Discussion:Infinis : Différence entre versions

Version actuelle datée du 21 mars 2025 à 14:39

Document https://www.ummo-sciences.org/fr/pdf/D731.pdf

Pouvez vous tenter une explication de cet extrait : "Une valeur telle que 12^n , en prenant pour "n" n'importe quelle valeur supérieure à un quintillon (10^30 approximativement ), sera considérée par les physiciens d'UMMO comme AIGIOXAA "infini" ; un concept différent d'AIGIOXUOO (infini mathématique) pour lequel "n" aurait une valeur supérieure à n'importe laquelle que vous pourriez imaginer."

Réponse de ChatGPT

L'extrait du document D731 traite de la manière dont les Ummites définissent et perçoivent l'infini selon deux concepts distincts : AIGIOXAA et AIGIOXUOO.

Explication :

AIGIOXAA : un infini pragmatique et opérationnel

Selon les physiciens ummites, une quantité exponentielle comme 10ⁿ devient pratiquement infinie dès que n dépasse un quintillion (10³⁰)

Cela signifie que pour leurs modèles physiques et pratiques, ces nombres sont tellement grands qu'ils sont traités comme une valeur infinie dans leurs calculs et représentations.

AIGIOXUOO : un infini mathématique absolu

Ce concept correspond à l'infini tel qu'il est envisagé en mathématiques, c'est-à-dire une valeur qui n'a aucune limite possible.

La phrase « pour lequel 𝑛 aurait une valeur supérieure à n'importe laquelle que vous pourriez imaginer » souligne que cet infini dépasse toute valeur concevable. Interprétation :

Différence fondamentale entre les deux infinis :

AIGIOXAA est un infini pratique, utilisé pour la physique et l'ingénierie, là où les limites de la computation et des interactions matérielles rendent toute valeur supérieure à 10³⁰ indiscernable de l'infini.

AIGIOXUOO est un infini conceptuel, échappant à toute tentative de quantification ou de limitation.

Pourquoi cette distinction ?

Cela rappelle la distinction en mathématiques entre un très grand nombre et l'infini absolu.

En physique, on adopte parfois des approximations où certaines valeurs deviennent négligeables ou infinies selon le contexte.

Les Ummites semblent appliquer une logique similaire, définissant un infini pragmatique pour leurs modèles scientifiques et un infini absolu pour les concepts métaphysiques et mathématiques.

Cela montre une approche rigoureuse et pragmatique de la science ummite, qui fait écho à des concepts modernes en mathématiques appliquées et en physique.

Réponses Perplexity

Voici une explication détaillée de cet extrait, en lien avec les concepts Ummites :

Contexte clé : Les Ummites distinguent deux notions d'"infini" dans leur physique théorique :

AIGIOXAA : Infini physique/opérationnel

AIGIOXUOO : Infini mathématique absolu

Explication des termes : 1. AIGIOXAA (Infini physique) Définition : Une valeur de type 12ⁿ où n > 10³⁰ (un quintillion)

Caractéristiques :

Valeur si grande qu'elle dépasse toute mesure physiquement pertinente

Utilisée pour décrire des phénomènes cosmologiques (ex: nombre de particules dans un univers, temps d'évolution d'un cosmos)

Correspond à un "infini pratique" - au-delà duquel les variations n'ont plus d'impact observable

2. AIGIOXUOO (Infini mathématique) Définition : Limite conceptuelle où n → ∞

Caractéristiques :

Abstrait, non atteignable physiquement

Utilisé dans les modèles théoriques purs

Implique une croissance sans aucune borne

Analogie terrestre : Concept Ummite Équivalent terrestre Exemple d'application AIGIOXAA Infini thermodynamique Nombre d'états microscopiques dans 1 kg de matière (~10²⁴ atomes) AIGIOXUOO Infini de Cantor Suite mathématique divergente comme ∑1/n Implications cosmologiques : Dans le document D731, cette distinction éclaire leur modèle des multivers :

Les valeurs AIGIOXAA décrivent des grandeurs physiques réelles mais inaccessibles (ex: temps depuis le Big Bang)

Les AIGIOXUOO modélisent des singularités mathématiques (ex: densité infinie d'un trou noir)

Pourquoi 12ⁿ plutôt que 10ⁿ ? Les documents Ummo suggèrent que :

Leur système mathématique est duodécimal (base 12)

La constante 12 apparaît dans leurs équations cosmologiques (ex: courbure spatio-temporelle)

Une croissance exponentielle en base 12 atteint plus rapidement des ordres de grandeur "infinis"

Cette distinction révèle une physique pragmatique où même l'infini est relatif aux capacités d'observation et aux échelles de l'Univers.

Seconde question: Quelles sont les implications de cette définition pour la physique moderne?

Réponse

L'extrait ummite introduit une distinction conceptuelle entre infini physique et mathématique qui résonne avec plusieurs enjeux fondamentaux de la physique moderne. Voici ses implications principales :

1. Redéfinition opérationnelle de l'infini

Transition physique/mathématique : La valeur 12¹⁰³⁰ agit comme seuil pragmatique au-delà duquel les calculs deviennent sans effet mesurable.

Exemple : La densité énergétique du vide quantique (~10¹¹³ J/m³) est traitée comme "effective infinity" dans les modèles cosmologiques

Analogie terrestre : Le nombre d'Avogadro (~10²³) sert de limite pratique en thermodynamique statistique

Implication théorique :

"La physique ne décrit pas le monde lui-même, mais le modèle qu'on déduit des paramètres étudiés". Cette approche rejoint le positivisme einsteinien où l'infini physique devient un artefact méthodologique plutôt qu'une réalité ontologique.

2. Impact sur les théories unificatrices

Concept Ummite Problématique physique moderne Exemple AIGIOXAA Limites de validité des théories Rayon de Schwarzschild des trous noirs (~10²⁷ m pour Sagittarius A*) AIGIOXUOO Incompatibilité relativité/quantique Divergences sur la nature du temps (continu vs discret) La distinction ummite suggère une hiérarchie des infinités :

Niveaux mésoscopiques : physique classique

Échelles 10³⁰-10³⁵ : relativité générale

Au-delà : nécessité d'une théorie de la gravité quantique

3. Réinterprétation cosmologique

Base 12 vs base 10 : Le choix du facteur 12ⁿ plutôt que 10ⁿ pourrait refléter :

Une métrique spatio-temporelle non-euclidienne

Des symétries fondamentales dans leur modèle d'univers (ex : groupes de Lie en E₈×E₈)

Conséquence observationnelle :

"L'espace-temps courbé de la relativité générale devient euclidien à petite échelle". L'AIGIOXAA ummite matérialiserait le point de rupture où cette courbure affecte les mesures.

4. Philosophie des sciences

Cette dualité rejoint trois débats majeurs :

Réalisme vs instrumentalisme : L'infini comme outil plutôt que réalité

Émergence du continu : Passage du discret quantique au continuum relativiste

Limites épistémologiques : "L'histoire montre que chaque théorie révèle ses limites"

Enjeu ultime :

Cette approche fournit un cadre pour dépasser le problème de la mesure quantique en introduisant des échelles de pertinence où les superpositions d'états deviennent physiquement indiscernables au-delà de 10³⁰ particules. Elle suggère que l'unification théorie/expérience passe par une hiérarchisation des modèles plutôt qu'une recherche d'absolu mathématique.