W-Hypothétiques CETONIA AURATA 2019 : Différence entre versions

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(C-A-6 (21-01-2019))
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  ''En cours''
 
 
==C-A-1 (13-01-2019)==
 
 
Les écrits anciens, longuement dissimulés par certaines communautés ignorant souvent leur véritable origine, ont donné lieu à de nombreuses déformations fantaisistes ou interprétations incomplètes.
 
 
Prenez le Principe de Mentalisme stipulant que : "Le Tout est Esprit ; l'Univers est Mental", ou encore le Principe de Correspondance reconnaissant que : "Ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas ; ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut".
 
 
=> Pour l’être doué de conscience, l'opposition entre le sujet et l’objet existe. C’est notamment pourquoi il donne consistance à diverses Entités inaccessibles sur lesquelles il peut orienter ses suppliques, son amour, son adoration, voire son être entier. Pourtant, l'existence n'a pas d'autre but que de réaliser en soi-même la "totalité", sans distinction entre objet et sujet. C'EST DANS LA SUBJECTIVITÉ DE L'INDIVIDU QUE L'OBJET EXISTE, ET NULLE PART AILLEURS. Dans l’être sont à la fois présents l'origine et le but, le haut et le bas. Existe en lui la totalité des expériences, de toutes les pensées, de toutes les émotions. Toutes les potentialités sont présentes et la tâche est de réaliser leur objectivité dans le subjectif. L'individu pensant est le foyer où converge tout l’univers.
 
 
==C-A-2 (14-01-2019)==
 
 
Non Monsieur . Le terme est  ici aussi, galvaudé. Partez du concept de temps. Observez et interrogez : qu'est-ce que le processus de la "pensée ? L'illusion de l'écoulement du temps est une mesure effectuée par l’encéphale. Le cerveau procédé par COMPARAISON de deux événements diachroniques pour déduire l'orientation temporelle. La comparaison EST un processus temporel. Comprenez que la pensée et le temps dans sa perception psychique, ne sont qu'un seul et même processus.
 
 
Temps = pensée = thésaurisation de connaissances = mémoire = assise identitaire illusoire.Songez aux états d’amnésie rétrograde complète : l'individu n'a plus de repérés identitaires, plus d'histoire. Le "moi est a reconstruire entièrement Dans les états d’amnésie antérograde sévère, l'accumulation de nouvelles informations ne se fait plus, l’identité se désagrégé, la flèche temporelle change de sens.
 
 
''Nous savons cela, mais quel rapport avec le Tout ?''
 
 
Attendez Monsieur. Interrogez vous sur la possibilité d'une abolition de ce temps psychique, chez l'individu sain. La mémoire, les souvenirs de l'histoire propre, sont le temps, le "moi" de cet individu. Qu'y a-t-il en l'absence de ce temps? Poussez la logique au-delà d'une simple réflexion binaire et ne dites pas "rien", car "rien" est aussi une autre dénomination de Tout". Comprenez-vous?
 
 
''C'est le Principe de Polarité, les extrêmes se touchent''
 
 
Ce n'est pas uniquement cela. Monsieur . Toute chose est nécessairement "limitée", vous diriez "par essence", ne serait-ce que symboliquement circonscrite par le langage, sinon vous ne pourriez même pas en parler. Or, êtes-vous, ici. en présence d'une "chose" si celle-ci n'a pas de limites?
 
 
Le Tout contient tout en puissance. C'est un autre nom de Dieu.
 
 
==C-A-3 (19-01-2019)==
 
 
 
''... mais je ne suis pas d'accord avec vous car il est clair pour moi que la pensée n'est pas un élément "matériel".''
 
 
''Cher Dédale, est-ce parce que vous faites une distinction en termes de "degrés" des trois grands plans, entre les plans physique, mental et spirituel ?''
 
 
Oui, il existe un continuum. La division est arbitraire, vous le savez.
 
 
''Ce n'est pas si arbitraire, car il y a une différence fondamentale entre matière et mental !''
 
 
C'est une illusion. Prenez la pensée. La pensée est au cerveau ce qu'une vague est au liquide. L'onde n'est pas le liquide, mais la résultante d'un processus matériel au sein de la matière elle-même.
 
 
''D'accord, mais qu'en est-il du "spirituel", de la "conscience" ? Par définition, nous sommes ici à l'opposé du "matériel".''
 
 
N'allez pas trop vite, Monsieur... Arrêtez-vous sur le terme "conscience". Que recouvre ce terme ? La conscience n'est pas la pensée. "Conscience" est un synonyme de "vision".
 
 
Acceptez-vous l'idée que la matière peut être Conscience ?'
 
 
''Ce serait admettre que mon tabouret est conscient en ce moment de soutenir mon royal postérieur, ce qui me semble compromis, avec tout le respect que je vous dois :)''
 
 
Le "degré de conscience" de votre tabouret est supérieur à celui d'un corpuscule élémentaire isolé, mais infiniment inférieur à celui du protozoaire qui évolue dans l'eau du vase devant vous, Monsieur...
 
 
''Bien vu ! :)''
 
 
''Pourriez-vous développer l'idée de "matière consciente", s'il vous plaît ?''
 
 
==C-A-4 (19-01-2019)==
 
 
Matériel et Spirituel sont les facettes différentes d'une même pièce.
 
 
Il existe une loi de la complexité dirigée de la matière vers la matière vivante que l'on pourrait appeler "orthogenèse". De l'assemblage laborieux des corps élémentaires qui forment la matière, au développement merveilleux du système nerveux le plus élémentaire, il y a un processus discret d'augmentation de la Conscience.
 
 
De la méga-molécule de protéine non vivante au protoplasme vivant, il y a une accroissement significatif de la "conscientisation". L'organisme unicellulaire gagne en VISION. Il perçoit son environnement (salinité, température, acidité du milieu...), contrairement à la protéine, pourtant beaucoup plus complexe dans son arrangement que la molécule d'eau...
 
 
''Mais une cellule n'a pas conscience d'elle-même.''
 
 
Pas "d'elle-même", Monsieur...  "d'elle-même" signifie "réflexion", c'est-à-dire la capacité d'une conscience à se replier sur soi. Ceci n'est l'attribut que organismes résultant d'une évolution très lente des systèmes nerveux.
 
 
Le cerveau se développe et s'améliore continuellement sur des durées nécessairement longues. Les phénomènes de SOCIALISATION sont des témoignages éminents du degré d'évolution des différents phyla.
 
 
En surface - vous diriez au niveau "matériel" - les connexions nerveuses et l'agencement complexe des ganglions sont totalement corrélées, en profondeur, au degré de "conscience", à travers une relation que l'on peut qualifier de mathématique.
 
 
''A plus gros cerveau, plus grande intelligence de toute évidence.''
 
 
La'arrangement de l'assemblage complexe des réseaux nerveux prime sur la quantité, mais une quantité suffisante est une condition obligatoire. Si le degré de perfectionnement  matériel ou physique du système nerveux suit une logique progressive selon un continuum d'évolutif lent, ce n'est pas le cas de la Conscience, qui suit une logique discrète, par sauts qualitatifs, discontinus.
 
 
''Comment expliquer cette dichotomie entre le continu et le discontinu ?''
 
 
Elle est le résultat d'un processus de brisure corrélé à un  accroissement  perpétuel (d'abord en quantité, puis en qualité). A l'image du liquide qui bout soudainement, les systèmes s'éloignent très lentement d'un point d'équilibre, jusqu'à la rupture, qui n'est rien d'autre que la manifestation d'un tout nouvel état (conscience, réflexion, libre arbitre...). État, lui-même, issu du matériel.
 
 
''Quel  rapport faites vous entre la conscience et le libre arbitre ? Pour moi, les animaux sont libres, même si Jean-Jacques Rousseau fait une belle démonstration du contraire à ce sujet (l'histoire du pigeon et du plateau à viande). Il suffit de regarder les primates ou les mammifères marins pour se rendre compte qu'ils sont conscients (même d'eux-mêmes, voir l'expérience de la "tache rouge" et du miroir).''
 
 
M. ......, comme expliqué ci-dessus, une sensibilisation accrue n'est rien d'autre qu'un accroissement de la VISION.
 
 
L'homme est donc plus libre que le dauphin, mais son degré de liberté reste particulièrement restreint.
 
 
En effet, il ne PERÇOIT PAS que l'essentiel de ses actes résultent de la pression de divers conditionnements qui dictent ses attitudes et son comportement. Il ne VOIT PAS toute l'influence qu'on sur lui ses préjugés, ses idéaux, le conditionnement  social, le conditionnement religieux, politique  ou culturels.  Cela alimente de nombreux conflits internes à l'origine d'intense souffrance et d'une société complètement déséquilibrée.
 
 
Accroître son niveau de conscience, c'est voir, voir c'est comprendre et comprendre c'est être libre d'agir en connaissance de cause.
 
 
Maintenant une fois de plus, interrogez-vous: si voir permet de se libérer du carcan déterministe de la matière: si la conscience et le libre-arbitre transcendent le matériel, alors, qu'y a-t-il au-delà?
 
 
==C-A-5 (20-01-2019)==
 
 
Non Monsieur, les fractales introduites par Benoit Mandelbrot sont plus que cela. Elles jouent un rôle important en tant que fonctions généralisées permettant de décrire certains systèmes dynamiques.
 
 
Vous posiez notamment une question sur la nature de ce que vous nommez "synchronicités"
 
 
Il existe, en mécanique classique, des systèmes qualifiés "d'instables". Ces systèmes, bien connus des physiciens, sont rigoureusement DÉTERMINISTES, mais extrêmement sensibles aux conditions initiales. Plus le système  est complexe, plus il est sensible aux conditions initiales et moins il est possible de déterminer sa trajectoire, qui est alors semblable à celle douée d'un comportement aléatoire. Néanmoins, vous pourriez dire qu'avec la| connaissance d'une précision INFINIE des dites conditions, vous seriez capable de PRÉDIRE cette trajectoire, ce qui est vrai, et ce qui répond à une définition du Divin. Vous diriez alors que Dieu est "capable" de prédire le futur  puisqu'il connaît l'état du monde initial avec une précision infinie (ce qui est vrai, d'une certaine manière).
 
 
CEPENDANT, il existe une forme d'instabilité encore plus forte, de telle sorte que les trajectoires et les comportements sont non prédictibles QUELLE QUE SOIT LA PRÉCISION DES CONDITIONS INITIALES Ce type d'instabilité est d'une importance majeure, elle s'applique aussi bien a la mécanique classique qu'a la mécanique quantique |
 
 
Les physiciens la connaisse bien depuis les travaux de l'éminent mathématicien Henri Poincaré et son étude des "systèmes dynamiques non intégrables". La non intégrabilité explique pourquoi le monde n'est pas isomorphe a un ensemble de corps sans interactions, sans orientation temporelle (entropie), qui n'aurait pas de place pour le développement de complexes auto-organises et. par conséquent, au vivant.
 
 
Voyez pourquoi; un système dynamique instable intégrable est, en réalité, une entité extrêmement rare. En effet il est indispensable de prendre en considération l'existence de RÉSONANCES ENTRE LES DEGRÉS DE LIBERTÉ DU SYSTÈME .Ceci est un élément fondamental
 
 
En effet, au niveau statistique, les résonances entraînent l’annulation du déterminisme, elles introduisent l'incertitude, le libre arbitre et explique l'existence d'une flèche du temp.
 
 
Le concept de résonance caractérise un rapport entre des FRÉQUENCES. La résonance se manifeste notamment lorsque deux fréquences correspondent a un rapport numérique simple où l'une des fréquences est égale a un multiple entier de l'autre. Les résonances conduisent a un couplage entre événements (pensez au couplage entre deux sons). Le phénomène est effectivement bien connu des musiciens, avec les harmoniques.
 
 
Les synchronicités sont ni plus ni moins qu'une forme singulière de couplage.
 
 
==C-A-6 (21-01-2019)==
 
 
[...] parce que la VIE entière de l'individu EST un système dynamique instable. Chaque événement de vie est une brisure d'équilibre L'instabilité du système offre un éventail de changements tendant vers un nombre incalculable, ce qui traduit une complexité elle-même infinie que vous pouvez imaginer comme un vaste réseau de bifurcations dont les nœuds incarnent la présence d'événements divers. Imaginez alors une représentation de tous les changements d'états d'un individu au cours de sa vie. Supposez que vous traciez une branche à chaque survenue d'un nouvel événement faisant basculer l'individu dans un nouvel état d'équilibre. Par exemple, une personne travaillant quarante ans dans la même entreprise (état stable) peut être un jour licenciée (occurrence) et changer d'emploi (nouvel état). Ou bien, vous pouvez imaginer quelqu'un contemplant un paysage puis arrêter soudainement son activité à cause de précipitations atmosphériques. Ou encore, une personne en train de s'exprimer alors qu'une autre lui coupe brusquement la parole, etc,.
 
 
Comprenez que vous rencontrez ces bifurcations à tous les niveaux, c'est-à-dire à différentes échelles temporelles. L'état d’instabilité peut se retrouver à l'échelle d'une vie entière (emploi, vie de famille, santé physique, etc, ), mais également a des échelles très réduites (le besoin de manger, la rencontre entre deux amis, un grain de poussière effleurant la cornée, etc.). Finalement vous constaterez des changements d'états entraînant d'auto changements d'états à l'image des cascades de bifurcations observées dans les schémas de systèmes stochastiques, s’emboîtant les unes dans les autres. Ce sont des schémas incarnant une complexité fabuleuse à travers une structure fractale.
 
 
Maintenant imaginez la scène fantastique où un personnage imaginaire pourrait, à la fin de sa vie, se retourner et contempler la longue route infiniment sinueuse qu'il aurait empruntée a travers ces innombrables bifurcations c'est-a-dire avec un vecteur "temps" orthogonal à l'axe physique) Ce chemin tortueux imaginaire est une autre représentation des décisions prises par l’individu sur sa vie entière. Ce sentier matérialise chaque choix et chaque changement de l'être pensant. Bien entendu, alors qu'il arpente ce chemin, l'individu réel est incapable de prévoir précisément la route qu'il va prendre l'instant d'après (imprédictibilité), cependant, lorsqu'il prend de l'altitude ce personnage imaginaire peut contempler le trajet effectué et comprendre comment il est arrivé jusqu'ici (causalité) .Vous devinez également que le parcours choisi aurait pu être totalement différent en fonction de la variation des contingences (sensibilité aux conditions initiales).
 
 
Le "système" infiniment complexe dans lequel évolue l’individu reste toutefois déterministe. II repose sur des causes mécaniques, des causes efficientes. Pourtant, vous pourriez objecter que les motivations personnelles d'un être pensant ne trouvent pas toutes leur origine dans ce type de causes, malgré les pressions inimaginables de ses divers conditionnements. En réalité, la sphère que vous qualifieriez de CONSCIENTE de l'individu montre que la motivation de l'être humain obéit également a une FINALITÉ.
 
 
Chaque fois qu'un individu se présente devant un choix dont il a CONSCIENCE - c'est-a-dire qu'il VOIT, ceci l’amène a adopter une possibilité qui reflétera son libre-arbitre. Ainsi, dans ce tortueux diagramme de bifurcations, vous voyez que c'est la conscience du sujet, sa liberté de choix, qui lui permet de se "diriger" dans ce dédale chaotique. La perception-conscience étant particulièrement limitée chez vous en l'état actuel, comprenez que plus de 80% de cette sinueuse trajectoire de vie ne dépend pas vraiment, en réalité, de votre libre-arbitre.
 
 
==C-A-7 (22-01-2019)==
 
 
 
''...la singularité du Big Bang ?''
 
 
Le temps est éternel.
 
Vous avez un âge, une civilisation a un âge, l'Univers a un âge, mais le temps n'a ni début ni fin.
 
Le "flux du temps" est associé à des processus "irréversibles". Vous diriez qu'une horloge entropique, qui enregistre la production d'entropie, est différente d'une horloge mécanique.
 
Vous parliez du "paradoxe des jumeaux". Une modification de l'effet gravitationnel peut parfaitement modifier les résonances. Par exemple, si vous envoyez deux jumeaux dans l'espace et qu'un seul d'entre eux traverse un champ gravitationnel avant de revenir sur Terre, vous verrez des âges différents à votre retour. Le "flux du temps" n'est pas unique, mais la direction du temps est invariable.
 
Ils peuvent voir, et seulement voir, le passé, mais pas l'avenir. Le "je" dont ils parlaient est en fait un "observateur relativiste" qui dépend ici du système même dans lequel il évolue.
 
Pour le comprendre, on peut s'appuyer sur des représentations très simples, comme le diagramme espace-temps du théoricien Hermann Minkowski.
 
L'Univers n'est pas traversé par la lumière, il EST lumière. En ce sens, la limite dite de "vitesse" n'est rien d'autre que la traduction d'une contrainte géométrique intrinsèque.
 
Dans la représentation de ce diagramme, un observateur à l'origine du "cône de lumière" ne peut PERCEVOIR que ce qui est inférieur à cette limite de vitesse (c'est-à-dire ce qui se trouve à l'intérieur du cône). En dehors du cône, les vitesses seraient "plus élevées", ces régions sont donc "exclues" (impossibilité géométrique).
 
La limitation de vitesse, comme son nom l'indique, impose une limite qui explique que les effets du SIMULTANÉ, mais des événements éloignés situés en des points éloignés de cet observateur ne donneront que des effets qu'il percevra "plus tard", même si ces effets se propagent à la vitesse de la lumière.
 
Dans cette configuration, un moi relativiste n'a, par définition, qu'une fenêtre limitée sur le monde extérieur.
 
 
''Un individu disposant d'une liberté de choix absolue aurait la possibilité d'augmenter son "champ de vision" au point d'avoir des facultés prémonitoires... Une sorte de transcendance du petit moi limité ?''
 
 
Pas exactement. Gardez toutefois à l'esprit que de telles entéléchies sont possibles.
 
Ne confondez pas une description physique avec une description psychologique.
 
 
''Serait-il exempt de toute forme de névrose ?''
 
 
Oui, elles sont principalement le résultat d'un manque de perception globale de la racine des conflits internes et de dissonance avec la réalité.
 
 
Les signes de souffrance inhérents sont similaires à ceux des tempêtes ou des ouragans soutenus par de forts vents contraires.
 
 
Comme pour l'étonnante tache rouge de Jupiter, les vents qui règnent au-dessus et en dessous du tourbillon se déplacent dans des directions opposées et conservent leur structure comme une bille qui tourne dans vos mains.
 
 
Ce qui n'est pas vu, pas compris, et rejeté de soi-même, revient irrémédiablement sous forme de douleur.
 
 
==C-A-8 (23-01-2019)==
 
 
L'idée développée par Mlle........ sur l'augmentation d'une "Conscience Collective" est correcte. Mais il n'est pas correct de vouloir supprimer l'"ego" ou l'unicité individuelle des hommes. J'ai été mal compris.
 
 
En fait, il y a une accélération vers un point de CONVERGENCE, par un processus de torsion et d'équilibre instable.
 
 
Sur le plan numérique, une humanité surpeuplée concentre son activité de survie sur des projets de migration vers de nouvelles étoiles pour poursuivre son expansion (nouvel équilibre). Il s'agit de l'externalisation d'une expansion "physique".
 
 
Au niveau individuel, l'évolution naturelle de l'humanité conduit à l'émergence inexorable de toujours plus de Conscience, c'est-à-dire au reploiement interne, à l'accroissement de la vision et d'une sur-centration. Vous pouvez alors visualiser l'image de cette centration venant engendrer la contraction de chaque pôle et "attirant" ainsi tous les autres centres en participant à l'émergence d'un FOCUS SUPÉRIEUR collectif d'hyper-réflexion. Voyez alors comme est inadaptée l'idée d'une opposition franche entre individualité et  société. Vous devinez qu'ici se situe non plus une extériorisation, mais une intériorisation psychique.
 
 
Enfin, et certains d'entre vous devinent déjà la conséquence de cette réflexion, que se passe-t-il au plan "cosmique" si toutes les Humanités arrivent à autant de foyers d'hyper-conscience ?
 
 
Voici la réponse : tandis que l'origine du monde physique procède d'un point primordial singulier, son "aboutissement", sa "finalité", quand à elle prend  forme dans celui d'un  vertigineux FOYER TERMINAL supra Conscient
 

Version actuelle datée du 26 février 2021 à 10:23