Lieu d'arrivée sur Terre

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De nombreuses personnes intéressées par l'Affaire Ummo ont essayé de déterminer l'endroit où fut creusé le premier abri.

Parmi ceux qui se sont penchés sur la question:

- Jean-Pierre Petit qui raconte ses recherches dans son ouvrage : "Enquête sur des extraterrestres qui sont déjà parmi nous: Le Mystère des Ummites"

- René Voarino qui pense avoir trouvé la fameuse entrée en 1990. Mais on se demande s'il n'aurait pas confondu un ancien refuge de maquisards avec une galerie ET.

- Oncle Dom .

Le 2 décembre 2015, OOMO TOA (https://www.ummo-sciences.org/fr/W3.htm #31) réponds à une question de @jfd911 à propos de cette galerie "Fortuitement découvertes début 1972 par des chasseurs du 11e B.C.A. de Barcelonnette. GAL IDIER, GAL CRAPLET, LCL OUVRARD, ..."

(voir wikipédia 11e bataillon de chasseurs alpins à propos de ces noms et particulièrement http://anaestm.fr/nosjournaux/bulletin-n-2.pdf à propos du Général Idier


Informations

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"A 4 heures 16 minutes 42 secondes TMG (heure terrestre de GREENWICH), on effectua l'OAWOOLEAIDAA .../...à l'heure citée, trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spaciaux) "apparurent subitement" en un point situé à la hauteur de 7,338 kilométres au-dessus d'un endroit situé à quelques 13 km de la ville française de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE (Département des Basses Alpes), non loin de la frontière de la République Cantonale et Fédérative de Suisse. C'était le 28 mars 1950. Les trois nefs descendirent rapidement touchant terre à 4 heures 17 minutes 3 secondes TMG.

Les pieds extensibles des vaisseaux s'enfoncèrent à peine dans le terrain rocailleux d'un contrefort alpin, non loin de celui que nous avons identifié par la suite comme Pic "CHEVAL BLANC" haut de 2322,95 m au dessus du niveau moyen de la mer et non loin du petit cours fluvial de " LA BLEONE".

Une grande nébulosité empêchait à ces heures de la nuit la vision directe des alentours. Les images obtenues dans la longueur d'ondes de 740 millimicrons permirent néanmoins de visualiser les alentours. Des plantes d'une morphologie étrange croissaient dans les environs. La morphologie érodée du terrain permettait de reconnaître quelques accidents accusés comme le lit de la rivière citée. Jusqu'au matin suivant l'on ne parvint pas à identifier la nature d'un groupe de lumières blafardes qui apparaissaient en trois points définis dans le lointain.


Néanmoins l'endroit paraissait désertique. Furent recueillis du sol quelques insectes et arrachées quelques espèces végétales identifiées ensuite selon la classification botanique de la Terre comme:"Valériana celta" et "Erica Carnéa". Celles-ci furent emmenées dans le Vaisseau où tous purent les examiner avec une curiosité réjouie. Comme il fallait s'y attendre, la morphologie de ces petits animaux et plantes différait des espèces connues sur UMMO.

Peu après sortaient les six expéditionnaires accompagnés de vingt membres de l'équipage. Il était nécessaire de commencer les travaux d'une construction souterraine d'urgence. On réalisa une évaluation expérimentale des caractéristiques du sol. Ce qui nous frappa le plus ce fut l'absence de Titane dans la composition chimique des roches de la terre (Sur notre sol d'UMMO, cet élément chimique est aussi fréquent que l'aluminium dans les argiles terrestres). Furent aussi détectés de nombreux phénocristaux inclus dans des roches porfidiques. La désagrégation des roches ignées était de plus évidente en constatant la composition dosimétrique de sable et argile. Les carbonates et les silicates abondants permirent d'élaborer une hypothèse de l'évolution géologique de ces terrains.

Il était nécessaire de réaliser la perforation en fondant à grande température des grés et des calcaires. La haute composition siliceuse du sol provoqua au début un sérieux problème qui fut rapidement résolu. Les matériaux ainsi fondus furent transmutés en un isotope d'azote. De cette façon, à l'extérieur n'apparaissaient pas des tas de terre qui auraient révélé notre présence à d'éventuels observateurs humains terrestres.

L'on travailla toute la nuit jusqu'à 7 heures. Peu avant l'aube nos UEWA se déplacèrent dans un petit bois d'étranges arbres à feuilles filamenteuses identifiés ensuite sous le nom terrestre de "PINUS MONTANA".

La galerie, ouverte dans le sous-sol d'une longueur de 4 mètres et d'une profondeur de 8 mètres fut étayée avec des IGAAYUU (sortes de CINTRES extensibles modulaires d'un alliage de Magnésium très léger), se maintenait à une température très élevée (quelques 500 degrés) bien que la fusion au moyen d'un processus énergétique nucléaire des produits ou des composés du sous-sol s'accompagne ensuite d'un refroidissement très rapide. De plus il était nécessaire de résoudre le problème de la condensation de vapeur d'eau sous forme de petits nuages qui en émergeant de la galerie en une haute colonne pouvaient révéler notre présence. Il fut nécessaire d'obturer la bouche du tunnel ou galerie avec une plaque plastique et de recueillir aussi par aspiration les fumées produites à partir de la combustion des substances organiques du sol.


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Le nouveau jour réserva aux expéditionnaires un beau et nouveau spectacle. Pour la première fois ils se trouvaient face à un nouveau monde, une structure géologique nouvelle. Le ciel était plus indigo que sur UMMO. De nombreux strato-cumulus couvraient ce jour là le ciel de la région. Bientôt furent remarquées la présence de deux structures artificielles (habitations humbles) situées à 1,3 km et 1,9 km respectivement.

L'origine des lumières aperçues le matin fut parfaitement éclaircie. Elles correspondaient aux cités ou petites localités de DIGNE et LA JAVIE. La forme anarchique des étranges constructions attira notre attention. Dans DIGNE apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique Romane du XIII siècle. [...] On trouva, à 200 mètres, d'étonnants piliers prismatiques, avec d'autres matériaux artificiels. Tout était en ruines. On se trouvait devant la première œuvre enregistrée et provenant d'êtres humains terrestres. Plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ancien petit hangar pour le stockage d'aliments, mais la découverte remplit nos frères d'émotion.

L'analyse montra la présence d'une substance agglutinante de mélange complexe dans laquelle intervenait du sulfate calcaire, des alumines et des petites quantités d'oxydes minéraux (plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ciment sur-sulfaté) et de fragments de roche et sable en proportion et dosage presque constant (plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'agrégats pour le béton).


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L'entrée de la galerie se trouve sur l'un des contreforts montagneux de la région, pas très loin du pic du "Cheval Blanc". De là on domine toute la vallée dans laquelle coule la rivière Bléone. Avec un bon instrument optique on voit parfaitement les édifices de Digne, sa vieille cathédrale et même fragmentairement l'on peut observer le Bès et quelques tronçons du chemin de fer. On peut également observer parfaitement le hameau de La Javie et quelques constructions humbles des environs.


Dans les lettres, apparait une confusion entre les deux cathédrales de Digne : la plus ancienne, romane, construite entre la fin du XIIe siècle et le début du XIVe siècle ne dispose pas de clocher (Notre-Dame du Bourg), tandis que la plus récente, d'architecture gothique et néogothique, se glorifie effectivement d'un étrange clocher ajouré (Saint-Jérôme).

Résumé des conditions

Les conditions à respecter sont:

1) C'est un contrefort alpin près du Cheval Blanc.

2) L'endroit est désert, sans accès routier

3) En 1950, ce lieu était dénudé avec un proche bosquet de pins.

4) "Valeriana celta" et "Erica Carnéa". (erreur de transcription ? Il s'agit de la "valeriana celtica" qui ne pousse qu'au dessus de 1800 m ?)

De ce point on devrait voir:

1) Le pic du Cheval Blanc.

2) La vallée de la Bléone.

3) Le village de La Javie.

4) La tour de la cathédrale St-Jérôme, à Digne.

5) Une partie du cours du Bès.

6) Des tronçons du chemin de fer.

7) D'humbles demeures à 1,3 et 1,9 km.

8) Des paturages à vaches à environ 350 m

9) Une ruine prismatique à 200m.

Les propositions

Jean-Pierre Petit: La crête de la Blâche (environ 1200 m)

Oncle Dom : D'après "Oncle Dom" ce serait le replat du Martignon ...Ca semble vraiment trop proche du centre de Dignes (quelques km), et divers points

Anonyme sur le blog de "Futur en Folie" qui écrit : "Un anonyme a réagi aujourd'hui en indiquant sans plus de précisions les coordonnées suivantes : N 44.246767 et E 6.404027 (flanc Sud-Est de la Montagne de l'Ubac). Le souci est que St-Jérôme n'est pas visible de ce point si on trace le profil altimétrique (grâce à geoportail.fr et aux coordonnées de la cathédrale fournies par Wikipedia)"



En A et B, les deux points possible d'OAWOOLEAIDAA

En C, proposition Oncle Dom

En D, proposition Anonyme

En E, proposition Jean-Pierre Petit

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Proposition Anonyme (détail)

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