Evènements
Compilation des événements subis par les Oummains ou auxquels ils ont participé, lors de leurs séjours sur Terre
Sommaire
Les premiers jours sur Terre
La "main coupée"
Cette histoire de la main coupé fut une des plus célèbres histoires noires de la fin des années 50 en Espagne.
Suite à la guerre civile espagnole (qui se termina en 1940) une période obscure venait de s'instaurer en Espagne avec une censure qui voyait tout en exerçant une vigilance ridicule.
Un journaliste avait vu l’occasion de détourner la censure avec un journalisme d'investigation sur des cas policiers. Meurtres, assassinats, et tout ces genres des cas étaient le but de ces journalistess qui utilisaient ces cas pour faire une critique sociale. Ce journal "El Caso" avait connu un grand succès auprès du plublic et des milliers de personnes attendaient impatientes l'apparition de cette review (il n'était proprement dit un journal) de périodicité irréguliere.
Un des cas des plus célèbres suivi pendant des mois par "El Caso" fut le cas de "La main coupée" (c'est ainsi que ce cas fut intitulé).
Toute l'histoire raconté par nos amis est la partie cachée de ce qui s'est passé et que fut raconté en détail par "El Caso".
Plusieurs livres se sont écrits sur cet événement, et sur google "La mano cortada" obtiens plus de 5,5 millions de résultats.
Toute ce qu'est raconté par nos amis coïncide avec l'histoire connue et explique les parties cachées qui mené Margarita Ruiz de Lihori Marquesa de Villasante (une noble ruinée) en prison pour quelques jours.
Le cas ne fut jamais résolu, et est passé aux archives de la police comme sans solution connue.
Dans le livre de Ribera "Ummo: La Incredíble Verdad"" il y a un chapitre qui lui est consacré (environ 30 pages), bien qu'il ne contienne pas les informations de la lettre D1378.
Voir aussi les documents D103 , D108, D109
Dans la lettre D1378
Note 4 : Bien que nous soyons faits responsables du très grave incident qui eut lieu dans la Ville d'Albacete (Espagne) parce que nous aurions dû adopter des précautions plus sévères, il est nécessaire de noter qu'à ces dates-là, les expériences étaient réalisées dans des conditions très difficiles. Les tentatives pour placer des portes blindées au laboratoire du Sous-sol entrèrent en conflit avec le refus de votre frère José Maria Bassols selon lequel des éléments blindés entreraient dans l'immeuble de Mayor 58 (albacete) qui pourraient susciter la suspicion des livreurs et des voisins. Ces réparations paraissent si raisonnables, que les événements postérieurs nous ont donné raison. Si les accès avaient été blindés, ne se serait pas déchaîné un... enchaînement de faits qui auraient pu déboucher sur l'une des plus terribles épidémies qu'aurait connu OYAGAA. Une seconde erreur fut de charger votre sœur Luisa Ballery de l'acquisition dans une quincaillerie des serrures de sécurité pour les portes. Avant de les remettre à mes frères, sans doute mue par une curiosité naturelle, elle fit faire des doubles des clés.
L'entrée furtive de ces deux YIIE dans le laboratoire, probablement sans l'autorisation de votre sœur Margarita Ruiz de Lihory, fut un événement vraiment funeste, laissant l'une de celles-ci contaminée et transmettant ensuite l'entité virale à d'autres OEMMII de la ville d'Albacete.
Il nous est possible d'affirmer avec certitude ; que l'accusation disant que mes frères avant d'entreprendre leur voyage, laissèrent par erreur l'accès au laboratoire ouvert, est totalement sans fondement. De plus : il existait une seconde porte intérieure, qui fut forcée par les femmes, mues par leur curiosité exacerbée. Il faut comprendre de toutes façons que le très grand secret qui entourait nos activités, pas même connues de la Maîtresse de l'immeuble ni de votre frère Bassols, intriguait notablement tous ceux qui de quelque manière avaient connaissance de notre séjour là-bas. Votre sœur Margarita Ruiz était affectée d'un caractère très autoritaire et parvenait à faire taire toutes les critiques que sa fille Margarita et d'autres humains formulaient, mais elle ne fut évidemment pas capable de faire échouer la malheureuse violation des pièces réservées.
Les accusations selon lesquelles nous avons dû recourir à la subornation financière pour essayer à Albacete et à Madrid, de freiner les confidences (qu'inévitablement certains OEMMII commencèrent à émettre concernant la réalité des faits) ne tient pas compte qu'il nous était nécessaire, d'empêcher à cette époque que la nouvelle de notre séjour s'ouvre un passage dans les canaux de communication. Il est vrai que mes frères ont dû débourser d'appréciables quantités, mais en revanche il est totalement injuste et faux, de nous accuser en insinuant des décès survenus depuis, et de nous les attribuer sans le moindre fondement. Il est certain que la nouvelle de l'amputation de la main de cette sœur à vous décédée si tragiquement et l'extraction d'autres structures anatomiques, et les rumeurs qui inévitablement se répandirent parmi les autorités qui entendirent parler dans le cadre de l'affaire de notre existence, attirèrent ensuite d'autres agents étrangers qui comprirent notre implication dans les études que nous réalisions à Albacete. Ce furent ces Frères à vous, de nationalité nord-américaine, qui causèrent un grave préjudice à un OEMMII de l'entourage de cette bonne YIIEE Margarita Ruiz de Lihory. Bien que nous n'en ayons pas de preuves, nous n'écartons pas que l'un de ces étranges décès pourrait être du à leurs activités, quoique nous n'écartons pas, que cette singulière chaîne de décès- Qui a aussi attiré aussi notre attention- ait été le fruit du hasard.
L'unique suspicion que ces agents, auraient été impliqués dans l'élimination physique d'humains espagnols est fondée sur un document reproduit par nous, daté du 22 octobre 1980. (Communication de service interne d'Une entité Nord-américaine) Communication datée à Albacete et adressée à un certain Michael F. Fowler qui résidait à cette époque dans un hôtel de Murcia (Espagne) en message chiffré décodé par nous et qui fait mention d'investigations réalisées par le ressortissant espagnol résidant à Albacete. José Garcia Martinez, (journaliste) bien que le document ne fasse pas allusion à sa profession. deux mots dans le rapport cité non décodés, peuvent signifier que tel "individu devrait être neutralisé ? dans l'hypothèse H-2". La traduction "neutralisé" est de notre fait et signifie peut-être autre chose. Nous n'avons pas non plus pu établir la nature de cette "hypothèse H-2".
En ces jours, toute la nervosité des agents des U.S.A. a pour origine : En janvier 1954 mes frères abandonnèrent précipitamment le laboratoire souterrain de la calle Mayor. on fit un ratissage exhaustif pour récupérer notre équipement dont la technologie aurait suscité un intérêt intense en cas de découverte par les autorités. Des restes d'animaux durent être cachés précipitamment dans des bocaux et des caisses, et l'on nabandonna que le matériel chirurgical topique d'origine espagnole. Mais nous ne prîmes pas en compte une incidence qui se fit inévitable. Le matin-même où se décida le transport de Margarita Shelly à Madrid mes frères avaient remis à la vieille servante, une caisse précieuse pour qu'elle la fasse parvenir par l'entremise d'une seconde YIIE, à une adresse déterminée. Mes frères devaient accompagner l'expédition de la malade et de sa Mère, dans un véhicule indépendant jusqu'à la capitale de l'Espagne. Ils ignoraient évidemment comment les événements à Madrid allaient se déchaîner.
L'intervention de la Police madrilène donna seulement le temps avant que les autorités d'Albacete n'interviennent, de déménager comme nous venons de le rapporter le laboratoire souterrain, mais ce précieux coffret ne put pas être récupéré. Il contenait un chromatographe en phase gazeuse de taille très réduite. C'est un instrument très rudimentaire, mais utile pour la gamme de recherches que mes frères biologistes réalisaient à cette époque. En ces années-là nous n'apportions de UMMO que les instruments de recherche les plus indispensables, de crainte qu'ils ne tombent entre les mains des humains de la Terre. Le reste des appareils, ou nous les achetions directement à des firmes spécialisées d'Allemagne Fédérale et de France, ou comme ce chromatographe, nous eûmes recourions à un système mixte. La technologie en était entièrement de OYAGAA mais nous autres le fabriquions ex-professo avec des méthodes de miniaturisation qui même à cette époque, apparaissaient à vos spécialistes, très avancées.
Le chromatographe en référence était défectueux et mes frères de la ville d'Albacete avaient besoin qu'il soit réparé en urgence.
Au bout de quelques mois, mes frères reprirent contact avec la servante et ils ne purent élucider ce qui était advenu de la caisse. Ni les offres d'argent ni les prières ne suffirent pour venir à bout de l'attitude muette de celle-là de vos sœurs. Elle s'obstinait à assurer que depuis toute la dramatique histoire de Margarita, le coffret "s'était perdu" et qu'elle en ignorait le destin.
La réelle version de ce qui était arrivé, nous avons pu la connaître, paradoxalement non pas en Espagne mais aux Etats Unis d'Amérique. En Février 1954 il y eut des commentaires dans les dépêches de la Direction Générale de la Sûreté de Madrid et au Ministère du Gouvernement au sujet des étranges circonstances qui concoururent à l'affaire de la calle Princesa 72, en référence à l'expertise légale de la main de la malheureuse Margarita Shelly. Il fut inévitable que les expert observent que la technique d'amputation n'était pas celle habituelle dans les milieux cliniques et encore moins si elle avait été pratiquée par un profane. De plus, la Police savait que dans toute cette affaire étaient impliquées des « personnes étrangères » à la famille de Margarita Ruiz de Lihory. L'ambassade USA disposait comme à l'habitude durant les dernières 48 années de ses propres agents autant au sein du Ministère du Gouvernement que de la D.G.S.
Immédiatement ils se rendirent compte que cette affaire était beaucoup plus importante que ce que la presse de l'époque laissait transparaître. Une équipe d'experts fut envoyée à Albacete, à Barcelone, et dans les propriétés de Doña Margarita. Nous ignorons dans quelles circonstances notre chromatographe fut confisqué par eux, mais c'est ce qui est arrivé.
L'examen du dispositif dans les laboratoires d'Atlanta, les déconcerta. Il fallait s'y attendre. L'appareil analyseur, bien que comportant quelques pièces de fabrication allemande, avait pratiquement été construit par nous autres.
Les alliages utilisés, les polymères et le verre était aussi de OYAGAA mais non pas sa conception sophistiquée et certains aspects de la mécanisation des pièces. De plus l'appareil ne portait pas de marque de fabrique et pas non plus d'anagramme d'identification.
Cette découverte généra une nouvelle politique de la part des services des renseignements nord-américains, qui intensifièrent leur enquête au sujet de notre groupe. Peut-être que ces faits les aidèrent à comprendre certains aspects de notre attitude sur OYAGAA.
Accident Great Abaco
D 1378
Un événement malheureux survenu en 1966 nous fit réfléchir sur la possibilité qu'un quelconque autre évènement malheureux puisse mettre en péril notre plan pour maintenir un secret rigoureux sur notre présence sur OYAGAA.
A cette époque nous étions très préoccupés par le projet B-45 M 899 nord américain, de placer en orbite, des satellites dotés de charges nucléaires Ce qui nous intéressait spécialement était d'obtenir plus de données sur le lanceur SATURN 500 F dont les essais étaient prévus dans le complexe du centre spatial Kennedy. Nous avions même déjà subi un incident inquiétant quand OYII 62 fils de AANX 2 fut repéré une nuit à Merrit Island près du polygone industriel de la base secrète, celui-ci pouvant s'évader à la fin en se jetant dans les eaux de la Banana river.
Nous avions décidé de construire une base sécrète sur une île située à une distance pas excessive de Cap Kennedy.
Le projet impliquait une exploration méthodique de cette zone face à l'Océan Atlantique. C'était une nuit du mois de Mai 1966. A 4 h 12 m heure locale, quatre OAUOLEAA UEWAA OENMM (nefs de voyage interastral) de notre UMMO atterrirent au sud de l'île Great Abaco (grand Abaco), non loin de Marsh Harbour. L'une d'elles, bien qu'elle eût détecté la présence inhabituelle d'un OEMMII de la Terre à ces heures avancées de la nuit, dans ces parages, ne put éviter l'accident lors de sa descente.
Le malheureux paysan se trouvait à quelques mètres du point de descente de notre véhicule. Il subit une très grave commotion cérébrale, du fait du niveau intense des fréquences Radioélectromagnétiques de courte longueur d'onde.
Il fut immédiatement transporté à notre Base du Canada. On dut effectuer une transplantation de tissu embryonnaire et réaliser une intervention chirurgicale complexe, en accédant à son aire hypothalamique à travers ses fosses nasales. Il fut également nécessaire d'accéder à l'Hippocampe pour effacer l'information engrammée et lui empêcher l'accès de données durant les minutes postérieures au rétablissement de ses fonctions conscientes. A sept heures quarante minutes de ce 21 mai 1966 nous l'avions laissé rétabli en un point du lieu pas très loin d'où s'était produit le malheureux événement. Que serait-il arrivé si cet humain était mort par notre faute ?