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Il s'agit d'un texte sur les synchronicités, finalement reçu en décembre 2020 et signé "Yatesbury2007". Nous le compilons avec les autres écrits :
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Il s'agit d'un texte sur les synchronicités, reçu en décembre 2020 et signé "Yatesbury2007". Nous le compilons donc, ici, avec les autres écrits :
  
  

Version du 10 mars 2021 à 20:28

Documents divers EXTERNES, de personnes impliquées dans l'affaire Ummo ou d'origine incertaine, ayant un lien qui peut être parfois ténu.

ATTENTION, NOUS N'AVONS JAMAIS PRÉTENDU QUE CES DOCUMENTS SAUVEGARDES SONT D'ORIGINE OUMMAINE; NOUS FAISONS ICI OEUVRE D'ARCHIVISTES


AVERTISSEMENT : TOUS CES TEXTES SEMBLENT PROVENIR DU BLOG "FUTUR EN FOLIE" QUI EN GARDE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE. Les commentaires ayant été publiés publiquement à l'époque, nous nous autorisons à les reproduire ici. Ils ne sont plus visibles à ce jour. Source : https://futurenfolie.blogspot.com/


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21-04-20

Yatesbury2007 21 février 2020 à 13:03

Ces interactions, précieuses, invitent au questionnement de la psychologie différentielle d’entités pensantes et mériteraient d’être poursuivies.

« L’art » ne s’inscrit-il pas, en premier lieu, dans une histoire, une chronologie des civilisations ? Relève-t-il seulement d’une pure finalité, répondant essentiellement à la satisfaction d’une aspiration ?

Ou émerge-t-il plutôt d’une nécessité, d’un compromis, autorisant l’idée, c'est-à-dire le substrat spirituel, à venir s’incarner dans le matériel d’une pierre ou d'une onde acoustique ? Pour quelles raisons une civilisation particulière, à un moment précis de son histoire, éprouve-t-elle le besoin de faire figurer dans le perceptible - c’est-à-dire dans ce qui est accessible aux SENS de l’individu, une chose qui pourrait être transmise par cet outil trivial qu’est le LANGAGE ? N’est-ce pas, simplement, parce que cet outil s’avère justement insuffisant et défaillant à transmettre l’indicible ?

Lorsque l’art grec s’évertue à symboliser l’harmonie et l’équilibre infinis du kósmos dans le marbre d’une statue aux proportions parfaites, les toiles religieuses de la Renaissance, elles, se donnent l’ambition de représenter l’absolu du divin dans l’image. Ces concepts débordent la capacité des mots les plus précis et les plus exhaustifs employés à les décrire.

Mais si l’art pallie, un temps donné, à la défectuosité d’un langage, support obligatoire de toute pensée, qu’en est-il lorsque la circulation d'une information, avec la charge affective et émotionnelle qui y est associée, se réalise de manière intégrale et formelle ?

Quelle est la pensée d'une ethnie non bridée par un outil de communication imparfait ?

Que peut saisir cette même ethnie d'une oeuvre d'art transmettant ce "reste" non communicable et résultant de ce passage du substrat spirituel au substrat matériel ?

Comment appréhender la nature sibylline de ce "reste" pour une ethnie dont les flux informatifs totalement efficients excluent, de fait, toute forme d'équivoque ?

Ce "reste" typiquement humain, est-il le résidu issu d'une perte non symbolisable, ou le produit d'une authentique valeur ajoutée ?

Ce "reste" n'est-il perceptible que dans l'art ?

Quel impact peut-il avoir, en retour, sur la pensée ? Qu'en pensez-vous ?

24-02-20

Cher Manuel R., vos interrogations font écho à l’un de vos précédents messages :

« Necesita siempre una consciencia reflexiva la ayuda de un instrumento simbólico (lenguaje en nuestro caso)? Como reflexiona una Consciencia Colectiva (CC)? Utiliza “lenguaje” interno a sus reflexiones? El lenguaje sirve solo a comunicar con “otro” o permite hablar con uno mismo? »

Rappelez-vous :

Le langage est un support qui permet la communication d'informations de l'Un vers l'Autre. C'est un outil. Lorsque l'outil est imparfait, ou lorsqu'il est défaillant, il n'autorise pas les échanges optimaux et le système ne peut pas être HARMONIEUX et stable. Il reflète généralement le degré de perfectionnement des encéphales qui l'ont mis au point.

Donc, le "langage" n'est pas TOUT le support de la pensée. Il est effectivement propre à l'évolution de la lignée des êtres pensants.

Vous demandez quelle est l'analogie du "langage" pour la Conscience Collective.

Un "langage" implique l'émergence de communication avec une AUTRE Conscience Collective.

Vous comprenez parfaitement le concept « d’émergence » ou de « jaillissement » d’une propriété nouvelle et qualitativement supérieure à la somme de celles des éléments la constituant (comme la conscience).

Si vous semblez légitiment embarrassé pour vous représenter l’extension de ce processus à la sphère collective, c'est parce que vous en êtes un des éléments constitutifs, un des nœuds. Or, la propriété émergente de l'ensemble transcende nécessairement ses constituants.

Pourtant, ici encore, les lois de la complexification s’appliquent. La toile se constitue dans les interactions croissantes de ses éléments. Le premier pas consiste à prendre conscience de l’existence de l’Autre sphère, puis à nouer un premier contact. La Technologie est l’une des propriétés «émergentes » des civilisations et devient l’élément initial autorisant les connexions (voyages).

À propos du langage et de la pensée :

Les propriétés (règles, lois) d'un langage limitent, modèlent et conditionnent la pensée. Les règles et les lois organisent la structure langagière.

La pensée crée le langage, mais le langage façonne, en retour, la pensée.

Le langage-support est avant tout un outil. C’est un véhicule pour la pensée permettant les échanges informatifs d’un nœud vers un autre. C’est une connexion, un pont, une branche du réseau.

L’Un s’adresse toujours à l’Autre.

La pensée utilise le langage, mais elle ne se résume pas au langage.

La pensée n’est pas la conscience.

La pensée est mécanique : images, mots, souvenirs, conversations intérieures, comparaisons, évaluations. Elle a besoin du temps.

La conscience est vision : perception complète, compréhension instantanée, à chaque instant, sans retenue, sans projections, sans déformations ni conditionnements. La conscience ne peut être que dans le présent. Elle est liberté.

« El lenguaje sirve solo a comunicar con “otro” o permite hablar con uno mismo? »

=> Lorsque vous vous parlez : C’est une « partie » de vous-même qui parle à une autre « partie » de vous-même. Il y a donc séparation qui résulte de la pensée.

Si vous avez conscience DE vous-même, c’est une division qui passe par la pensée, le langage ou l’image. C’est un processus chronologique. Une partie observe une autre partie qu’elle prend comme OBJET (étymologiquement « ce qui est placé devant »). Le terme important, ici, est le mot « observe ». La conscience n’est pas ce qui observe, elle EST observation.

« Une conscience collective, a-t-elle une "pensée" ? Et si oui, cette pensée est obligatoirement basé sur un langage ? »

=> Une conscience collective accumule et traite des informations, alors elle « pense ». Elle n’est pas divisée, donc elle ne se « parle » pas à elle-même, elle n’a pas « besoin » d’un langage.

"Une ethnie hyper-collectivisé et désindividualisé peut-il disposer d'un outil de communication absolu, c'est-à-dire peut-il inter-transférer ses réflexions et ses émotions associées ? Ou parlez-vous d'une ethnie dont le niveau d'intégration est très élevé mais qui préserve pleinement l'individualité de ses composantes ? "

=> Un outil défectueux sera vecteur de pertes (d’informations, d’énergie) et de désunions. Il peut accentuer les dissensions et majorer l’isolement.

L’isolement n’est pas l’individualité.

L’individualité-conscience passe nécessairement par l’appréhension d’autrui.

Un outil de communication optimal favorise l’épanouissement de l’individu, dans une société équilibrée.

« Ce "reste" non communicable, résultant du passage du spirituel au matériel, serait annulé (même au point de disparaître l’"émergence" qui donne la place a l'apparition de ce "reste") pour une ethnie capable d'un flux d'information totalement efficace ? Est-ce là la question ? Est-ce là la réponse (que l'émergence de l'"art" serait annulée) ? »

=> S’il existe une transmission de spirituel à spirituel, existe-t-il un « reste » ?

27-02-20

Il s'agit d'un texte sur les synchronicités, reçu en décembre 2020 et signé "Yatesbury2007". Nous le compilons donc, ici, avec les autres écrits :


L’une de vos questions concerne la contradiction apparente suivante :
« À ce sujet, on notera un passage peu clair de la D41-15 :
« Il ne serait pas du tout, non plus, correct de dire que le BUUAWEA [l’âme] “fait” tout cela d’un seul coup pour toujours et en un instant, mais cette dernière manière de nous expliquer, sans employer un lexique technique de UMMO presque intraduisible, est la plus efficace. WOA [le dieu des ummites] concède à l’âme une prérogative qui est transcendante
ELLE PEUT MODIFIER UNE FOIS POUR TOUTES LA FORME DE L’OEBUMAOEMII (HOMME-PHYSIQUE : ESPACE-TEMPS) »
J’ai souligné les éléments contradictoires.
Ne s’agirait-il pas de comprendre que l’âme peut revoir instantanément tout le trajet de l’homme boudin et ceci plusieurs fois au cours de notre vie ? Là, on comprendrait clairement que notre intention pourrait modifier notre futur. Mais modifier le futur implique de modifier d’autres hommes boudins et pourquoi pas le passé… Nous en serions complètement inconscients puisque notre niveau de conscience est prisonnier du présent.
Comme si cela n’était pas déjà assez compliqué comme cela, les ummites font intervenir une conscience collective, qu’ils appellent BUUAWUA BIAEEII et que les passionnés nomment communément BB. »


Pour comprendre cet étrange paradoxe, vous pouvez utiliser l’analogie des systèmes chaotiques et des attracteurs étranges plutôt nommés « ensembles-limites », terme plus adéquat, comme vous le constaterez.
Il s’agit d’un concept intrinsèque à la théorie du chaos qu’il faut définir précisément afin de comprendre ses propriétés singulières et ce qu’elles impliquent pour les systèmes chaotiques.
Le terme « attracteur », comportant la notion « d’attirance », peut induire une mauvaise interprétation de ce concept mathématique.
Le qualificatif « étrange » fait référence à la forme particulière et complexe des ensembles-limites décrivant la trajectoire des systèmes chaotiques au cours du temps.
L’ensemble-limite est une figure abstraite qui représente le visage mystérieux de l’évolution d’un système chaotique sur le long terme. L’attracteur ne peut être visualisé qu’au sein de ce que les physiciens appellent « l’espace des phases ». L’espace des phases est également un concept abstrait. Il peut être défini comme étant un repère dont les axes (qui représentent les dimensions) expriment les différentes variables que l’on choisit d’étudier. L’une de ces variables sera généralement le temps. En effet, la dimension temps permet de suivre l’évolution dynamique d’un système. Il est aussi possible d’étudier la position d’un mobile dans l’espace, ainsi que sa vitesse, ou encore son accélération. Chaque point tracé dans cet espace représentera le statut ou la position précise du système à un moment donné. Ainsi, au fil du temps seront obtenus une multitude de points dessinant des trajectoires apparemment aléatoires dans l’espace des phases (qui n’est autre qu’une « carte imaginaire ») mais d’où émergera finalement, après un certain temps, une forme mystérieuse et immuable propre au système.
Cette figure, qui peut avoir une infinité de visages en fonction du système et des variables étudiées, regroupera tous les points ou toutes les trajectoires incarnant l’évolution du système à chaque instant. En outre, jamais vous ne verrez de trajectoires se chevaucher (propriété fractale) ni « sortir » de ce périmètre en s’égarant à l’extérieur de cet ensemble-limite. Elles semblent, en effet, comme « attirées » par cet ensemble paraissant « retenir » leur éparpillement aléatoire. C’est pourquoi il est appelé « attracteur étrange ».
Le concept d’attracteur est connu depuis longtemps par les scientifiques. En effet, un attracteur pratique à étudier est celui du pendule simple. Son espace des phases se réduit à l’étude de deux variables : sa position et sa vitesse. Vous obtenez alors un repère orthonormé classique, dont l’axe des ordonnées représente les différentes positions du pendule, et l’axe des abscisses vous informe sur sa vitesse. Si vous lâchez le pendule, il va osciller jusqu’à ce que les forces de frottements de l’air finissent par arrêter sa course. Sur un graphique traditionnel, vous verriez que les oscillations du pendule perdent progressivement de l’amplitude jusqu’à disparaître. Dans l’espace des phases, on constate que la trajectoire circulaire du pendule, perdant progressivement son énergie par frottement, se réduit à une spirale convergeant vers un point fixe, c’est-à-dire à l’état stationnaire du pendule. Il s’agit par conséquent du point d’origine de ce repère orthonormé.
Dans ce cas basique, l’attracteur est un simple point. La trajectoire du pendule semble véritablement « attirée » par ce point incarnant la stabilité de l’objet. Ici, l’attracteur n’est pas qualifié « d’étrange », car le système ne suit pas de comportement complexe ou chaotique. Ce système simple reste linéaire et prévisible. Si le mouvement du pendule avait été entretenu par un petit moteur, comme c’est le cas pour les horloges, alors la trajectoire du point de l’espace des phases aurait été circulaire et invariante, l’ensemble-limite étant alors un simple cercle.
Ce préambule est important pour comprendre la suite et le lien entre B / BB et le temps.
Une autre façon d’appréhender le concept d’ensemble-limite et de comprendre son lien avec le hasard est d’étudier ce que le mathématicien Michael Barnsley appelle « le jeu du chaos ». Vous pouvez y jouer avec un ordinateur et un générateur de nombres aléatoires, mais une simple feuille quadrillée, un crayon et une pièce de monnaie suffisent. Choisissez un point central sur cette feuille (qui sera l’espace des phases), puis inventez deux règles. Par exemple, la première règle pourrait être : « Déplacez-vous de quatre carreaux sur la droite ». Et la seconde : « Réduisez de moitié votre distance au centre ». Appliquez la règle 1 lorsque la pièce tombe sur le côté pile et la règle 2 quand elle tombe sur le côté face. Lancez la pièce une cinquantaine de fois en appliquant vos règles et observez le résultat. Vous constatez ainsi que la distribution de points semble s’effectuer par hasard. En effet, vous n’obtenez qu’un nuage de points informe et diffus. Prolongez l’expérience et imaginez le système après 500 lancés. Vous apercevrez alors que le jeu produit non plus un ensemble de points désordonnés, mais qu’une forme émerge, dont la précision semble s’affiner de plus en plus. Après 5 000 lancés (ou ce qui est appelé « itérations » en mathématiques), l’ensemble de points se retrouve dans un espace limité et singulier qui les regroupe TOUS. Malgré le nombre infini d’itérations, jamais un point n’en chevauche un autre, ils se concentrent tous dans ce périmètre étrange. Cette figure peut avoir une infinité de formes et vous comprenez que ce qui la détermine sont les deux règles de départ que vous avez établies. Ainsi ici le hasard des lancés n’est qu’un « outil » vous permettant de construire l’ensemble-limite qui est déjà présent, de manière sous-jacente. Ceci témoigne d’une forme d’ordre caché au sein même du chaos. Ce sont les règles de départ qui fixent l’allure de l’attracteur étrange du système. Tout attracteur étrange émergeant dans l’espace des phases après plusieurs milliers d’itérations est le produit de l’application de ces règles initiales.
Vous voyez, alors, que si un ensemble de points ou de trajectoires matérialisant l’évolution d’un système chaotique engendre une figure complexe comme un attracteur étrange, c’est qu’il existe des éléments communs à tous ces éléments. Dans le « jeu du chaos de Barnsley », il s’agit des deux règles établies au départ. C’est la « signature » ou « l’empreinte » mathématique du système. C’est-à-dire une marque invisible qui oriente toutes les trajectoires du système vers cette forme mystérieuse. Autrement dit, vous percevez que si la représentation graphique de l’évolution d’un système tend vers une configuration spécifique, c’est qu’il existe un trait commun et invisible à chaque point de ce schéma.


Vous comprenez tout de suite que, dans cet exemple, les deux règles initiales sont une analogie de « l’âme », les itérations successives représentent l’écoulement du flux du temps et l’ensemble-limite symbolise « l’homme-boudin ». L’ensemble-limite est « déjà là » (en germe, dans les règles initiales) sans être « encore là ». Le libre-arbitre s’incarne dans le « choix » des deux règles initiales, lesquelles conditionnent l’aspect de l’ensemble-limite, dont l’émergence résulte uniquement de l’écoulement du temps.


La sphère collective (BB) a pour rôle de « coordonner » l’émancipation de ces différents « homme-boudin ». Vous diriez, dans l’exemple précédent, qu’il fait en sorte de moduler les ensembles-limites afin d’éviter les « chevauchements » des uns sur les autres.
Or, l’esprit collectif ne peut le faire que lorsque l’ensemble-limite émerge, c’est-à-dire dans le temps et l’espace. Il oriente, module, atténue, ou accentue certaines directions prises par les âmes individuelles.
C’est pourquoi l’esprit collectif peut, et doit, « traiter de l’information ». Il a besoin de cet outil qu’est le TEMPS incarné dans les itérations mettant à jour l’ensemble-limite de cet exemple.
Les SYNCHRONICITÉS peuvent être une manifestation particulière de son influence.
Comment les expliquer au regard de la temporalité ?
Vous pourriez également demander : si l’âme individuelle propose ses deux règles initiales dans cet exemple didactique, comment peut-elle savoir si son ensemble-limite sera adéquat et ne gênera pas celui du voisin ? En réalité, elle sait « déjà » à quoi ressemblera son ensemble-limite. Ce qu’elle ne peut pas savoir, c’est à quoi ressemblera celui de ses voisins. Pour le « savoir » elle doit être « instruite » ou « informée » par l’esprit collectif, lequel a une vue « globale » de tous ces ensembles.
Le temps chronologique est un temps « orthogonal » pour l’esprit collectif. Il voit « tout, d’un coup, instantanément ». Il perçoit la finalité, la totalité, d’un ensemble-limite, bien que celui-ci ne puisse émerger que grâce au temps chronologique.
Si cet espace-limite « empiète » sur le voisin, l’esprit collectif peut venir « l’harmoniser » ou « l’orienter » pour rendre la cohabitation sereine. Si l’ensemble-limite change de forme, alors c’est que les deux règles initiales ont elles-mêmes changées. N’oubliez pas que pour l’âme, le temps n’existe pas, donc le processus est également « immédiat ».
Mais une âme reste libre. Si elle ne souhaite pas se soumettre aux propositions de l’esprit collectif, elle le peut et maintiendra la forme inadaptée de son attracteur. C’est pourquoi une telle âme pourra être « comparée » à son âme miroir (idéale) au moment du décès de son corps physique.
Dès lors, les « synchronicités » peuvent être perçues comme éléments d’harmonisation, de guidance ou d’influence lorsqu’elles viennent véritablement modifier l’existence (la trajectoire) d’un individu.
En réalité, « tout est déjà joué », comme vous l’avez compris. Si l’individu change volontairement sa trajectoire, c’est que son âme a « déjà » pris en compte les influences du BB.
Une « trajectoire » de vie peut changer à la suite de multiples événements : à travers une « révélation », une « découverte » ou la « compréhension » d’éléments enfouis venant brider l’existence d’une personne... Elle peut aussi se modifier en cas de danger imminent, lors de l’annonce prochaine de la mort d’un parent, ou de perturbations sévères chez un proche.
C’est pourquoi les « synchronicités » peuvent révéler tant de visages différents.
Il n’y a pas de « causalité inversée » au sens physique du terme. À l’échelle macroscopique, l’orientation de la flèche du temps est immuable.