San Jose de Valderas et Santa Monica - 1967
Les atterrissages d'OVNIs à San José de Valderas et Santa Monica en 1967 restent des événements mystérieux et controversés dans l'histoire des observations d'OVNIs en Espagne. Les oummains auraient pourtant averti et revendiqué la présence de leur engins volants ( cf. D 60 )
L'article de Jean Pollion apporte de nombreuses explications ici :
Extraits de l'article de Jean Pollion sur Ummo-sciences
Sommaire
Message oummain dans la D 60
- Les 27 mai 1967 et 30 mai 1967 au moins 4 personnes en Espagne (Sesma, Villagrasa, Garrido, Araujo) reçoivent 4 lettres (D60) dans des termes relativement similaires et une vingtaine de personnes présentes à la réunion du 30 mai signent et datent au dos de la lettre reçue par Garrido..
"NOUS DÉSIRONS VOUS COMMUNIQUER OFFICIELLEMENT QUE : L'arrivée sur la planète OYAGAA (Terre) de trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM provenant de notre OYAA (UMMO) est imminente. .../...
Nous calculons que la descente des vaisseaux provenant de notre UMMO se réalisera (en tenant compte de la marge d'erreur prévisible) entre 21 heures 28 minutes T.G.M. le 30 mai 1967 et 23 heures 6 minutes (G et V- 21 h 28 m le 30 mai et 23 h 5 m le 3 juin) T.G.M. le 3 juin 1967. (La probabilité pour que cela se produise le 30 mai ou pendant les dernières heures du 31 mai est si faible que l'on peut estimer comme limites l'intervalle entre zéro heure le 31 mai et 8 heures du soir le 3 juin, selon la fonction d'erreur probable que nous avons étudié.) D'autre part, les intervalles d'arrivée des trois UEWA ne dépasserait pas 7 heures ± 20 minutes.
.../...
Ces points (comme nous ne précisons pas le niveau au sol ou la côte zéro, nous nous référons non pas au véritable point de l'OAWOOLEIDAA mais à la référence de l'altitude où l'axe de gravité coupe une référence géodésique) sont :
BOLIVIE ZONE DE ORURO. La descente aura lieu en un point situé dans l'aire circulaire qui a comme centre la ville de ORURO, son rayon sera de quelques 208 kilomètres avec une marge d'erreur dans cette dernière mesure de moins de quatre kilomètres.
ESPAGNE ZONE DE MADRID - La descente est prévue au sein d'une aire circulaire qui a pour centre les coordonnées suivantes : Longitude : 3° 45' 20,6" W (G- Longitude : 3° 46' 20,6" W, le "6" est un 5 complété à la main) Latitude : 40° 28' 2,2" N Et un rayon de 46 kilomètres avec une marge d'erreur de 1,6 km.
BRÉSIL ZONE DE RIO GRANDE DO SUL, aux alentours de Santo Angelo. La marge d'erreur trop élevée nous interdit une plus grande précision.
Ces prévisions furent réalisées en date du 27 mai à 11 heures et 38 minutes. Nous pourrons, conformément à l'avance du temps, préciser avec moins d'étendue les marges d'erreur. Cependant d'autres facteurs pourraient modifier, dans ce cas, les points réels de la descente (et non les instants d'arrivée). Quelques-uns de ces facteurs sont , comme vous pouvez vous en douter, de nature tactique : sécurité et éviter des risques, perturbations imprévisibles durant la dernière phase de la navigation, ordres modificateurs de route émanant en dernière minute de notre hiérarchie, etc. "- L'atterrissage avait été annoncé onze jours avant les événements du 1er juin,. Le 20 mai 1967, on pouvait en effet lire dans « Informaciones » d'Alicante, qu'entre le 30 mai et le 2 juin, un vaisseau cosmique atterrirait dans les environs de Madrid. L'indication émanait de F. Sesma qui prétendait détenir ces renseignements d'un ami extra-terrestre. Sesma devait donc tenir ses révélations d'une lettre antérieure qui n'a pas été retrouvée, sauf si erreur de date puisque les ummites nous informent dans la lettre du 30 mai que " Ces prévisions furent réalisées en date du 27 mai à 11 heures et 38 minutes. ".
Faits relatés
Le 1er juin 1967 à 20 heures 20, une centaine de personnes campaient sous les bosquets, tout près du petit château de San José de Valderas, lorsque apparut un engin lenticulaire, volant très bas au-dessus de la cime des arbres. Tout le monde avait pu voir pendant 12 minutes, l'engin qui planait et oscillait . Y a t-il eu d'atterrissage? Les béquilles d'atterrissage n'étaient pas sorties.
Cet engin est décrit d'une couleur orangée par lui-même qui le distinguait des rayons du soleil couchant.
Extrait d'un post
Post présent sur http://www.toutelaverite.com/forum/viewtopic.php?t=20 de "ZeH", lui même copie d'un chapitre d'un livre de Schneider et Malthaner de 1976 (largement inspiré du livre de Ribera-Farriols antérieur). Les détails sont donc invérifiables
Le 1er juin 1967 à 20 heures 20, une centaine de personnes campaient sous les bosquets, tout près du petit château de San José de Valderas, lorsque apparut un engin lenticulaire, volant très bas au-dessus de la cime des arbres. Tout le monde avait pu voir pendant 12 minutes, l'engin qui planait et oscillait . Il n'y a pas eu d'atterrissage. Cet engin est décrit d'une couleur orangée par lui-même qui le distinguait des rayons du soleil couchant.
Les béquilles d'atterrissage n'étaient pas sorties.
Un jeune père, qui était justement en train de photographier sa fille fit une série de clichés. Le jour suivant (le 2 juin), chez un photographe de la ville, cinq négatifs de ce film, séparés et isolés, étaient déjà prêts pour le journaliste Antonio San Antonio. Celui-ci les publia dans le quotidien du soir “ Informaciones ”. Le photographe garda l'anonymat.
Lorsqu'il vit le jeune homme faire ses clichés, Antonio Pardo, un deuxième témoin, saisit lui aussi son appareil photo qui était dans sa voiture; avec cet appareil, un Paxette 1 :2,8, il réussit à prendre neuf photos dont 7 exploitables. Sa femme et sa fille, très énervées, assistèrent également à l'événement.
Pardo se rappela que l'écrivain Marius Lleget, auteur d'un ouvrage sur les O.V.N.I., avait lancé un appel demandant qu'on lui fasse parvenir des récits d'observation d'O.V.N.I., lui envoya presque 3 mois après, le 28 août 1967, deux épreuves et deux négatifs différents , en y joignant un compte rendu détaillé où l'on pouvait lire que l'objet émettait une lumière orangée, qu'il oscillait et se balançait, le plus souvent, sur place et qu'à la fin, il démarra à une vitesse vertigineuse et s'envola, en direction de Madrid (Ce que les autres témoins avaient dit et qui avait été largement publié). Cette lettre de "Antonio Pardo" à Marius Lleget est présente sur le site en référence E19 (ex-D563) ( sommaire 2: Lettres d'autres personnages impliqués dans l'affaire Ummo . Documents divers.)
Photographies de deux appareils photos et relevés
Zone du Château de San Jose de Valderas
Santa Monica
Là-dessus, dans les minutes qui suivirent, à près de six kilomètres de là, plusieurs témoins vécurent alors une aventure différente. L'O.V.N.I. se posa sur un chantier à Santa Monica, près de Madrid (il n'y a ici aucun témoignage de première main).
Señor Munoz, le propriétaire du restaurant "La Ponderosa " ne voulut pas croire son premier client qui prétendit qu'une boule de feu aurait atterri juste à côté. Puis, il vit apparaître deux jeunes couples qui étaient en pleine surexcitation: les deux filles se tenaient enlacées et pleuraient; les garçons, quant à eux, l'informèrent qu'un énorme objet lumineux avait survolé leurs têtes et s'était posé à côté d'eux pendant quelques secondes, . Puis, deux époux pénétrèrent encore dans le restaurant et firent un récit identique. Le mari traça sur une feuille de papier le signe "H" qu'il avait pu observer sur le ventre de l'engin. Le lendemain matin, le beau-frère du restaurateur découvrit trois empreintes d'atterrissage identiques à celles d'Aluche. Entre ces traces, le sol était légèrement calciné et recouvert d'une substance poudreuse. (Aucun de ces éléments n'a été recueilli de première main et rien n'a pu être "vérifié", surtout les allégations de traces, de calcination et de substance poudreuse)
Un autre "fait" (aucun élément sérieux de vérification n'est disponible et Antonio Pardo n'a pu être identifié ni retrouvé: toutes ses déclarations, mêmes écrites, sont donc sujètes à caution) agita encore beaucoup les esprits: sur les lieux de l'atterrissage, on devait aussi trouver de petits tubes, lisses et brillants, ayant environ 130 mm de longueur, 8 mm de diamètre et présentant sur leur partie médiane un anneau de 24 mm de diamètre. Quelques jours plus tard, dans un avis de recherche, un certain Henri Dagousset (Lettre D141 de juin 1967) indiquait les dimensions exactes de ces petits tubes et offrait une forte récompense de 18000 pesetas pour chaque élément rapporté intact. (On a démontré que toutes les infos concernant le personnage de Dagousset étaient fausses).
Antonio Pardo se rendit à Santa Monica et eut la chance, moyennant un petit pourboire, de se faire remettre un de ces tubes qui était, il est vrai, endommagé. En voulant l'ouvrir avec une tenaille, le jeune garçon qui l'avait ramassé en sortir un liquide qui se volatilisa aussitôt [c'est absurde pour du prétendu méthanol], ainsi que deux rouleaux en matière synthétique, marqués du même signe que celui observé sur l'O.V.N.I.: un "H" majuscule portant sur sa barre centrale un tiret vertical (les conditions sont invérifiables, les photos existent mais seules les (?) bandelettes de plastique poinçonnées existent.).
Par l'intermédiaire de Marius Lleget, Pardo fit parvenir une bandelette de plastique et un tout petit bout de métal sans forme à Ribera et Farriols qui les remirent à l'I.N.T.A. (Institut national de recherches aérospatiales) pour y être analysées. Le micro morceau de métal se révéla être en nickel presque à l'état pur (son taux était supérieur à 99 %) et les rouleaux étaient en fluorure de polyvinyle (appellation populaire mais erronée). Cette matière plastique très résistante ne se trouvait pas à l'époque dans le commerce en Espagne ; la firme Dupont de Nemours la fabriquait aux Etats-Unis sous le nom déposé de “ Tedlar ” pour le compte de la N.A.S.A. qui l'emploie pour le revêtement des satellites artificiels (La NASA ne les a apparemment pas utilisés et c'était pour protéger les nez de fusées stockés... mais le Tedlar n'avait pas que des applications "spatiales").
L'inscription
Voir https://ummo-sciences.org/fr/data-E/E44.htm
Photo prise par Alberto Borras dans une petite maison abandonnée à coté du château de San Jose de Valderas (où auraient été prises les photos de nef oummaines
Question :
- Pouvez-vous nous donner la transcripion (en oumain) et la traduction (en langue terrestre) de la E44? Merci
(l'image était inversée sur la E44 à l'époque de la demande)
Réponse:
- EKASSI EMAA NEBOEE SIMARII KEELOA BOO.
IMPORTANT LAISSER EN CE LIEU TOUT OBJET QUE VOUS DÉTENEZ.
