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(Tweet 1 de @C_Aurata 13/01/19)
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Tweets de Cetonia Aurata (janvier-2019) (Le compte twitter, Cetonia Aurata, a envoyé ses textes sous la forme d'une image, que nous joignons ici en traduction)




Tweet 1 de @C_Aurata 13/01/19

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Les écrits anciens, longtemps tenus cachés par certaines communautés, souvent ignorantes de leur véritable origine, ont donné lieu à de nombreuses déformations imaginatives ou interprétations incomplètes.

Prenez le principe du Mentalisme qui stipule que : "Tout est Esprit ; l'Univers est Mental" ou le principe de Correspondance qui reconnaît que : "Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ; ce qui est en bas est comme ce qui est en haut".

=> Pour l'être doué de conscience, il y a l'opposition entre le sujet et l'objet. C'est précisément grâce à cela qu'il donne consistance à diverses Entités inaccessibles sur lesquelles il peut orienter ses demandes, son amour, son adoration, voire tout son être. Or, l'existence n'a d'autre but que de réaliser en elle-même la "totalité", sans distinction entre objet et sujet. C'EST DANS LA SUBJECTIVITÉ DE L'INDIVIDU QUE L'OBJET EXISTE, ET NULLE PART AILLEURS. Dans l'être sont présents à la fois l'origine et la finalité, le dessus et le dessous. La totalité des expériences, de toutes les pensées, de toutes les émotions existe en elle. Toutes les potentialités sont présentes et leur tâche consiste à atteindre leur objectivité dans le subjectif. L'individu pensant est le foyer où converge tout l'univers).

Tweet 2 de @C_Aurata 14/01/19

Est-ce la définition du Tout ? Le Tout n'inclut-il pas aussi le temps par définition ?


Non, M. ......... Le terme est, ici aussi, dévalorisé. Commençons par le concept de temps. Observez et demandez : quel est le processus de " pensée " ? L'illusion du passage du temps est une mesure effectuée par le cerveau. Le cerveau procède par COMPARAISON de deux événements diachroniques pour en déduire l'orientation temporelle. La comparaison EST un processus temporel. Comprenez que la pensée et le temps, dans votre perception psychique, sont un seul et même processus. Temps = pensée = accumulation de connaissances = mémoire = base identitaire illusoire. Pensez aux états d'amnésie rétrograde complète : l'individu n'a plus de repère identitaire, plus d'histoire. Le moi doit être complètement reconstruit. Dans les états d'amnésie rétrograde sévère, l'accumulation de nouvelles informations ne se produit plus, l'identité se désintègre, la flèche du temps change de direction.


Nous le savons, mais qu'est-ce que cela a à voir avec l'ensemble ?


Attendez, monsieur... Interrogez-vous sur la possibilité d'une abolition de ce temps psychique chez l'individu sain. La mémoire, les souvenirs de notre propre histoire, sont le temps, le "je" de cet individu. Que reste-t-il en l'absence de ce temps ? Dépassez la logique d'une simple réflexion binaire et ne dites pas "rien", car "rien" est aussi un autre nom pour "tout". Avez-vous compris ?


C'est le principe de la polarité, les extrêmes se touchent.


Toute chose est nécessairement " limitée ", on dirait " par essence ", même si elle n'est que symboliquement circonscrite par le langage, sinon on ne pourrait même pas en parler. Mais alors, êtes-vous en présence d'une "chose" si elle n'a pas de limites ?

Le tout contient tout en puissance. C'est un autre nom pour Dieu.



Tweets 3 et 4 de @C_Aurata 19/01/19

Mais je ne suis pas d'accord avec vous car il est clair pour moi que la pensée n'est pas un élément "matériel".


Cher Dédale, est-ce parce que vous faites une distinction en termes de "degrés" des trois grands plans, entre les plans physique, mental et spirituel ?


Oui, il y a une continuité. La division est arbitraire, vous savez.


Ce n'est pas si arbitraire, car il y a une différence fondamentale entre le matériel et le mental !


C'est une illusion. Comprenez l'idée. La pensée est au cerveau ce qu'une onde est au liquide. L'onde n'est pas le liquide, mais le résultat d'un processus matériel au sein même de la matière.


Ok, mais qu'en est-il de "spirituel", "conscience" ? Par définition, nous sommes ici à l'opposé du "matériel".


N'allez pas trop vite, monsieur... Attardons-nous sur le terme "conscience". Que recouvre ce terme ? La "conscience" n'est pas la pensée. "Conscience" est un synonyme de "vision".

Acceptez-vous l'idée que la matière puisse être la conscience ?


Ce serait admettre que mon tabouret est conscient en ce moment de supporter mes vraies fesses, ce qui me semble douteux, avec tout le respect que je vous dois :).


Le "degré de conscience" de vos selles est supérieur à celui d'un corpuscule élémentaire isolé, mais infiniment inférieur à celui du protozoaire qui évolue dans l'eau du vase devant vous, Monsieur...


Bien vu ! :)


Pourriez-vous développer l'idée de "matière consciente", s'il vous plaît ?


Le matériel et le spirituel sont des facettes différentes de la même pièce.

Il existe une loi de complexité dirigée de la matière vers le vivant que l'on pourrait appeler "orthogenèse". Depuis l'assemblage laborieux des corps élémentaires qui forment la matière, jusqu'au développement merveilleux du système nerveux le plus élémentaire, il existe un processus discret d'accroissement de la Conscience.

De la méga-molécule protéique non vivante au protoplasme vivant, il y a une augmentation significative de la "conscience". L'organisme unicellulaire gagne en VISION. Elle perçoit son environnement (salinité, température, acidité du milieu...), contrairement à la protéine, qui est elle-même beaucoup plus complexe dans son agencement que la molécule d'eau.......


Mais une cellule n'est pas consciente d'elle-même.


Pas de "lui-même", M. ..... "D'elle-même" signifie "réflexion", c'est-à-dire la capacité d'une conscience à se replier sur elle-même. Ce n'est l'attribut que des organismes résultant d'une évolution très lente des systèmes nerveux.

Le cerveau se développe et s'améliore continuellement sur des périodes nécessairement longues. Les phénomènes de SOCIALISATION sont des témoignages éminents du degré d'évolution des différents phylum.

En surface - on pourrait dire au niveau "matériel" - les connexions nerveuses et la disposition complexe des ganglions sont totalement corrélées, en profondeur, avec le degré de "conscience", par une relation que l'on peut qualifier de mathématique.


Plus le cerveau est gros, plus l'intelligence est grande, évidemment.


L'agencement de l'assemblage complexe des réseaux nerveux prime sur la quantité, mais une quantité suffisante est une condition préalable obligatoire. Si le degré de perfection matérielle ou physique du système nerveux suit une logique progressive selon un continuum évolutif lent, ce n'est pas le cas de la Conscience, qui suit une logique discrète, par bonds qualitatifs et discontinus.


Comment expliquer cette dichotomie entre le continu et le discontinu ?


Elle est le résultat d'un processus de rupture corrélatif à une augmentation perpétuelle (d'abord en quantité, puis en qualité). Comme le liquide qui bout soudainement, les systèmes s'éloignent très lentement d'un point d'équilibre, jusqu'à la rupture, qui n'est autre que la manifestation d'un état totalement nouveau (conscience, réflexion, libre arbitre...) État, lui-même, résultant de la matière.


Dans quelle relation placez-vous la conscience et le libre arbitre ? Pour moi, les animaux sont libres, même si Jean-Jacques Rousseau fait une belle démonstration du contraire à ce sujet (l'histoire du pigeon et du plateau de viande). Il suffit de regarder les primates ou les mammifères marins pour se rendre compte qu'ils sont conscients (même d'eux-mêmes, voir l'expérience du "point rouge" et du miroir).


Mr......., comme expliqué ci-dessus, l'augmentation de la capacité de conscience n'est rien d'autre qu'une augmentation de la VISION.

L'homme est donc plus libre que le dauphin, mais son degré de liberté reste particulièrement limité.

En effet, il ne perçoit pas que la plupart de ses actions sont le résultat de la pression de divers conditionnements qui dictent ses attitudes et son comportement. Il ne voit PAS toute l'influence que ses préjugés, ses idéaux, son conditionnement social, religieux, politique ou culturel ont sur lui. C'est ainsi que sont alimentés de nombreux conflits intérieurs qui provoquent d'intenses souffrances et une société complètement déséquilibrée.

Augmenter son niveau de conscience, c'est voir, voir, c'est comprendre, et comprendre, c'est être libre d'agir en pleine conscience.

Maintenant, une fois de plus, demandez-vous : si voir vous libère du domaine déterministe de la matière, si la conscience et le libre arbitre transcendent la matière, alors qu'y a-t-il au-delà ?

Tweet 5 de @C_Aurata 20/01/19

No, señor........, los fractales introducidos por Benoît Mandelbrot son más que eso. Desempeñan un papel importante como funciones generalizadas para describir ciertos sistemas dinámicos.

En particular, usted hizo una pregunta sobre la naturaleza de lo que usted llama "sincronías".

En la mecánica clásica, hay sistemas llamados "inestables". Estos sistemas, bien conocidos por los físicos, son estrictamente deterministas, pero extremadamente sensibles a las condiciones iniciales. Cuanto más complejo es el sistema, más sensible es a las condiciones iniciales y menos probable es que determine su trayectoria, lo que la hace entonces similar a la de un comportamiento aleatorio. Sin embargo, se podría decir que con el conocimiento INFINITO de dichas condiciones, se podría predecir esta trayectoria, lo que es verdad, y que se ajusta a una definición de lo Divino. Se diría entonces que Dios es "capaz" de predecir el futuro, ya que conoce el estado del mundo original con infinita precisión (lo cual es cierto, de algún modo).

SIN EMBARGO, hay una forma aún más fuerte de inestabilidad, tal que las trayectorias y los comportamientos son impredecibles, SEA CUAL SEA LA PRECISIÓN DE LAS CONDICIONES INICIALES. Este tipo de inestabilidad es de gran importancia, se aplica tanto a la mecánica clásica como a la cuántica.

Los físicos lo conocen bien desde el trabajo del eminente matemático Henri Poincaré y su estudio de los "sistemas dinámicos no integrables". La no-integrabilidad explica por qué el mundo no es isomorfo a un conjunto de cuerpos sin interacciones, sin orientación temporal (entropía), que no permitiría el desarrollo de complejos auto-organizados y, en consecuencia, de vida.

Vea por qué: un sistema dinámico inestable e integrable es, en realidad, una entidad extremadamente rara. En efecto, es imprescindible tener en cuenta la existencia de RESONANCIAS ENTRE LOS GRADOS DE LIBERTAD DEL SISTEMA. Este es un elemento fundamental.

En efecto, a nivel estadístico, las resonancias conducen a la cancelación del determinismo, introducen incertidumbre, libre albedrío y explican la existencia de una flecha del tiempo.

El concepto de resonancia caracteriza una relación entre FRECUENCIAS. La resonancia ocurre particularmente cuando dos frecuencias corresponden a una relación numérica simple donde una de las frecuencias es igual a un múltiplo entero de la otra. Las resonancias conducen a un acoplamiento entre eventos (piense en el acoplamiento entre dos sonidos). El fenómeno es bien conocido por los músicos, con los armónicos.

El sincronismo no es más que una forma singular de acoplamiento.


Interesante. Hétenos aquí llegados al Principio de Vibración.


Tweet 6 de @C_Aurata 21/01/19

.....porque la VIDA completa del individuo es un sistema dinámico inestable. Cada acontecimiento de la vida es una ruptura de equilibrio. La inestabilidad del sistema ofrece una serie de cambios tendentes a un número incalculable, reflejando una complejidad infinita que se puede imaginar como una vasta red de bifurcaciones cuyos nodos encarnan la presencia de diversos eventos. Imagínese entonces una representación de todos los cambios en los estados de un individuo a lo largo de su vida. Suponga que dibuja una rama cada vez que ocurre un nuevo evento que hace que el individuo cambie a un nuevo estado de equilibrio. Por ejemplo, una persona que ha trabajado durante 40 años en la misma empresa (estado estable) puede un día ser despedida (ocurrencia) y cambiar de trabajo (nuevo estado). O bien, puede imaginarse a alguien contemplando un paisaje y luego deteniendo súbitamente su actividad debido a precipitaciones atmosféricas. O bien, una persona que está hablando cuando otra persona le corta brutalmente la palabra, etc.

Entienda que usted encuentra estas bifurcaciones a todos los niveles, es decir, en diferentes escalas de tiempo. El estado de inestabilidad se encuentra a escala de una vida entera (empleo, vida familiar, salud física, etc.) pero también a muy pequeña escala (la necesidad de comer, el encuentro entre dos amigos, un grano de polvo que roza la córnea, etc.). Finalmente, podrá constatar cambios en los estados que conducen a otros cambios en los estados, como las cascadas de bifurcaciones observadas en los esquemas de sistemas estocásticos, que se entrelazan entre sí. Estos son esquemas que encarnan una complejidad fabulosa a través de una estructura fractal.


Ahora imaginen la fantástica escena en la que un personaje imaginario podría, al final de su vida, darse la vuelta y contemplar el largo e infinitamente sinuoso camino que habría tomado a través de estos innumerables bifurcaciones (es decir, con un vector "tiempo" ortogonal al eje físico). Este tortuoso camino imaginario es otra representación de las decisiones tomadas por el individuo a lo largo de toda su vida. Este camino materializa cada elección y cada cambio del ser pensante. Por supuesto, mientras camina por este sendero, el individuo real es incapaz de predecir con exactitud la ruta que tomará en el momento siguiente (impredecibilidad), sin embargo, si sube más alto, este personaje imaginario puede contemplar el trayecto seguido y comprender cómo llegó hasta allí (causalidad). Pueden igualmente conjeturar que la ruta elegida podría haber sido totalmente diferente dependiendo de la variación de las contingencias (sensibilidad a las condiciones iniciales).


Sin embargo, el "sistema" infinitamente complejo en el que evoluciona el individuo sigue siendo determinista. Se basa en causas mecánicas, causas eficientes. Sin embargo, usted puede objetar que las motivaciones personales de un ser pensante no tienen todas ellas su origen en este tipo de causas, a pesar de las presiones inimaginables de sus diversos condicionamientos. De hecho, la esfera que usted llamaría la Esfera CONSCIENTE del individuo muestra que la motivación del ser humano también obedece a una FINALIDAD.

Cada vez que un individuo se presenta ante una elección de la que es CONSCIENTE -es decir, que VE-, esto le lleva a adoptar una opción posible que reflejará su libre albedrío. Así, en este tortuoso diagrama de bifurcaciones, ven que es la consciencia del sujeto, su libertad de elección, la que le permite "navegar" a través de este laberinto caótico. Dado que la relación percepción-consciencia está particularmente limitada en su estado actual, comprenderán que más del 80% de esta sinuosa trayectoria de vida no depende realmente, en realidad, de su libre albedrío.


Tweet 7 de @C_Aurata 22/01/19

...la singularidad del Big Bang?


El tiempo es eterno.

Ustedes tienen una edad, una civilización tiene una edad, el Universo tiene una edad, pero el tiempo no tiene ni principio ni fin.

El "flujo de tiempo" está asociado a procesos "irreversibles". Ustedes dirían que un reloj entrópico, que registra la producción de entropía, es diferente de un reloj mecánico.

Estaban hablando de la "paradoja de los gemelos". Un cambio en el efecto gravitacional puede modificar perfectamente las resonancias. Por ejemplo, si envían a dos gemelos al espacio y, antes de regresar a la Tierra, sólo uno de ellos cruza un campo gravitacional, observarán distintas edades cuando regresen. El "flujo del tiempo" no es único, pero la dirección del tiempo es invariable.

Pueden ver, y sólo ver, el pasado, pero no el futuro. El "yo" del que hablaban es en realidad aquí un "observador relativista" que depende del propio sistema en el que evoluciona.

Para entenderlo, se puede apoyar en representaciones muy simples, como el diagrama espacio-temporal del teórico Hermann Minkowski.

El Universo no está atravesado por la luz, ES la luz. En este sentido, el llamado límite de "velocidad" no es más que la traducción de una restricción geométrica intrínseca.

En la representación de este diagrama, un observador en el origen del "cono de luz" sólo puede PERCIBIR lo que es inferior a este límite de velocidad (es decir, lo que está dentro del cono). Fuera del cono, las velocidades serían "más altas", por lo que estas regiones están "excluidas" (imposibilidad geométrica).

La velocidad-límite, como su nombre indica, impone un límite que explica que los efectos de eventos SIMULTÁNEOS, pero lejanos situados en puntos distantes de este observador, sólo darán efectos que él percibirá "más tarde", incluso si estos efectos se propagan a la velocidad de la luz.

En esta configuración, un yo relativista tiene, por definición, sólo una ventana finita al mundo exterior.


Un individuo con absoluta libertad de elección tendría la capacidad de aumentar su "campo de visión" hasta el punto de tener facultades premonitorias? ¿Una especie de trascendencia del pequeño yo limitado?


No exactamente. Tenga en cuenta, sin embargo, que tales entelequias son posibles.

No confundir una descripción física con una descripción psicológica.


¿Estaría libre de toda forma de neurosis?


Sí, estas son el resultado, en su mayor parte, de una falta de percepción exhaustiva de la raíz de los conflictos internos y de una disonancia con la realidad.

Los signos de sufrimiento inherente son similares a esas tormentas o huracanes sostenidos por fuertes vientos en contra.

Al igual que con la asombrosa mancha roja de Júpiter, los vientos que prevalecen por encima y por debajo del vórtice se mueven en direcciones opuestas y mantienen su estructura como una canica que rotaran entre sus manos.

Lo que no se ve, no se entiende, y se rechaza de uno mismo, retorna irremediable convertido en dolor.


Tweet 8 de @C_Aurata 23/01/19

La idea desarrollada por la Srta....... sobre el aumento de una "Consciencia Colectiva" es correcta. Pero no es correcto querer suprimir el "ego" o la singularidad individual de los hombres. Me han malinterpretado.

De hecho, hay una aceleración hacia un punto de CONVERGENCIA, a través de un proceso de enroscamiento y equilibrio inestable.

A nivel numérico, una humanidad superpoblada concentra su actividad de supervivencia en proyectos de migración a nuevas estrellas para continuar su expansión (nuevo equilibrio). Es la exteriorización de una expansión "física".

A nivel individual, la evolución natural de la humanidad conduce al inexorable surgimiento de una Consciencia cada vez mayor, es decir, un replegarse hacia el interior, hacia un crecimiento de visión y un súper-centrado sobre uno mismo. Se puede entonces visualizar la imagen de este Centro generando la contracción de cada polo y "atrayendo" a todos los demás centros participando en la emergencia de un FOCO SUPERIOR colectivo de híper-reflexión. Considere entonces cuán inapropiada es la idea de una oposición franca entre individualidad y sociedad. Ustedes pueden adivinar que aquí ya no se trata de una exteriorización, sino de una interiorización psíquica.

Finalmente, y algunos de ustedes adivinan ya la consecuencia de esta reflexión, ¿qué sucede en el nivel "cósmico" si todas las Humanidades llegan a otros tantos centros de híper-consciencia?

He aquí la respuesta: Mientras el origen del mundo físico parte de un punto singular primordial, su "fin", su "finalidad", toma la forma de un vertiginoso FOCO TERMINAL supra-Consciente.