Aluche 1966 : Différence entre versions

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(Contradictions des déclaration de Jordan Peña ( 1993 ))
 
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''Cet atterrissage d'OVNI près d''''Aluche''' (quartier administratif de la ville de Madrid qui appartient au district de Latina) eu lieu le dimanche 6 février 1966 à 20 heures et 2 minutes (il faisait nuit). La particularité de cet atterrissage est l'annonce de l'évènement par un courrier oummain ( D 37 - 2 ) adressé aux contactés espagnols. ''
  
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Le 6 février 1966, à Aluche, [[Jordan Peña]] affirme être témoin de la descente et de la remontée d'un [[ovni]]. Il fait deux témoignages, l'un tout de suite par téléphone à José Luis Pimentel pour la revue ''Porqué''<ref name="ReferenceA"> Antonio Ribera et Rafael Farriols, ''Un Caso Perfecto''.</ref> et l'autre presque trois semaines plus tard, par écrit, sur la demande du journaliste Eugenio Danyans.
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[https://www.ummo-sciences.org/activ/art/art11-1.htm Les événements d'Aluche, de San José de Valderas et de Santa Monica ]
 
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José Luis Jordan Peña rentrait chez lui en voiture. Il témoigna qu'il vit d'abord une tache lumineuse dans le ciel, qui s'agrandit et ensuite sembla descendre. Il se dirigea avec sa voiture vers le lieu supposé de l'attérissage et arriva juste à temps pour assister au décollage de l'engin qu'il vit à très courte distance. Selon lui l'OVNI, d'une taille de 10 à 12 mètres, présentait trois béquilles d'atterrissage, entre lesquelles il vit une forme lumineuse qu'il interpréta comme une tuyère avec un genre de déflecteurs de part et d'autre. Pendant qu'il s'élevait, les témoins entendirent un léger bourdonnement ("ressemblant à celui émis par un générateur" selon Peña). Soudain, l'objet disparut "comme une lumière dont on aurait fermé l'interrupteur".
 
José Luis Jordan Peña rentrait chez lui en voiture. Il témoigna qu'il vit d'abord une tache lumineuse dans le ciel, qui s'agrandit et ensuite sembla descendre. Il se dirigea avec sa voiture vers le lieu supposé de l'attérissage et arriva juste à temps pour assister au décollage de l'engin qu'il vit à très courte distance. Selon lui l'OVNI, d'une taille de 10 à 12 mètres, présentait trois béquilles d'atterrissage, entre lesquelles il vit une forme lumineuse qu'il interpréta comme une tuyère avec un genre de déflecteurs de part et d'autre. Pendant qu'il s'élevait, les témoins entendirent un léger bourdonnement ("ressemblant à celui émis par un générateur" selon Peña). Soudain, l'objet disparut "comme une lumière dont on aurait fermé l'interrupteur".
  
Le lendemain, un journaliste de Madrid photographia les empreintes laissées dans le sol par les béquilles d’atterrissage. Elles étaient rectangulaires, mesuraient 15X30 cm et s'enfonçaient de 12 cm dans le sol. Le fond de chaque empreinte présentait un croisillon en relief placé suivant les diagonales. Les trois empreintes étaient disposés aux sommets d'un triangle équilatéral d'environ 6 mètres de coté.
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==Empreinte d'Aluche==
 
==Empreinte d'Aluche==
 
photo extraite du livre de Ribera-Farriols.
 
  
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Jean Pollion a pu reconstituer, dans son ouvrage (p.71 et 72), la force nécessaire à leur réalisation. 14 Tonnes environ par empreinte de 30cm x 15cm, ce qui, en février 1966, de nuit, excluent catégoriquement une réalisation humaine de simulation, surtout avec une Fiat 600. Les revendications de trucage combinées de Jordan Peña et Ortuño sont ridicules! A la première déclaration, ils ont dit avoir utilisé un seau de plage et un chalumeau. Lorsque plus tard on leur a fait remarquer que la terre était très dure, ils ont rajouté une petite houe pour "ameublir" le terrain!…
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Le lendemain (lundi 7 février 1966), un journaliste de " El Caso", Madrid photographia les empreintes laissées dans le sol par les béquilles d’atterrissage.
  
==L'inscription==
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[[Fichier:Empreintes.jpg|left|250px|photo extraite du livre de Ribera-Farriols.]]
  
Voir https://ummo-sciences.org/fr/data-E/E44.htm
 
 
Photo prise par Alberto Borras dans une petite maison abandonnée à coté du château de San Jose de Valderas (où auraient été prises les photos de nef oummaines
 
 
[[Fichier:E44-2-Borras.png]]
 
 
{{Tweet|OT-20|24 mai 2015
 
 
Question :
 
:Pouvez-vous nous donner la transcripion (en oumain) et la traduction (en langue terrestre) de la E44? Merci
 
 
[[Fichier:W3-05.png|250px|]] ''(l'image était inversée sur la E44 à l'époque de la demande)''
 
  
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Elles étaient rectangulaires, mesuraient 15X30 cm et s'enfonçaient de 12 cm dans le sol. Le fond de chaque empreinte présentait un croisillon en relief placé suivant les diagonales. Les trois empreintes étaient disposés aux sommets d'un triangle équilatéral d'environ 6 mètres de coté.
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Jean Pollion a pu reconstituer, dans son ouvrage (p.71 et 72), la force nécessaire à leur réalisation, soit l'équivalent de 14 tonnes environ par empreinte de 30cm x 15cm. Ce qui, en février 1966, de nuit, excluent catégoriquement une réalisation humaine de simulation, surtout avec une Fiat 600.
  
Réponse:
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== Contradictions des déclaration de Jordan Peña ( 1993 ) ==
  
:EKASSI EMAA NEBOEE SIMARII KEELOA BOO.
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En 1993, les revendications de trucage combinées de Jordan Peña et Vincente Ortuño sont difficiles à croire car comment exercer une telle pression sans moyens mécaniques et sans être vus pendant les opérations pour produire une telle trace ?
IMPORTANT LAISSER EN CE LIEU TOUT OBJET QUE VOUS DÉTENEZ.
 
  
[[Fichier:W3-06.jpg]]}}
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A la première déclaration, ils ont dit avoir utilisé un seau de plage et un chalumeau. Lorsque plus tard on leur a fait remarquer que la terre était très dure, ils ont rajouté une petite houe pour "ameublir" le terrain!…  Pas très crédible

Version actuelle datée du 19 juillet 2024 à 10:47

Cet atterrissage d'OVNI près d'Aluche (quartier administratif de la ville de Madrid qui appartient au district de Latina) eu lieu le dimanche 6 février 1966 à 20 heures et 2 minutes (il faisait nuit). La particularité de cet atterrissage est l'annonce de l'évènement par un courrier oummain ( D 37 - 2 ) adressé aux contactés espagnols.

Témoins de l'événement

Le 6 février 1966, à Aluche, Jordan Peña affirme être témoin de la descente et de la remontée d'un ovni. Il fait deux témoignages, l'un tout de suite par téléphone à José Luis Pimentel pour la revue Porqué[1] et l'autre presque trois semaines plus tard, par écrit, sur la demande du journaliste Eugenio Danyans.

Annonce oummaine

Lettre D37-2
A 20 heures 01 minute et 56 secondes (heure espagnole) (85369,244 uiw à partir du temps zéro compté depuis leur départ de UMMO), eut lieu dans le OAWOOLEA oemmOMWEA UMMO 56 , contact avec la lithosphère terrestre dans un terrain proche de l'autoroute qui relie la station de chemin de fer métropolitain d'Aluche avec le quartier de Casilda de Bustos (Madrid).
85269 UIW représentent sensiblement 183 jours terrestres, soit environ 6 mois.
Carte ( De Vecchi; 1975 )

Les événements d'Aluche, de San José de Valderas et de Santa Monica

- Dans la soirée du dimanche 6 février 1966 à 20 heures et 2 minutes (il faisait nuit), dans la banlieue de Madrid, à Aluche, un engin volant, après avoir évolué le long de l'autoroute, atterrit dans un champ pour redécoller presque aussitôt. Un petit groupe de soldats (non confirmé) et quelques riverains observèrent l'incident. Cet engin était faiblement lumineux

Quatre témoins visuels ont été identifiés et interrogés ( Jordan Peña, Vicente Ortuño, Maria Ruiz Torres, et le berger Juan Jimenez Dias qui eut le temps de voir une porte s'entrouvrir et se refermer aussitôt, avant qu'il ne décolle)

José Luis Jordan Peña rentrait chez lui en voiture. Il témoigna qu'il vit d'abord une tache lumineuse dans le ciel, qui s'agrandit et ensuite sembla descendre. Il se dirigea avec sa voiture vers le lieu supposé de l'attérissage et arriva juste à temps pour assister au décollage de l'engin qu'il vit à très courte distance. Selon lui l'OVNI, d'une taille de 10 à 12 mètres, présentait trois béquilles d'atterrissage, entre lesquelles il vit une forme lumineuse qu'il interpréta comme une tuyère avec un genre de déflecteurs de part et d'autre. Pendant qu'il s'élevait, les témoins entendirent un léger bourdonnement ("ressemblant à celui émis par un générateur" selon Peña). Soudain, l'objet disparut "comme une lumière dont on aurait fermé l'interrupteur".


Empreinte d'Aluche

Trois marques au sol

Le lendemain (lundi 7 février 1966), un journaliste de " El Caso", Madrid photographia les empreintes laissées dans le sol par les béquilles d’atterrissage.

photo extraite du livre de Ribera-Farriols.


Elles étaient rectangulaires, mesuraient 15X30 cm et s'enfonçaient de 12 cm dans le sol. Le fond de chaque empreinte présentait un croisillon en relief placé suivant les diagonales. Les trois empreintes étaient disposés aux sommets d'un triangle équilatéral d'environ 6 mètres de coté.

Jean Pollion a pu reconstituer, dans son ouvrage (p.71 et 72), la force nécessaire à leur réalisation, soit l'équivalent de 14 tonnes environ par empreinte de 30cm x 15cm. Ce qui, en février 1966, de nuit, excluent catégoriquement une réalisation humaine de simulation, surtout avec une Fiat 600.

Contradictions des déclaration de Jordan Peña ( 1993 )

En 1993, les revendications de trucage combinées de Jordan Peña et Vincente Ortuño sont difficiles à croire car comment exercer une telle pression sans moyens mécaniques et sans être vus pendant les opérations pour produire une telle trace ?

A la première déclaration, ils ont dit avoir utilisé un seau de plage et un chalumeau. Lorsque plus tard on leur a fait remarquer que la terre était très dure, ils ont rajouté une petite houe pour "ameublir" le terrain!… Pas très crédible
  1. Antonio Ribera et Rafael Farriols, Un Caso Perfecto.