6 février 1966

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Les événements du 6 février 1966 : l'atterrissage de trois soucoupes oummites (OAWOOLEA UEWA OEM) en URSS, Espagne et Australie.

Lettre D21
(mai 1966)

Depuis lors sont arrivés d'autres astronefs et en particulier trois OAWOOLEA UEWA en Février 1966. Les contacts avec l'orographie terrestre furent enregistrés ainsi :

Arrivée de deux frères aux environs d'Erivan (territoire soviétique à 18 h 47 minutes (heure espagnole). L'endroit est situé à 6 km de la rivière Araks le 6 Février 1966.
Arrivée de deux frères à 20 h 02 minutes en un endroit situé près de Madrid (territoire espagnol) près de la Colonie [ville] d'Aluche le 6 Février 1966.
Arrivée de trois frères en un point situé aux environs de Townsville (Queenland : territoire australien) à 22 h 45 minutes le 6 Février 1966 (heure espagnole).
Lettre D38
VERSION OFFICIELLE DE LA SECTION ESPAGNOLE DE LA DÉLEGATION DU UMMOAELEWE SUR AYOUUDA OOYAGAA

[Atterrissage]

En date du 6 février 1966 (année terrestre) se posa non loin de la route qui relie la ville d'Aluche à la commune de Casilda de Bustos (Madrid), l'un de nos OAWOOLEEA UEWA OEMM (astronef). En descendirent deux de nos frères avec pour destination ultérieure notre section de la république du Chili.

Notre chef de la section espagnole, Dei 98, fils de Dei 97, et l'un de nos frères d'Amérique du Sud, GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540 (venu exprès de Bolivie) attendaient les voyageurs dans un véhicule de tourisme garé dans les environs.

[Capsules d'un double message]

Nos frères du vaisseau qui avaient reçu des instructions complètes (dictées par ordre de notre conseil sur la planète Terre) posèrent, en descendant du vaisseau, dispersées dans la zone encadrée par les traces du véhicule, des capsules contenant une suspension colloïdale de graphite dans du méthanol où l'on avait introduit des lamelles enroulées contenant un double message. Ces lamelles, couleur vert cendre, sont en AOXIBOO AGOODAA (il conviendrait que M. Sesma montre l'exemplaire qu'il a en sa possession). Il s'agit d'un composé que vous ne connaissez pas, mais quelques exemplaires sont tombés entre les mains des Gouvernements Soviétique, Anglais, Australien, des Etats-Unis, et de Bolivie.

Vous pouvez remarquer que sa ressemblance avec les plastiques terrestres normaux est seulement apparente. Il offre une grande résistance à la traction (vous pouvez en avoir la preuve en essayant de le déchirer avec les mains) et il résiste à l'action dissolvante de nombreux agents chimiques. Il a en plus l'extraordinaire qualité de pouvoir se radioactiver en émettant, après son excitation, des impulsions simples codées (par exemple une fréquence de 40 impulsions/seconde) dans une radiation GAMMA de longueur d'onde 0,036 Angstrom (nous ajoutons un échantillon que Mr Sesma pourra conserver).

Ce message avait été préparé, avec des inscriptions dans notre langue en les activant comme nous vous l'avons indiqué au paragraphe précédent (avec une fréquence secrète) et avec une période d'activité très réduite (quelques 70 jours, ensuite la radioactivité résiduelle est presque imperceptible). Nous attendions que les Services techniques de l'Administration du Gouvernement Espagnol envoient ses spécialistes sur le lieu de l'atterrissage pour prendre ces capsules, comme cela s'est effectivement produit dans d'autres pays. En ce qui nous concerne, nous disposons d'appareils sensibles : UAXOO IBOAYAA (DÉTECTEURS DE RADIATIONS) sur Terre qui nous permettent de suivre pas à pas la situation exacte de ces messages pendant leur période radioactive. Nous aurions pu ainsi contrôler les manipulations subies par ces documents à leur passage dans les différents laboratoires et organismes.

[Déception oummite]

Mais cela ne se déroula pas ainsi : la zone d'atterrissage ne fut pas délimitée et isolée, et pas un spécialiste ne fut envoyé sur place (selon nos propres renseignements). Toutes les capsules furent recueillies par des enfants exceptée l'une d'elle ramassée par un homme, maçon de profession, qui travaillait aux constructions proches du site de l'événement.

Comme ces documents étaient tombés entre des mains non intéressées, nous essayâmes au début de les récupérer, ce que nous ne pûmes faire seulement partiellement.

[Artiste-peintre Enrique Gran (12 février)]

L'une des capsules finit par arriver entre les mains de M. Enrique Gran (artiste-peintre). Il semble qu'une femme, dont les enfants avaient ramassé la capsule, soit par amitié pour Mr Gran, soit parce qu'elle savait que ce monsieur s'intéressait à cette affaire, soit pour d'autres raisons, remit le contenu de la capsule à M. Gran.

A ce moment là un article était paru dans la presse espagnole : (journal "Informaciones" du samedi 12 Février 1966) avec certaines déclarations de cet artiste-peintre qui attirèrent notre attention, car le seul moyen pour nous de savoir quand une personne était intéressée par des affaires spatiales dans un pays est la propre presse du pays. Selon les rédacteurs de ce journal, les manifestations furent les suivantes :

"Je crois à l'existence des Soucoupes Volantes, OUI, je crois aussi aux témoignages des personnes d'un sérieux absolu. C'est émouvant de voir une trace produite par un artefact extra-terrestre".

[Contact téléphonique avec M. Gran le 14 février]

Après nous être informés par nos propres moyens sur son adresse et son téléphone, nous commençâmes le premier contact téléphonique avec lui. Dès le début, Mr Gran se montra réticent et réservé face à l'appel anonyme de notre frère et Chef DEI 98. Attitude extrêmement logique de celui qui n'accepte pas un simple témoignage d'inconnus sans preuves pour l'avaliser. Monsieur Gran fit alors allusion au document qu'il avait en sa possession en déclarant qu'il l'avait reçu d'une dame selon lui "inconnue".

Nous dûmes interrompre la conversation deux ou trois fois pour des raisons dues aux précautions que nous devons adopter lors des communications avec vous. Nous demandâmes alors une entrevue la nuit suivante (du 15 Février) dans une cafétéria de la rue Isaac Peral à Madrid, afin de recevoir de ses mains le document en question. Nous n'aurions eu aucun inconvénient à récompenser Mr Gran pour sa gentillesse.

Mr Gran accepta noblement de nous le rendre mais il confessa que tout ceci lui paraissait être une blague et que naturellement il n'était pas disposé à se soumettre à celle-ci. Notre frère lui dit que dans ces conditions il était préférable d'interrompre tout contact avec lui par la suite. Nous n'avons pas le droit de déranger la vie privée d'une personne, si celle-ci maintient le critère selon lequel notre identité est fausse.

Mr Gran suggéra que de toutes façons l'entrevue pourrait avoir lieu dans un endroit choisi par lui, ce que notre chef refusa. Nous répétons que Mr Gran adopta dans cette affaire une attitude totalement logique et correcte. On ne peut dire qu'il eut une réaction de lâcheté ou de peur infondée en ce qui concerne le refus de l'entrevue avec notre frère : il parlait avec des inconnus qui pouvaient effectivement être en train de se moquer de lui et si son désir d'avoir cette entrevue dans un autre endroit connu de lui n'était pas accepté, il avait des raisons suffisantes pour trouver à notre conduite quelque étrangeté.

[Nuit du 15 février]

Effectivement la nuit était agitée et il pleuvait : MAIS IL EST INCORRECT DE DIRE QU'IL FAISAIT DE L'ORAGE COMME PARAIT LE FAIRE MONSIEUR SESMA.

De plus, notre frère ne DEMANDA JAMAIS DE DÉBUTER UNE L'ENTREVUE DANS UN CHAMP ISOLÉ, ce qui constituerait bien sûr un VÉRITABLE ET OBLIGATOIRE motif de refus, MAIS DANS UN ETABLISSEMENT TRÈS CONNU, DANS UNE RUE IMPORTANTE, remplie de gens respectables à ces heures là, comme vous pouvez le vérifier vous-mêmes.

[En attendant les nouveaux arrivants d'Ummo en Amérique]

Notre frère GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540, devait assister à l'entrevue et devait ensuite partir deux jours plus tard en Amérique avec les nouveaux arrivants d'UMMO, ainsi Mr Gran ne pourrait pas l'identifier dans un futur immédiat.

[Critique oummite concernant l'entrevue non aboutie avec M. Gran]

En disant cela nous ne voulons pas discréditer M. Gran, nous supposons qu'il est incapable de délation, mais seulement vous faire prendre conscience des sévères normes de sécurité que nous devons adopter routinièrement. Si nous désirons conserver notre anonymat, nous sommes obligés de les respecter par ordre de notre sœur même s'il n'y a qu'une minime probabilité de risques. Monsieur Gran ne saura jamais jusqu'à quel point notre organisation nous interdit (une fois le plan établi) de le modifier à notre guise, à cause d'une soumission aveugle envers nos supérieurs.

Que M. Gran reconnaisse que l'entrevue n'offrait pas grand "RISQUE" pour lui, en dehors de la sensation de ridicule en cas d'une simple farce.

Les deux attitudes (ACCEPTER ou REFUSER) étaient donc intelligentes et sensées. Comme l'hypothèse d'une BLAGUE ou d'un ACTE D'UN ALIÉNÉ n'était pas absolument à rejeter, Mr Enrique Gran adopta cette dernière attitude et personne n'a le droit de le lui reprocher s'il agit et juge avec une objectivité impartiale.

NOTRE CRITIQUE CONCERNE LE FAIT QUE JAMAIS NOUS N'AVONS DEMANDÉ A MONSIEUR GRAN UNE RENCONTRE AVEC NOUS DANS UN ENDROIT ISOLÉ ET QUE CETTE NUIT N'ÉTAIT PAS SI MAUVAISE POUR EMPÊCHER UNE TELLE ENTREVUE COMME LE PROUVE D'AILLEURS LE FAIT QUE MR GRAN PASSA CES HEURES HORS DE SON DOMICILE.

[Conclusion]

Le manque d’intérêt des Autorités Techniques Espagnoles nous déçut tellement que nous renonçâmes à récupérer ces documents.

De plus nous désirons sincèrement qu'ils ne tombent plus entre vos mains et nous demandons donc à M. Sesma de ne pas se dessaisir d'un document qui lui servira dans le futur pour démontrer l'incompréhensible aveuglement de ceux qui, sans réaliser une première recherche, s'empressent de nier "à priori" des faits qui, une fois vérifiés avec un esprit critique, peuvent éclairer de nombreuses choses jusqu'à maintenant incompréhensibles pour vous.

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