Archéologie

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Techniques archéologiques

Lettre D541

Les débuts lointains de l’Humanité de Ummo ont laissé leur marque sur de nombreux restes archéologiques. Nos méthodes d’analyses stratigraphiques, qui nous permettent d'analyser n’importe quelle zone topographique sans aucune destruction, en explorant le terrain couche par couche à des épaisseurs laminaires de moins de 0,2 microns en utilisant de fins faisceaux de particules (note 1) neutriniques et un récepteur qui pénètre à grande profondeur dans le terrain en fondant au moyen de gaz ionisé à très haute température le milieu rocheux et en transmutant les résidus en hydrogène gazeux, nous ont permis d’étudier pratiquement tout le grand continent de OYAAUMMO (voir image 1)

S541-1.jpg

Grâce à ce système, jusqu’aux petits restes osseux fossilisés et à des restes diminués des anciennes ferrailles peuvent être détectés. Leur forme est codifiée en modèles à trois dimensions et sont emmagasinées dans des mémoires biologiques. Il n’est pas nécessaire d’extraire ces restes de leur cadre au contraire de ce que font les paléontologues et archéologues de la OYAAGAA (TERRE). Nous supposons que vos descendants seront horrifiés quand ils analyseront historiquement la grande spoliation de la Terre que vos analystes ont réalisée, en extrayant ces restes de leur cadre topologique. (Nous ne sommes pas en train de critiquer la méthode, car dans le cours actuel de la technologie de la Terre, l’étude des civilisations passées n’aurait pas été possible sans exhumer ces restes, les restaurer et les déposer dans les musées).

Nous aussi disposons de musées où s’accumulent les restes qui de manière similaire à celle développée par vos actuels archéologues de la Terre, furent isolés par nos précédentes techniques.

Nous pouvons même déterminer la couleur d’un objet enterré à grande profondeur. Le faisceau de neutrinos est d’une résolution telle qu’il analyse non seulement la densité mais la composition chimique ou moléculaire, non seulement de la surface de l'artefact ou du reste anatomique, mais aussi de sa masse interne. Plus tard un système décodificateur permet de discriminer le milieu rocheux ou argileux qui entoure l’objet. Notre SANMOO AAYUBA (réseau d’ordinateurs) envoie ainsi à l’UULODASAABI (terminal de visualisation tridimensionnelle) une image qu’on peut amplifier ou réduire à volonté, de l’environnement topologique où se trouvent ces restes, qui sont visualisés comme s’ils flottaient dans l’espace (Espace: nous répétons; quil correspond au milieu de NIAA (roche) fangeuse, sablonneuse, etc, où se trouvent ces objets.

Une étude par traitement de toute l’information reçue, permet de reconstruire le cours historique de nos ancêtres, en partant de leurs propres restes fossilisés et des artefacts qu’ils construisaient (édifices, tunnels, ferrailles, récipients, armes, écrits, etc)

Ainsi nous avons pu isoler de très curieux documents qui montrent; comment des fibres entrelacées de diverses manières constituèrent les primitives formes de codification de l’information (écriture). Dans une autre forme postérieure d’écriture on voyait des boules grossières de boue séchée sur lesquelles étaient clouées des petites épines ou des petites tiges d’arbustes. Une troisième forme, plus avancée, intégrait de fines lamelles de cuivre martelé, que nos ancêtres appuyaient soit sur une surface d’argile semi fluide, soit sur une couche de feuilles fraîchement coupées. Avec des poinçons de bois ils traçaient leurs signes idéographiques.