Antonio Ribera

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(1920—2001)

L'espagnol Antonio Ribera Jordá, né le 15 janvier 1920 à Barcelone et décédé le 24 septembre 2001 à Sant Feliu de Codines (proche de Barcelone), était un des principaux destinataires de la correspondance ummite de 1965[1] à 1996.

1966 : articles‏‎

Ribera publie à propos de l’attterrissage d’Aluche sous le titre « The Madrid Landing » dans le Flying Saucer Review (Londres) de mai-juin 1966 et « Was it a landing ? » dans le numéro de novembre-décembre.[2]

1967

« Un Caso Perfecto » de Antonio Ribera.jpg

Ribera rencontre pour la première fois Julien DELGADO en octobre 1967 ; il y apprend que Villagrasa reçoit des lettres d’Ummo.[2]

1968 : livres

Livre « Un Caso Perfecto » première édition en 1968 chez Pomaire du livre (197 pages) de Ribera et Farriols ; il contient des textes qui furent supprimés lors de la deuxième édition pourtant plus volumineuse (245 pages) chez Plaza-Janès en 1973.[2]

Ribera - sous le pseudonyme de Ricardo Blasco - publie en 1968 aux éditions Telstar de Barcelone, « Jacques B. Bley » l’histoire de Jacques Bley (Jaime Bordas Bley ) qui approvisionnait un personnage bizarre dans les Pyrennées catalanes (suite en 1973). Eduardo Pons Prades reprendra « l’entrevue entre Ribera et Bley » dans son livre « El mensaje de otros mundos » (Message des autres Mondes; 1982; Planeta, Barcelone) aux pages 172 à 190.[2]

Lettre D70
Cher Monsieur :

Nous osons vous envoyer ce texte mécanographié sans avoir avec vous un lien préalable d'amitié personnelle, comptant sur le fait que, possédant vous-même par d'autres canaux discrets d'information, quelques faits ambigus sur notre existence sur TERRE, vous prêterez pour le moins attention à notre salut.[...]

Assurément, cela constituera une surprise pour vous que de savoir qu'au mois d'avril 1965, certains de mes frères résidant en Espagne, ont ajouté votre nom à ceux de vos frères Monsieur Buelta et Monsieur Danyans, au sein d'une liste de présumés correspondants destinés à recevoir nos informations concernant notre existence dans le milieu social terrestre. L'omission de cette intention ne devra pas être attribuée à l'oubli ni à une attitude méprisante ou la peur de possibles réactions d'incrédulité logique. Mais vous mainteniez certains liens avec un réseau organisé pour l'analyse des "Objets spatiaux sans identification" avec un degré de prestige et de possibilité d'accès aux moyens de diffusion sociale non négligeables, notre critère de relation sociale avec des hommes de la TERRE a été d'établir seulement des liaisons avec des individus sélectionnés appartenant à différents niveaux socioculturels, qui, par leur silence probable, leur réserve mentale équilibrée ou dans d'autres cas, par leur oligo-prestige intellectuel, ne constituant un risque présumé pour nous.[...]

1969 : articles

L’article de Ribera « L’atterrissage d’Aluche, le cas le plus documenté » est publié dans le n° 2 de « Ciclope » de Barcelone avec 19 dessins et photos et dans le « Flying Saucer review » de septembre-octobre 1969.[2]

Le Flying Saucer Review de Londres (n° 5 vol. 15 de septembre-octobre 1969) publie un article « The San Jose de Valderas case » de Ribera.[2]

Lettre D72
Monsieur Ribera Jordá :

Vous vous souvenez sans doute d'une correspondance dactylographiée reçue en votre domicile de Barcelone et provenant de nos frères résidant en France. Dans ce contexte, ils promettaient l'envoi d'une documentation informative au sujet de notre identité, documentation que nous nous sommes abstenus d'envoyer pour des raisons évidentes.

En effet, comme vous avez pu le constater tout au long de nos paragraphes, nous jugeons qu'une diffusion de notre existence au sein de la communauté terrestre est contre-indiquée si elle atteint des niveaux élevés d'expansion informative.

Ce n'est pas l'information en elle-même (limitée à des micro-réseaux ou des hommes responsables isolés) que nous essayons d'éviter, mais l'effervescence socioculturelle aux imprévisibles effets nocifs que la prise de conscience de la réalité de notre existence provoquerait parmi vous. Vous ne devez donc pas considérer comme un jeu malveillant notre restriction délibérée de preuves objectives, car si celles-ci étaient apportées par mes frères, elles transgresseraient la norme de protection adoptée par notre communauté.

Ainsi nous avons pleinement obtenu l'équilibre psychosocial recherché grâce auquel il nous est possible d'offrir, à une minorité intéressée de vos frères de diverses nationalités de la TERRE, des informations véridiques concernant nos coutumes, les caractéristiques de l'astre solidifié UMMO, notre histoire, notre niveau scientifico-technologique et autres données, tout en arrivant à introduire la prudente dose de scepticisme, précaution qui stérilise le potentiel sensationnaliste contenu dans ces révélations, en les maintenant dans des milieux sociaux déterminés. Mais nous ne vous cacherons pas le fait qu'un tel équilibre peut être dangereusement endommagé par vous-mêmes en tant que IOGIOEMMII (êtres pensants libres) si nous n'introduisons pas des éléments de confusion dans les média de communication sociale - solution qui n'est pas toujours viable pour notre INAYUYISAA (petite collectivité isolée).

[...] Nous savons que quelques-uns parmi vous ont installé des équipements d'enregistrement par bande magnétique, branchés sur le réseau téléphonique. Nous constatons qu'ils ont aussi fait appel aux services d'une importante agence d'informations confidentielles et que, poussés par une curiosité compréhensible, ils ont commencé des investigations marginales pour tenter de nous localiser. De plus la pardonnable imprudence de l'un de nos collaborateurs sur TERRE permit à un de nos correspondants d'identifier l'hôtel d'une ville du sud de l'Espagne où nous avions pris pension pendant quelque temps.[...]

1970 : article

Antonio Ribera fait un article sur les photos de SJV pour le Stendek de la CEI de Barcelone le 2 septembre 1970.[2]

1973 : publications et une réunion

En janvier 1973 Ribera écrit dans la revue « Sienza e ignoto » de Faenze (Italie) « L’homme doté par les extraterrestrés, Jacques (Jaime) Bordas Bley » habitant dans les Pyrénées du côté du Canigou qui a rencontré en été 1951 un étrange personnage, peut-être un homme d’Ummo, qui mesurait 2 mètres et avait la démarche pesante. Bordas Bley lui apportait du pain et du lait.[2]

Antonio Ribera et Rafael Farriols publient leur livre de 245 pages « Un caso Perfecto » chez Plaza-Janès de Barcelone.[2]

Réunion à Tarbes (France) les 29 et 30 septembre 1973 au sujet d’Ummo : y étaient présents Claude Poher, Pierre Guérin, Fernand Lagarde (LDLN) , Georges C. de Collaert, Aimé Michel, Vicente Manglano, Vicente Juan Ballester Olmos, Antonio Ribera.[2]

1974 : réunion et articles

Compte rendu de la Table ronde sur Ummo (sept 1973) dans le N° 15 de Karma-7 de février 1974 avec les intervenants Ribera, Farriols, Lleguet, Manuel L. de la Mota, etc.[2]

Table ronde sur Ummo et Saliano à Barcelone le 9 octobre 1974. Assistaient : Ribera, Farriols, Lleguet, Carlos Batet de Cros, Carole Ramis, de la Mota, Plana, Armengou, Eamich, Lester, Fontrodona, Amat, Gras, etc.[2]

Antonio Ribera écrit une série de 5 articles : « La mystérieuse affaire Ummo » pour le Flying Saucer Review parus dans les n°s vol.20 n° 4 de 1974 ; vol. 20 n° 5, vol. 21 n° 1, 2, 3 et 4 de 1975.[2]

1975 : publication française

En 1975 paraît la traduction française de « Un Caso Perfecto » de Ribera et Farriols, sous le titre « Preuves de l’existence des soucoupes volantes ».[2]

1976 : livre et maladie

Dans le Flying Saucer Review vol.28 n°3 d’octobre 1976 il y a une annonce : « Ummo, all inquiries on UMMO matters should go NOT to Antonio Ribera, but to : Sr. Rafael Farriols, Calle Aragon, 256, Barcelona-7, Spain » (D3035) .[2]

Ribera publie son livre de 150 pages chez Plaza-Janès de Barcelone : « De vero, los ovnis nos vigilan ? » et à Mexico sous le même titre aux éditions Posada, Coleccion Duda.[2]

Fin de 1976 Ribera est atteint d’une thrombo-phlébite.[2]

1977 : entrevue et congrès

Le 8 juin 1977, le n° 14 de« Contactos Extraterrestres » de Mexico publie une entrevue d’Ariel Rosales avec Ribera.[2]

Au « Congrès de l’Ufologie » de Barcelone, Ribera parle des appels téléphoniques aux ufologues les plus connus, par quelqu’un qui se fait passer comme étant de Ummo.[2]

1979 : articles, interviews et livre

En mars et avril 1979 Antonio Ribera publie deux articles « Ummo, lumières et ombres » dans « Mondo Desconecido » de Barcelone, n° 33 pages 40 à 45, n° 34 pages 67-70 ; ils seront aussi publiés au Mexique dans « Contactos Extraterrestres » du 21 mars 1979, n° 58 pages 28, 31 et 50. [2]

« Semblables, mais non pareils aux humains, différences anatomiques et physiologiques entre ceux de la terre et ceux d’Ummo » article de Ribera dans le n° 61 de « Contactos Extraterrestres » Mexico, le 2 mai 1979. [2]

Le 22 juin 1979 article « Antonio Ribera, Ummo et les extraterrestres » par Félix PUJOL dans le journal « La Vanguardia » de Barcelone.[2]

Ribera accorde une interview à Antonio TELLO : les extraterrestres de Ummo au téléphone – publié dans « Interviu » n° 169 du mois d’août 1979.[2]

Ribera accorde une interview au journaliste Zacarias, disant que les gens d’Ummo sont grands, blonds, d’aspect nordique etc.. article dans le journal « Suroeste » de Séville le 10 octobre 1979.[2]

Il publie en 1979 chez Plaza-Janès de Barcelone son livre de 268 pages : « El misterio de Ummo ».[2]

1980 : réunion

Du 28 au 30 mars 1980 se tiennent à Alicante, à l’hôtel Babieco les journées commémoratives et d’études de Ummo : 30 ans de présence avec discours de José Antonio Corno, Lopez Guerrero, Angel Escudero, Jiménez del Oso, Antonio Ribera, Luis Jiménez Marhuenda (journaliste, homme de radio, africaniste, dcd le 18/04/2000), Juan José Benitez, José Luis Jordan Pena, Rafael Farriols, Raul Torres, José d’Alès, Grifol, de la Mota, Darnaude Rojas-Marcos, Enrique de Vicente et d’autres.[2]

1981 : livre

Dan le livre de Ribera « Secuestrados por extraterrestres » éditions Planeta 1981 il y a une liste des 73 patronymes ummites réalisé en août 1981 par Ricardo P. Cabanas.[2]

1983 : colloque et livre

Le colloque UMMO les 19 et 20 mars au Collegio Mayor de San Agustin à Madrid. Sont présents : Aguirre, Alvarez, Barrenechea, Farriols Franz de Penelas, Garrido, Jordan Pena, Marhuenda, Martinez, Mejorada, Muela, Ribera et Villagrasa.[2]

Dans le livre de Ribera « Las maquinas del Cosmos » (éditions Planeta, Barcelone, 1983) les pages 345 à 358 sont consacrées à Jean Pierre PETIT et UMMO.[2]

1984 : livre et publication française

Le 23 mai 1984 est expédié de New York une page dactylographiée « The true essence of Man » pour Ignacio Darnaude (il croit que c’est un canular). Antonio Ribera reçoit aussi une page dactylographiée en anglais, envoyée de New York avec les mêmes caractéristiques que celles du D196 à Darnaude.[2]

Antonio Ribera publie « En el tunnel del tiempo » 221 pages, aux éditions Planeta de Barcelone, et expose dans les pages 23 à 54 la théorie ummite des Ibozoo Uu en relation avec le temps.[2]

En novembre le livre de Ribera « El misterio de Ummo » est publié en français « Les extra-Terrestres sont-ils parmi nous ? Le véritable langage Ummo » aux éditions du Rocher, traduction de Jean-Jacques PASTOR (réédité sous le même nom en 1991).[2]

1985 : livre

Ribera publie « Ummo, la increible verdad » , 416 pages, chez Plaza-Janès de Barcelone.[2]

1986 : publication anglaise

La traduction anglaise du livre de Ribera préfacé par Wendelle Stevens : « Le mystère d’Ummo ».[2]

1987 : livres

« UMMO INFORME A LA TIERRA », 302 pages, de Ribera est publié chez Plaza-Janès en avril 1987. La même année Ribera sort « EL ENVES DE LA TRAMA » de 224 pages chez le même éditeur.[2]

1988 : livre

En juillet 1988 Ribera publie chez l’éditeur Obelisco de Barcelone un livre de 127 pages « Le secret d’Urantia ».[2]

1989 : interview

Ribera interviewé le 12 janvier 1989 par B. Manuel CARBALIAL pour un programme la télévision Aldébaran portugaise : « Lumière sur l’inconnu ».[2]

Liens

Références

  1. « [Monsieur Ribera,] au mois d'avril 1965, certains de mes frères résidant en Espagne, ont ajouté votre nom à ceux de vos frères Monsieur Buelta et Monsieur Danyans, au sein d'une liste de présumés correspondants destinés à recevoir nos informations concernant notre existence dans le milieu social terrestre. » || D70
  2. 2,00, 2,01, 2,02, 2,03, 2,04, 2,05, 2,06, 2,07, 2,08, 2,09, 2,10, 2,11, 2,12, 2,13, 2,14, 2,15, 2,16, 2,17, 2,18, 2,19, 2,20, 2,21, 2,22, 2,23, 2,24, 2,25, 2,26, 2,27, 2,28, 2,29, 2,30, 2,31, 2,32, 2,33, 2,34, 2,35 et 2,36 Godelieve Van Overmeire : Synthèse de l’Ummocat de Darnaude. Historique de l'affaire Ummo