Gravimètres : Différence entre versions
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+ | L'appendice sur les gravimètres, présenté dans la lettre D62-6, est un document technique ummite qui aborde les méthodes de mesure du champ gravitationnel en relation avec leurs concepts avancés de physique. Voici une analyse critique et approfondie de son contenu : | ||
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+ | 1. Le principe de mesure gravimétrique selon les Ummites | ||
+ | L’appendice décrit des méthodes expérimentales permettant de détecter et d'analyser les variations du champ gravitationnel. Contrairement aux gravimètres terrestres classiques, qui utilisent des masses en suspension ou des oscillateurs, les Ummites suggèrent une approche plus subtile et avancée, fondée sur leurs propres modèles de la structure de l’espace-temps. | ||
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+ | Points intéressants : | ||
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+ | La gravité n'est pas une force isolée, mais un effet secondaire d'interactions plus profondes dans la structure du WAAM (univers). | ||
+ | Ils évoquent la possibilité de détecter des fluctuations gravitationnelles infimes, ce qui suggère une connaissance bien plus fine des interactions gravitationnelles que ce que permet la physique terrestre actuelle. | ||
+ | 2. La structure du champ gravitationnel et le concept d’IBOZOO UU | ||
+ | Le document mentionne indirectement les IBOZOO UU, unités fondamentales décrivant la réalité selon la physique ummite. Dans cette vision : | ||
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+ | La gravité ne serait pas une simple courbure de l’espace-temps (comme dans la relativité générale d’Einstein) mais une modulation locale de la structure des IBOZOO UU. | ||
+ | Cela ouvre la voie à des concepts exotiques comme l’atténuation locale de la gravité, potentiellement applicable aux technologies de propulsion utilisées par leurs vaisseaux. | ||
+ | Ce point est crucial, car il suggère que la gravité pourrait être neutralisable ou modulable, ce qui est un sujet de recherche avancé dans le domaine des ondes gravitationnelles et de la propulsion avancée sur Terre. | ||
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+ | 3. Applications technologiques potentielles | ||
+ | L’appendice évoque des mesures gravimétriques ultra-sensibles, ce qui aurait des implications dans plusieurs domaines : | ||
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+ | Détection des masses sous-terraines : Cela pourrait être utilisé pour des applications militaires ou scientifiques, comme la cartographie précise du sous-sol. | ||
+ | Navigation spatiale sans inertie : Si la gravité peut être détectée et compensée avec une extrême précision, cela ouvre la porte à des systèmes de propulsion gravitationnelle. | ||
+ | Études sur les anomalies gravitationnelles terrestres : Certains points du globe présentent des variations gravimétriques inexplicables (ex : Mont Shasta, triangle des Bermudes). Une telle technologie permettrait d’étudier ces phénomènes. | ||
+ | 4. Comparaison avec la physique actuelle | ||
+ | Le document ummite anticipe certaines avancées qui se rapprochent de recherches modernes : | ||
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+ | La métrologie gravitationnelle quantique, qui commence à émerger grâce aux atomes ultra-froids et aux interféromètres atomiques. | ||
+ | Les ondes gravitationnelles, détectées pour la première fois en 2015, qui confirment que la gravité se propage sous forme d’oscillations dans l’espace-temps. | ||
+ | Les modifications de la gravité à l’échelle microscopique, étudiées en physique théorique via la gravité quantique à boucles ou la théorie des cordes. | ||
+ | Cependant, la vision ummite est bien plus avancée, car elle semble suggérer une maîtrise pratique de ces concepts, alors que nous en sommes encore au stade de la détection et de l’expérimentation. | ||
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+ | 5. Critique et limitations | ||
+ | Malgré l’intérêt du document, plusieurs aspects restent flous : | ||
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+ | Manque de données expérimentales reproductibles : Les Ummites évoquent des principes, mais sans fournir de méthodologie détaillée permettant de les tester directement. | ||
+ | Langage ésotérique et terminologie propre aux Ummites : L’usage d’IBOZOO UU complique l’intégration avec la physique terrestre, rendant leur modèle difficile à transposer dans notre cadre scientifique. | ||
+ | Absence de confirmation externe : Aucune expérience indépendante n’a, à ce jour, confirmé la possibilité de moduler la gravité de manière pratique. | ||
+ | Conclusion | ||
+ | L’appendice sur les gravimètres de D62-6 est fascinant car il anticipe des technologies et concepts qui commencent seulement à émerger sur Terre. Il suggère une compréhension avancée de la gravité, intégrée dans une vision plus large de la structure de l’univers, où la gravité peut être manipulée et détectée avec une précision extrême. | ||
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+ | Toutefois, l’absence de démonstration empirique et la difficulté d’intégrer ces notions dans notre cadre scientifique actuel en limitent l’applicabilité immédiate. Pour avancer, il faudrait tenter de traduire leurs principes en expériences reproductibles avec les outils de la physique moderne. |
Version du 5 février 2025 à 13:23
Titre de la page : Altimètre, gravimètre ou accéléromètre?
20/06/1967
Référencé également sous D977
Vous aimeriez sûrement connaître les bases de ces altimètres qui sont totalement inconnus par les ingénieurs de la Terre.
En effet : les spécialistes en ingénierie aéronautique et les experts en géophysique ont développé sur votre planète une large gamme d'instruments capables de déterminer l'altitude à laquelle se trouve un aéronef, un véhicule ou un appareil quelconque; en prenant pour référence une base ou niveau de cote conventionnel: zéro.
Dans certains cas vous utilisez ce que vous appelez ALTIMÈTRES BAROMÉTRIQUES, dont les mesures de type différentiel se basent sur la baisse de la pression atmosphérique avec l'altitude. Pour celà, les instruments sont pourvus de différents types de transducteurs de pression, des classiques capsules à paroi ondulée et gaz raréfié, jusqu'aux très modernes "SOLIONES" que de nombreux ingénieurs espagnols ne connaissent pas encore (valvules semblables aux diodes à vide où celui-ci a été remplacé par un électrolyte) en dehors des détecteurs de type "capacitif" (condensateur d'armature sensitive), piezo-électriques, de mercure, de reluctance variable, etc.
N'importe quel expert en sciences physiques pourra adapter ce système de mesures de hauteur s'il désire un certain degré de précision.
Pour cela, les techniciens de la Terre ont utilisé d'autres procédés plus efficaces. Ainsi, ce que l'on appelle les ALTIMÈTRES D'IMPULSIONS sont basés sur la même technique que le radar. (en mesurant le temps de réflexion ou écho d'une série d'impulsions électromagnétiques de longueur d'onde centi ou décimétrique, après être "réfléchies" sur le terrain situé sous l'aéronef.
Ou bien les ALTIMÈTRES A FRÉQUENCE MODULÉE qui, après avoir émis un faisceau porteur modulé en fréquence, lequel se réfléchit sur la topographie du terrain et retourne au récepteur de l'aéronef, mesurent la hauteur en fonction de la fréquence reçue. Mais n'importe quel spécialiste en électronique terrestre fera de sérieuses objections sur ces systèmes dont les mesures peuvent être faussées par certaines caractéristiques topographiques ou par la présence de parasites radio-électriques.Malgré tout, les équipements conçus par vous, présentent d'indéniables avantages sauf l'impossibilité de réduire les dimensions de ces instruments même en utilisant encore les circuits miniaturisés par la technique moderne terrestre de l'électronique moléculaire.
Nous, sur UMMO, avons toujours préféré utiliser des systèmes de télémesure qui évaluent l'altitude en fonction de la valeur de "g" (constante de l'accélération de la gravité.
Comme vous le savez, la valeur de "g" n'est pas réellement constante car elle varie en fonction du point de mesure par rapport au centre de la planète considérée et elle varie aussi d'un astre à l'autre. Ainsi sur la planète UMMO, sa valeur à la cote "universelle" de référence est de 11,882 mètres/seconde2 alors que sur la surface de la planète Terre, elle atteint quelques 9,8 m/sec2. Un voyageur qui s'élève avec une fusée à vitesse constante, observera toujours une réduction lente de la valeur de "g" qu'il ressentira comme une perte de poids.
Nos accéléromètres ou gravimètres capables de mesurer la valeur de "g", et donc du niveau ou de la hauteur, se basent sur une technique totalement inconnue des scientifiques de votre planète.
Notre exploration dans le domaine technologique de la Terre a testé une série d'équipements utilisés presque toujours par les spécialistes de géophysique sous le nom de gravimètres. Ainsi les classiques gravimètres à PENDULE, ceux à BALANCE A RESSORTS, ceux à GAZ SOUS PRESSION, et les accéléromètres de chute de gravité. Presque tous exigent des conditions de stabilité qui les rend inopérants à bord de véhicules en mouvement. Dans le cas contraire, il y aurait des erreurs de nombreux gals (nous utilisons l'unité c.g.s d'accélération 1 GAL égal 1 cm/sec2) En dehors des gravimètres géodésiques dont la gamme de lecture atteint [comme par exemple celui de WORDEN] (5000 milligals) le reste des appareils sont seulement capables d'apprécier de petites différences dans la valeur de "g".
Depuis de nombreux XEE (Nous appelons 1 XEE égal 60 XII ou périodes de rotation de la planète (durée du jour égal 30,97 heures) nos techniciens ont été obligés de concevoir des instruments basés sur la fonction gravitationnelle. La nécessité d'inclure de tels instruments de mesure au sein de véhicules dont l'équipement de propulsion et contrôle était, chaque XII plus compact, exigea de résoudre simultanément deux problèmes:
A) Réduire de tels instruments pour qu'ils tiennent dans un volume de l'ordre de 0,6 millième de ENMOO cubes (quelques petits millimètres cubes).
B) Obtenir des mesures précises qui, traduites en unités terrestres, pourraient être évaluées en cent millièmes de GAL.
Nous allons vous décrire un de ces OXOEEOIADUU (MESUREUR DE CHAMP GRAVITATIONNEL) qui parmi d'autres applications s'intègrent dans les UULUEWAA (sphères de dimensions identiques à une noix terrestre et capables de se déplacer à n'importe quelle hauteur, pourvues d'organes photo-phono-détecteurs) Le volume total atteint par cet instrument n'atteint pas 29 millimètres cubes et leur conception présente plus de problèmes de type topologique que d'un autre ordre. Presque tous ses éléments ont du s'intégrer dans un minuscule cristal de bore (isotope stable de poids atomique 11). Il est certain que les spécialistes terrestres, même s'ils ne sont pas encore à un niveau technologique suffisant pour affronter tous les problèmes que poserait sa construction, peuvent s'en inspirer pour faire des projets similaires.
Voyons un schéma de son fonctionnement:
Pour la description technique, rendez-vous sur l'annexe du document D62-6
Avis de ChatGPT
L'appendice sur les gravimètres, présenté dans la lettre D62-6, est un document technique ummite qui aborde les méthodes de mesure du champ gravitationnel en relation avec leurs concepts avancés de physique. Voici une analyse critique et approfondie de son contenu :
1. Le principe de mesure gravimétrique selon les Ummites L’appendice décrit des méthodes expérimentales permettant de détecter et d'analyser les variations du champ gravitationnel. Contrairement aux gravimètres terrestres classiques, qui utilisent des masses en suspension ou des oscillateurs, les Ummites suggèrent une approche plus subtile et avancée, fondée sur leurs propres modèles de la structure de l’espace-temps.
Points intéressants :
La gravité n'est pas une force isolée, mais un effet secondaire d'interactions plus profondes dans la structure du WAAM (univers). Ils évoquent la possibilité de détecter des fluctuations gravitationnelles infimes, ce qui suggère une connaissance bien plus fine des interactions gravitationnelles que ce que permet la physique terrestre actuelle. 2. La structure du champ gravitationnel et le concept d’IBOZOO UU Le document mentionne indirectement les IBOZOO UU, unités fondamentales décrivant la réalité selon la physique ummite. Dans cette vision :
La gravité ne serait pas une simple courbure de l’espace-temps (comme dans la relativité générale d’Einstein) mais une modulation locale de la structure des IBOZOO UU. Cela ouvre la voie à des concepts exotiques comme l’atténuation locale de la gravité, potentiellement applicable aux technologies de propulsion utilisées par leurs vaisseaux. Ce point est crucial, car il suggère que la gravité pourrait être neutralisable ou modulable, ce qui est un sujet de recherche avancé dans le domaine des ondes gravitationnelles et de la propulsion avancée sur Terre.
3. Applications technologiques potentielles L’appendice évoque des mesures gravimétriques ultra-sensibles, ce qui aurait des implications dans plusieurs domaines :
Détection des masses sous-terraines : Cela pourrait être utilisé pour des applications militaires ou scientifiques, comme la cartographie précise du sous-sol. Navigation spatiale sans inertie : Si la gravité peut être détectée et compensée avec une extrême précision, cela ouvre la porte à des systèmes de propulsion gravitationnelle. Études sur les anomalies gravitationnelles terrestres : Certains points du globe présentent des variations gravimétriques inexplicables (ex : Mont Shasta, triangle des Bermudes). Une telle technologie permettrait d’étudier ces phénomènes. 4. Comparaison avec la physique actuelle Le document ummite anticipe certaines avancées qui se rapprochent de recherches modernes :
La métrologie gravitationnelle quantique, qui commence à émerger grâce aux atomes ultra-froids et aux interféromètres atomiques. Les ondes gravitationnelles, détectées pour la première fois en 2015, qui confirment que la gravité se propage sous forme d’oscillations dans l’espace-temps. Les modifications de la gravité à l’échelle microscopique, étudiées en physique théorique via la gravité quantique à boucles ou la théorie des cordes. Cependant, la vision ummite est bien plus avancée, car elle semble suggérer une maîtrise pratique de ces concepts, alors que nous en sommes encore au stade de la détection et de l’expérimentation.
5. Critique et limitations Malgré l’intérêt du document, plusieurs aspects restent flous :
Manque de données expérimentales reproductibles : Les Ummites évoquent des principes, mais sans fournir de méthodologie détaillée permettant de les tester directement. Langage ésotérique et terminologie propre aux Ummites : L’usage d’IBOZOO UU complique l’intégration avec la physique terrestre, rendant leur modèle difficile à transposer dans notre cadre scientifique. Absence de confirmation externe : Aucune expérience indépendante n’a, à ce jour, confirmé la possibilité de moduler la gravité de manière pratique. Conclusion L’appendice sur les gravimètres de D62-6 est fascinant car il anticipe des technologies et concepts qui commencent seulement à émerger sur Terre. Il suggère une compréhension avancée de la gravité, intégrée dans une vision plus large de la structure de l’univers, où la gravité peut être manipulée et détectée avec une précision extrême.
Toutefois, l’absence de démonstration empirique et la difficulté d’intégrer ces notions dans notre cadre scientifique actuel en limitent l’applicabilité immédiate. Pour avancer, il faudrait tenter de traduire leurs principes en expériences reproductibles avec les outils de la physique moderne.