peut être défini comme étant un repère dont les axes (qui représentent les dimensions) expriment les différentes variables que l’on choisit d’étudier. L’une de ces variables sera généralement le temps. En effet, la dimension temps permet de suivre l’évolution dynamique d’un système. Il est aussi possible d’étudier la position d’un mobile dans l’espace, ainsi que sa vitesse, ou encore son accélération. Chaque point tracé dans cet espace représentera le statut ou la position précise du système à un moment donné. Ainsi, au fil du temps seront obtenus une multitude de points dessinant des trajectoires apparemment aléatoires dans l’espace des phases (qui n’est autre qu’une « carte imaginaire ») mais d’où émergera finalement, après un certain temps, une forme mystérieuse et immuable propre au système.
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::Cette figure, qui peut avoir une infinité de visages en fonction du système et des variables étudiées, regroupera tous les points ou toutes les trajectoires incarnant l’évolution du système à chaque instant. En outre, jamais vous ne verrez de trajectoires se chevaucher (propriété fractale) ni « sortir » de ce périmètre en s’égarant à l’extérieur de cet ensemble-limite. Elles semblent, en effet, comme « attirées » par cet ensemble paraissant « retenir » leur éparpillement aléatoire. C’est pourquoi il est appelé « attracteur étrange ».
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::Le concept d’attracteur est connu depuis longtemps par les scientifiques. En effet, un attracteur pratique à étudier est celui du pendule simple. Son espace des phases se réduit à l’étude de deux variables : sa position et sa vitesse. Vous obtenez alors un repère orthonormé classique, dont l’axe des ordonnées représente les différentes positions du pendule, et l’axe des abscisses vous informe sur sa vitesse. Si vous lâchez le pendule, il va osciller jusqu’à ce que les forces de frottements de l’air finissent par arrêter sa course. Sur un graphique traditionnel, vous verriez que les oscillations du pendule perdent progressivement de l’amplitude jusqu’à disparaître. Dans l’espace des phases, on constate que la trajectoire circulaire du pendule, perdant progressivement son énergie par frottement, se réduit à une spirale convergeant vers un point fixe, c’est-à-dire à l’état stationnaire du pendule. Il s’agit par conséquent du point d’origine de ce repère orthonormé.
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::Dans ce cas basique, l’attracteur est un simple point. La trajectoire du pendule semble véritablement « attirée » par ce point incarnant la stabilité de l’objet. Ici, l’attracteur n’est pas qualifié « d’étrange », car le système ne suit pas de comportement complexe ou chaotique. Ce système simple reste linéaire et prévisible. Si le mouvement du pendule avait été entretenu par un petit moteur, comme c’est le cas pour les horloges, alors la trajectoire du point de l’espace des phases aurait été circulaire et invariante, l’ensemble-limite étant alors un simple cercle.
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::Ce préambule est important pour comprendre la suite et le lien entre B / BB et le temps.
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::Une autre façon d’appréhender le concept d’ensemble-limite et de comprendre son lien avec le hasard est d’étudier ce que le mathématicien Michael Barnsley appelle « le jeu du chaos ». Vous pouvez y jouer avec un ordinateur et un générateur de nombres aléatoires, mais une simple feuille quadrillée, un crayon et une pièce de monnaie suffisent. Choisissez un point central sur cette feuille (qui sera l’espace des phases), puis inventez deux règles. Par exemple, la première règle pourrait être : « Déplacez-vous de quatre carreaux sur la droite ». Et la seconde : « Réduisez de moitié votre distance au centre ». Appliquez la règle 1 lorsque la pièce tombe sur le côté pile et la règle 2 quand elle tombe sur le côté face. Lancez la pièce une cinquantaine de fois en appliquant vos règles et observez le résultat. Vous constatez ainsi que la distribution de points semble s’effectuer par hasard. En effet, vous n’obtenez qu’un nuage de points informe et diffus. Prolongez l’expérience et imaginez le système après 500 lancés. Vous apercevrez alors que le jeu produit non plus un ensemble de points désordonnés, mais qu’une forme émerge, dont la précision semble s’affiner de plus en plus. Après 5 000 lancés (ou ce qui est appelé « itérations » en mathématiques), l’ensemble de points se retrouve dans un espace limité et singulier qui les regroupe TOUS. Malgré le nombre infini d’itérations, jamais un point n’en chevauche un autre, ils se concentrent tous dans ce périmètre étrange. Cette figure peut avoir une infinité de formes et vous comprenez que ce qui la détermine sont les deux règles de départ que vous avez établies. Ainsi ici le hasard des lancés n’est qu’un « outil » vous permettant de construire l’ensemble-limite qui est déjà présent, de manière sous-jacente. Ceci témoigne d’une forme d’ordre caché au sein même du chaos. Ce sont les règles de départ qui fixent l’allure de l’attracteur étrange du système. Tout attracteur étrange émergeant dans l’espace des phases après plusieurs milliers d’itérations est le produit de l’application de ces règles initiales.
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::Vous voyez, alors, que si un ensemble de points ou de trajectoires matérialisant l’évolution d’un système chaotique engendre une figure complexe comme un attracteur étrange, c’est qu’il existe des éléments communs à tous ces éléments. Dans le « jeu du chaos de Barnsley », il s’agit des deux règles établies au départ. C’est la « signature » ou « l’empreinte » mathématique du système. C’est-à-dire une marque invisible qui oriente toutes les trajectoires du système vers cette forme mystérieuse. Autrement dit, vous percevez que si la représentation graphique de l’évolution d’un système tend vers une configuration spécifique, c’est qu’il existe un trait commun et invisible à chaque point de ce schéma.
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::Vous comprenez tout de suite que, dans cet exemple, les deux règles initiales sont une analogie de « l’âme », les itérations successives représentent l’écoulement du flux du temps et l’ensemble-limite symbolise « l’homme-boudin ». L’ensemble-limite est « déjà là » (en germe, dans les règles initiales) sans être « encore là ». Le libre-arbitre s’incarne dans le « choix » des deux règles initiales, lesquelles conditionnent l’aspect de l’ensemble-limite, dont l’émergence résulte uniquement de l’écoulement du temps.
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::La sphère collective (BB) a pour rôle de « coordonner » l’émancipation de ces différents « homme-boudin ». Vous diriez, dans l’exemple précédent, qu’il fait en sorte de moduler les ensembles-limites afin d’éviter les « chevauchements » des uns sur les autres.
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::Or, l’esprit collectif ne peut le faire que lorsque l’ensemble-limite émerge, c’est-à-dire dans le temps et l’espace. Il oriente, module, atténue, ou accentue certaines directions prises par les âmes individuelles.
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::C’est pourquoi l’esprit collectif peut, et doit, « traiter de l’information ». Il a besoin de cet outil qu’est le TEMPS incarné dans les itérations mettant à jour l’ensemble-limite de cet exemple.
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::Les SYNCHRONICITÉS peuvent être une manifestation particulière de son influence.
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::Comment les expliquer au regard de la temporalité ?
  
Une de vos questions concerne l'apparente contradiction suivante :
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::Vous pourriez également demander : si l’âme individuelle propose ses deux règles initiales dans cet exemple didactique, comment peut-elle savoir si son ensemble-limite sera adéquat et ne gênera pas celui du voisin ? En réalité, elle sait « déjà » à quoi ressemblera son ensemble-limite. Ce qu’elle ne peut pas savoir, c’est à quoi ressemblera celui de ses voisins. Pour le « savoir » elle doit être « instruite » ou « informée » par l’esprit collectif, lequel a une vue « globale » de tous ces ensembles.
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::Le temps chronologique est un temps « orthogonal » pour l’esprit collectif. Il voit « tout, d’un coup, instantanément ». Il perçoit la finalité, la totalité, d’un ensemble-limite, bien que celui-ci ne puisse émerger que grâce au temps chronologique.
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::Si cet espace-limite « empiète » sur le voisin, l’esprit collectif peut venir « l’harmoniser » ou « l’orienter » pour rendre la cohabitation sereine. Si l’ensemble-limite change de forme, alors c’est que les deux règles initiales ont elles-mêmes changées. N’oubliez pas que pour l’âme, le temps n’existe pas, donc le processus est également « immédiat ».
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::Mais une âme reste libre. Si elle ne souhaite pas se soumettre aux propositions de l’esprit collectif, elle le peut et maintiendra la forme inadaptée de son attracteur. C’est pourquoi une telle âme pourra être « comparée » à son âme miroir (idéale) au moment du décès de son corps physique.
  
''"A cet égard, on notera un passage peu clair de D41-15 : " Il ne serait pas non plus du tout correct de dire que le BUUAWEA [l'âme] "fait" tout cela une fois pour toutes et en un instant, mais cette dernière façon de nous l'expliquer, sans employer un lexique technique presque intraduisible de l'UMMO, est la plus efficace. WOA [le dieu des Ummites] accorde à l'âme une prérogative transcendante : IL PEUT MODIFIER UNE FOIS POUR TOUT LA FORME DE L'OEBUMAOEMII (L'HOMME PHYSIQUE : ESPACE-TEMPS)" J'ai souligné les éléments contradictoires. Ne faudrait-il pas comprendre que l'âme peut revoir instantanément tout le parcours de l'homme-bouddha et ce plusieurs fois au cours de notre vie ? De cette manière, nous comprendrions clairement que notre intention peut modifier notre avenir. Mais modifier le futur implique de modifier les autres bouddhas et, pourquoi pas, le passé ? Nous ne serions pas du tout conscients puisque notre niveau de conscience est prisonnier du présent. Comme si cela n'était pas déjà assez compliqué, les ummites impliquent une conscience collective, qu'ils appellent BUUAWUA BIAEEII que les adeptes appellent communément BB. "''
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::Dès lors, les « synchronicités » peuvent être perçues comme éléments d’harmonisation, de guidance ou d’influence lorsqu’elles viennent véritablement modifier l’existence (la trajectoire) d’un individu.  
  
Pour comprendre cet étrange paradoxe, on peut utiliser l'analogie des systèmes chaotiques et des attracteurs étranges, mieux appelés "ensembles limites", un terme plus approprié, comme on le verra. Il s'agit d'un concept intrinsèque à la théorie du chaos qui doit être défini avec précision afin de comprendre ses propriétés uniques et ce qu'elles impliquent pour les systèmes chaotiques. Le terme "attracteur", qui inclut la notion d'"attraction", peut conduire à une mauvaise interprétation de ce concept mathématique. Le qualificatif "étrange" fait référence à la forme particulière et complexe des ensembles limites qui décrivent l'évolution des systèmes chaotiques dans le temps. L'ensemble des limites est une figure abstraite qui représente le visage mystérieux de l'évolution à long terme d'un système chaotique. L'attracteur ne peut être visualisé que dans ce que les physiciens appellent "l'espace des phases". L'espace de phase est également un concept abstrait. Il peut être défini comme un cadre de référence dont les axes (représentant les dimensions) expriment les différentes variables que l'on décide d'étudier. L'une de ces variables est souvent le temps. En effet, la dimension temporelle permet de suivre l'évolution dynamique d'un système. Il est ainsi possible d'étudier la position d'un mobile dans l'espace, ainsi que sa vitesse ou son accélération. Chaque point dessiné dans cet espace représente l'état ou la position précise du système à un moment donné. Ainsi, au fil du temps, on obtiendra une multitude de points qui dessineront des trajectoires apparemment aléatoires dans l'espace des phases (qui n'est rien d'autre qu'une "carte imaginaire"), mais dont émergera, au bout d'un certain temps, une forme mystérieuse et immuable caractéristique du système. Cette figure, qui peut avoir une infinité de faces selon le système et les variables étudiées, va regrouper tous les points ou trajectoires qui incarnent l'évolution du système à un moment donné. De plus, on ne verra jamais de trajectoires qui se chevauchent (dimension fractale) ou qui "sortent" de ce périmètre en errant en dehors de cet ensemble de limites. En fait, ils semblent être "attirés" par cet ensemble, qui semble "conserver" leur dispersion aléatoire. C'est pourquoi on l'appelle un "attracteur étrange". Les scientifiques connaissent depuis longtemps le concept d'attracteur. En fait, un attracteur pratique à étudier est celui du pendule simple. Son espace de phase est réduit à l'étude de deux variables : sa position et sa vitesse. On obtient alors un référentiel orthonormé classique, où l'axe des ordonnées représente les différentes positions du pendule, et l'axe des abscisses informe sur sa vitesse. Si nous lâchons le pendule, il se balancera jusqu'à ce que les forces de friction de l'air l'arrêtent. Dans un graphique traditionnel, on verrait que les oscillations du pendule perdent de l'amplitude jusqu'à disparaître. Dans l'espace des phases, on voit que la trajectoire circulaire du pendule, qui perd progressivement son énergie à cause de la friction, se réduit à une spirale qui converge vers un point fixe, c'est-à-dire l'état stationnaire du pendule. C'est donc le point d'origine de ce référentiel orthonormé. Dans ce cas de base, l'attracteur est un simple point. La trajectoire du pendule semble réellement "attirée" par ce point qui incarne la stabilité de l'objet. Dans ce cas, l'attracteur n'est pas dit "étrange", car le système ne suit pas un comportement complexe ou chaotique.
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::En réalité, « tout est déjà joué », comme vous l’avez compris. Si l’individu change volontairement sa trajectoire, c’est que son âme a « déjà » pris en compte les influences du BB.  
  
Ce système simple reste linéaire et prévisible. Si le mouvement du pendule avait été maintenu par un petit moteur, comme c'est le cas pour les horloges, alors la trajectoire du point de l'espace des phases aurait été circulaire et invariante, la frontière fixée étant alors un simple cercle. Ce préambule est important pour comprendre ce qui suit et le lien entre B / BB et le temps. Une autre façon de comprendre le concept d'ensemble limite et sa relation avec l'aléatoire est d'étudier ce que le mathématicien Michael Barnsley appelle "le jeu du chaos". Vous pouvez jouer avec un ordinateur et un générateur de nombres aléatoires, mais une simple feuille de papier, un crayon et une pièce de monnaie suffisent. Choisissez un point central sur cette feuille (qui sera l'espace de phase), puis établissez deux règles. Par exemple, la première règle pourrait être : "Déplacez-vous de quatre cases vers la droite. Et la deuxième règle pourrait être : "Divisez par deux la distance au centre. Appliquez la règle 1 lorsque la pièce tombe sur pile et la règle 2 lorsqu'elle tombe sur face. Lancez la pièce une cinquantaine de fois en appliquant vos règles et observez le résultat. Vous remarquerez que la distribution des points semble être aléatoire. En fait, vous obtenez juste un nuage de points flous et amorphes. Prolongez l'expérience et imaginez le système après 500 tirages. Vous verrez alors que le jeu ne produit plus un ensemble de points désordonnés, mais qu'émerge une forme dont la précision semble de plus en plus fine. Après 5 000 lancers (ou ce que l'on appelle des "itérations" en mathématiques), l'ensemble des points aboutit à un espace singulier borné qui les contient TOUS. Malgré le nombre infini d'itérations, jamais un point ne chevauche un autre, ils sont tous concentrés dans cet étrange périmètre. Cette figure peut avoir un nombre infini de formes et vous comprendrez que ce qui la détermine sont les deux règles de départ que vous avez établies. Donc, ici, le caractère aléatoire des lancers n'est qu'un "outil" qui permet de construire l'ensemble des limites qui sont déjà présentes, de manière sous-jacente. Cela montre une forme d'ordre caché au sein même du chaos. Ce sont les règles de départ qui marquent le chemin de l'attracteur étrange du système. Tout attracteur étrange qui émerge dans l'espace des phases après plusieurs milliers d'itérations est le produit de l'application de ces règles initiales. Vous voyez donc que si un ensemble de points ou de trajectoires qui matérialisent l'évolution d'un système chaotique génère une figure complexe comme un attracteur étrange, c'est qu'il existe des éléments communs à tous ces éléments. Dans le "jeu du chaos de Barnsley", ce sont les deux règles établies au départ. Il s'agit de la "signature" ou "empreinte" mathématique du système. C'est-à-dire une marque invisible qui oriente toutes les trajectoires du système vers cette forme mystérieuse. En d'autres termes, on perçoit que si la représentation graphique de l'évolution d'un système tend vers une configuration spécifique, c'est qu'il existe une caractéristique commune et invisible en chaque point de ce diagramme. On comprend immédiatement que, dans cet exemple, les deux règles initiales sont une analogie de l'"âme", les itérations successives représentent l'écoulement du temps et la limite fixée symbolise l'"homme-bouddha". La limite fixée est "déjà là" (en germe, dans les règles initiales) sans être "encore là". Le libre arbitre s'incarne dans le "choix" des deux règles initiales, qui conditionnent l'apparition de l'ensemble des limites, dont l'apparition ne résulte que du passage du temps. Le rôle de la sphère collective (BB) est de "coordonner" l'émancipation de ces différents "hommes pudding". On pourrait dire, dans l'exemple ci-dessus, qu'il module les ensembles de frontières afin d'éviter le "chevauchement" de l'un sur l'autre. Mais l'esprit collectif ne peut le faire que lorsque la limite fixée se présente, c'est-à-dire dans le temps et l'espace. Il oriente, module, atténue ou accentue certaines directions prises par les âmes individuelles. C'est pourquoi l'esprit collectif peut, et doit, "traiter l'information". Il a besoin de l'outil du TEMPS incarné par les itérations qui mettent à jour l'ensemble des limites de cet exemple.
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::Une « trajectoire » de vie peut changer à la suite de multiples événements : à travers une « révélation », une « découverte » ou la « compréhension » d’éléments enfouis venant brider l’existence d’une personne... Elle peut aussi se modifier en cas de danger imminent, lors de l’annonce prochaine de la mort d’un parent, ou de perturbations sévères chez un proche.
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::C’est pourquoi les « synchronicités » peuvent révéler tant de visages différents.  
  
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::Il n’y a pas de « causalité inversée » au sens physique du terme. À l’échelle macroscopique, l’orientation de la flèche du temps est immuable.
Les SYNCHRONYMES peuvent être une manifestation particulière de leur influence. Comment les expliquer en termes de temporalité ? On peut aussi se demander : si l'âme individuelle propose ses deux règles initiales dans cet exemple didactique, comment peut-elle savoir si son ensemble de limites sera adéquat et n'interférera pas avec celui du voisin ? En fait, elle sait "déjà" à quoi ressemblera son ensemble de frontières. Ce que vous ne pouvez pas savoir, c'est ce que sera celui de vos voisins. Pour "savoir", il doit être "instruit" ou "informé" par l'esprit collectif, qui a une vision "globale" de tous ces ensembles. Le temps chronologique est un temps "orthogonal" pour l'esprit collectif. Il voit "tout, tout de suite, instantanément". Il perçoit la finalité, la totalité, d'un espace-limite, même s'il ne peut émerger qu'à travers le temps chronologique. Si cet espace-limite "envahit" le voisin, l'esprit collectif peut parvenir à l'"harmoniser" ou à l'"orienter" pour que la coexistence soit sereine. Si l'espace frontalier change de forme, alors les deux règles initiales ont également changé. Rappelez-vous que pour l'âme, le temps n'existe pas, le processus est donc également "immédiat". Mais l'âme est toujours libre. S'il ne veut pas se soumettre aux propositions de l'esprit collectif, il peut et veut maintenir la forme inadéquate de son attracteur. C'est pourquoi une telle âme peut se "comparer" à son âme miroir (idéale) au moment de la mort de son corps physique. Les "synchronicités" peuvent donc être perçues comme des éléments d'harmonisation, d'orientation ou d'influence lorsqu'elles modifient réellement l'existence (la trajectoire) d'un individu. En réalité, "tout est déjà joué", comme vous l'aurez compris. Si l'individu change volontairement de trajectoire, c'est que son âme a "déjà" pris en compte les influences du BB. La "trajectoire" d'une vie peut changer à la suite de nombreux événements : par une "révélation", une "découverte" ou la "compréhension" d'éléments enfouis qui limitent l'existence d'une personne... Elle peut également changer en cas de danger imminent, à l'annonce du décès d'un parent, ou lorsqu'un proche parent subit un trouble grave. C'est pourquoi les "synchronicités" peuvent présenter tant de visages différents. Il n'y a pas de "causalité inverse" au sens physique du terme. A l'échelle macroscopique, l'orientation de la flèche du temps est immuable.
 

Version actuelle datée du 11 septembre 2021 à 19:18

Documents divers EXTERNES, de personnes impliquées dans l'affaire Ummo ou d'origine incertaine, ayant un lien qui peut être parfois ténu.

ATTENTION, NOUS N'AVONS JAMAIS PRÉTENDU QUE CES DOCUMENTS SAUVEGARDES SONT D'ORIGINE OUMMAINE; NOUS FAISONS ICI OEUVRE D'ARCHIVISTES



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Comment BUAWA définit l'OEBUMAOEMMII (27-02-2020) (Troisième texte publié par Yatesbury sur le blog FutEnFol en réponse aux questions posées) Voir https://ummo-ciencias.org/otrostextos/Unio%20Mentalis/YATESBURY%20200227.html


L’une de vos questions concerne la contradiction apparente suivante :

"À ce sujet, on notera un passage peu clair de la D41-15 : " Il ne serait pas du tout, non plus, correct de dire que le BUUAWEA [l’âme] “fait” tout cela d’un seul coup pour toujours et en un instant, mais cette dernière manière de nous expliquer, sans employer un lexique technique de UMMO presque intraduisible, est la plus efficace. WOA [le dieu des ummites] concède à l’âme une prérogative qui est transcendante ELLE PEUT MODIFIER UNE FOIS POUR TOUTES LA FORME DE L’OEBUMAOEMII (HOMME-PHYSIQUE : ESPACE-TEMPS)"

J’ai souligné les éléments contradictoires.

Ne s’agirait-il pas de comprendre que l’âme peut revoir instantanément tout le trajet de l’homme boudin et ceci plusieurs fois au cours de notre vie ? Là, on comprendrait clairement que notre intention pourrait modifier notre futur. Mais modifier le futur implique de modifier d’autres hommes boudins et pourquoi pas le passé… Nous en serions complètement inconscients puisque notre niveau de conscience est prisonnier du présent. Comme si cela n’était pas déjà assez compliqué comme cela, les ummites font intervenir une conscience collective, qu’ils appellent BUUAWUA BIAEEII et que les passionnés nomment communément BB. " (source : https://futurenfolie.blogspot.com/2020/02/synchronicites-et-retrocausalite-lien.html )


Pour comprendre cet étrange paradoxe, vous pouvez utiliser l’analogie des systèmes chaotiques et des attracteurs étranges plutôt nommés « ensembles-limites », terme plus adéquat, comme vous le constaterez.
Il s’agit d’un concept intrinsèque à la théorie du chaos qu’il faut définir précisément afin de comprendre ses propriétés singulières et ce qu’elles impliquent pour les systèmes chaotiques.
Le terme « attracteur », comportant la notion « d’attirance », peut induire une mauvaise interprétation de ce concept mathématique.
Le qualificatif « étrange » fait référence à la forme particulière et complexe des ensembles-limites décrivant la trajectoire des systèmes chaotiques au cours du temps.
L’ensemble-limite est une figure abstraite qui représente le visage mystérieux de l’évolution d’un système chaotique sur le long terme. L’attracteur ne peut être visualisé qu’au sein de ce que les physiciens appellent « l’espace des phases ». L’espace des phases est également un concept abstrait. Il peut être défini comme étant un repère dont les axes (qui représentent les dimensions) expriment les différentes variables que l’on choisit d’étudier. L’une de ces variables sera généralement le temps. En effet, la dimension temps permet de suivre l’évolution dynamique d’un système. Il est aussi possible d’étudier la position d’un mobile dans l’espace, ainsi que sa vitesse, ou encore son accélération. Chaque point tracé dans cet espace représentera le statut ou la position précise du système à un moment donné. Ainsi, au fil du temps seront obtenus une multitude de points dessinant des trajectoires apparemment aléatoires dans l’espace des phases (qui n’est autre qu’une « carte imaginaire ») mais d’où émergera finalement, après un certain temps, une forme mystérieuse et immuable propre au système.
Cette figure, qui peut avoir une infinité de visages en fonction du système et des variables étudiées, regroupera tous les points ou toutes les trajectoires incarnant l’évolution du système à chaque instant. En outre, jamais vous ne verrez de trajectoires se chevaucher (propriété fractale) ni « sortir » de ce périmètre en s’égarant à l’extérieur de cet ensemble-limite. Elles semblent, en effet, comme « attirées » par cet ensemble paraissant « retenir » leur éparpillement aléatoire. C’est pourquoi il est appelé « attracteur étrange ».
Le concept d’attracteur est connu depuis longtemps par les scientifiques. En effet, un attracteur pratique à étudier est celui du pendule simple. Son espace des phases se réduit à l’étude de deux variables : sa position et sa vitesse. Vous obtenez alors un repère orthonormé classique, dont l’axe des ordonnées représente les différentes positions du pendule, et l’axe des abscisses vous informe sur sa vitesse. Si vous lâchez le pendule, il va osciller jusqu’à ce que les forces de frottements de l’air finissent par arrêter sa course. Sur un graphique traditionnel, vous verriez que les oscillations du pendule perdent progressivement de l’amplitude jusqu’à disparaître. Dans l’espace des phases, on constate que la trajectoire circulaire du pendule, perdant progressivement son énergie par frottement, se réduit à une spirale convergeant vers un point fixe, c’est-à-dire à l’état stationnaire du pendule. Il s’agit par conséquent du point d’origine de ce repère orthonormé.
Dans ce cas basique, l’attracteur est un simple point. La trajectoire du pendule semble véritablement « attirée » par ce point incarnant la stabilité de l’objet. Ici, l’attracteur n’est pas qualifié « d’étrange », car le système ne suit pas de comportement complexe ou chaotique. Ce système simple reste linéaire et prévisible. Si le mouvement du pendule avait été entretenu par un petit moteur, comme c’est le cas pour les horloges, alors la trajectoire du point de l’espace des phases aurait été circulaire et invariante, l’ensemble-limite étant alors un simple cercle.
Ce préambule est important pour comprendre la suite et le lien entre B / BB et le temps.
Une autre façon d’appréhender le concept d’ensemble-limite et de comprendre son lien avec le hasard est d’étudier ce que le mathématicien Michael Barnsley appelle « le jeu du chaos ». Vous pouvez y jouer avec un ordinateur et un générateur de nombres aléatoires, mais une simple feuille quadrillée, un crayon et une pièce de monnaie suffisent. Choisissez un point central sur cette feuille (qui sera l’espace des phases), puis inventez deux règles. Par exemple, la première règle pourrait être : « Déplacez-vous de quatre carreaux sur la droite ». Et la seconde : « Réduisez de moitié votre distance au centre ». Appliquez la règle 1 lorsque la pièce tombe sur le côté pile et la règle 2 quand elle tombe sur le côté face. Lancez la pièce une cinquantaine de fois en appliquant vos règles et observez le résultat. Vous constatez ainsi que la distribution de points semble s’effectuer par hasard. En effet, vous n’obtenez qu’un nuage de points informe et diffus. Prolongez l’expérience et imaginez le système après 500 lancés. Vous apercevrez alors que le jeu produit non plus un ensemble de points désordonnés, mais qu’une forme émerge, dont la précision semble s’affiner de plus en plus. Après 5 000 lancés (ou ce qui est appelé « itérations » en mathématiques), l’ensemble de points se retrouve dans un espace limité et singulier qui les regroupe TOUS. Malgré le nombre infini d’itérations, jamais un point n’en chevauche un autre, ils se concentrent tous dans ce périmètre étrange. Cette figure peut avoir une infinité de formes et vous comprenez que ce qui la détermine sont les deux règles de départ que vous avez établies. Ainsi ici le hasard des lancés n’est qu’un « outil » vous permettant de construire l’ensemble-limite qui est déjà présent, de manière sous-jacente. Ceci témoigne d’une forme d’ordre caché au sein même du chaos. Ce sont les règles de départ qui fixent l’allure de l’attracteur étrange du système. Tout attracteur étrange émergeant dans l’espace des phases après plusieurs milliers d’itérations est le produit de l’application de ces règles initiales.
Vous voyez, alors, que si un ensemble de points ou de trajectoires matérialisant l’évolution d’un système chaotique engendre une figure complexe comme un attracteur étrange, c’est qu’il existe des éléments communs à tous ces éléments. Dans le « jeu du chaos de Barnsley », il s’agit des deux règles établies au départ. C’est la « signature » ou « l’empreinte » mathématique du système. C’est-à-dire une marque invisible qui oriente toutes les trajectoires du système vers cette forme mystérieuse. Autrement dit, vous percevez que si la représentation graphique de l’évolution d’un système tend vers une configuration spécifique, c’est qu’il existe un trait commun et invisible à chaque point de ce schéma.


Vous comprenez tout de suite que, dans cet exemple, les deux règles initiales sont une analogie de « l’âme », les itérations successives représentent l’écoulement du flux du temps et l’ensemble-limite symbolise « l’homme-boudin ». L’ensemble-limite est « déjà là » (en germe, dans les règles initiales) sans être « encore là ». Le libre-arbitre s’incarne dans le « choix » des deux règles initiales, lesquelles conditionnent l’aspect de l’ensemble-limite, dont l’émergence résulte uniquement de l’écoulement du temps.


La sphère collective (BB) a pour rôle de « coordonner » l’émancipation de ces différents « homme-boudin ». Vous diriez, dans l’exemple précédent, qu’il fait en sorte de moduler les ensembles-limites afin d’éviter les « chevauchements » des uns sur les autres.
Or, l’esprit collectif ne peut le faire que lorsque l’ensemble-limite émerge, c’est-à-dire dans le temps et l’espace. Il oriente, module, atténue, ou accentue certaines directions prises par les âmes individuelles.
C’est pourquoi l’esprit collectif peut, et doit, « traiter de l’information ». Il a besoin de cet outil qu’est le TEMPS incarné dans les itérations mettant à jour l’ensemble-limite de cet exemple.
Les SYNCHRONICITÉS peuvent être une manifestation particulière de son influence.
Comment les expliquer au regard de la temporalité ?
Vous pourriez également demander : si l’âme individuelle propose ses deux règles initiales dans cet exemple didactique, comment peut-elle savoir si son ensemble-limite sera adéquat et ne gênera pas celui du voisin ? En réalité, elle sait « déjà » à quoi ressemblera son ensemble-limite. Ce qu’elle ne peut pas savoir, c’est à quoi ressemblera celui de ses voisins. Pour le « savoir » elle doit être « instruite » ou « informée » par l’esprit collectif, lequel a une vue « globale » de tous ces ensembles.
Le temps chronologique est un temps « orthogonal » pour l’esprit collectif. Il voit « tout, d’un coup, instantanément ». Il perçoit la finalité, la totalité, d’un ensemble-limite, bien que celui-ci ne puisse émerger que grâce au temps chronologique.
Si cet espace-limite « empiète » sur le voisin, l’esprit collectif peut venir « l’harmoniser » ou « l’orienter » pour rendre la cohabitation sereine. Si l’ensemble-limite change de forme, alors c’est que les deux règles initiales ont elles-mêmes changées. N’oubliez pas que pour l’âme, le temps n’existe pas, donc le processus est également « immédiat ».
Mais une âme reste libre. Si elle ne souhaite pas se soumettre aux propositions de l’esprit collectif, elle le peut et maintiendra la forme inadaptée de son attracteur. C’est pourquoi une telle âme pourra être « comparée » à son âme miroir (idéale) au moment du décès de son corps physique.
Dès lors, les « synchronicités » peuvent être perçues comme éléments d’harmonisation, de guidance ou d’influence lorsqu’elles viennent véritablement modifier l’existence (la trajectoire) d’un individu.
En réalité, « tout est déjà joué », comme vous l’avez compris. Si l’individu change volontairement sa trajectoire, c’est que son âme a « déjà » pris en compte les influences du BB.
Une « trajectoire » de vie peut changer à la suite de multiples événements : à travers une « révélation », une « découverte » ou la « compréhension » d’éléments enfouis venant brider l’existence d’une personne... Elle peut aussi se modifier en cas de danger imminent, lors de l’annonce prochaine de la mort d’un parent, ou de perturbations sévères chez un proche.
C’est pourquoi les « synchronicités » peuvent révéler tant de visages différents.
Il n’y a pas de « causalité inversée » au sens physique du terme. À l’échelle macroscopique, l’orientation de la flèche du temps est immuable.