Christianisme : Différence entre versions

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Le '''Christianisme''', selon le résultat des études et recherches des Ummites.
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== Jésus a-t-il fondé l'Église ? ==
 
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Version du 18 mars 2018 à 14:56

Le Christianisme, selon le résultat des études et recherches des Ummites.

Jésus a-t-il fondé l'Église ?

Lettre D792-2
Jésus ne fonde aucune Eglise. Le récit relatif à la création du pape avec l'apôtre Pierre, comme premier Pontife, et les allusions variées à une congrégation de fidèles est également le fruit d'additifs postérieurs. Les termes hébreux tels que QAHAL, et le grec EKKLESIA, sont ensuite prodigués, éparpillés dans les écrits plus antiques.

Mythe de la mort

Lettre D792-2

Le mythe de la mort, a comme origine une fausse interprétation du martyre de Jésus. Il est totalement certain que ce OEMMIIWOAHommo Deus est soumis au tourment de la crucifixion, bien que les chroniques post-testamentaires soient sensiblement déformées jusqu'à se convertir en légende, mais Jésus ne meurt pas. Ses disciples obtiennent de récupérer son corps presque inanimé, bien qu'ils fassent courir le bruit de sa mort pour éviter une autre persécution. Ils soignent ses blessures et une fois rétabli, le chef religieux reprend son activité doctrinaire. Peu après se produirait le ASNEEIIBIAEDOO (disparition) devant ses disciples abasourdis. Le récit de cet événement fut ensuite déformé et interprété comme «Ascension au Ciel». Le phénomène ne parut pas être si étonnant à des humains fanatisés convaincus de la Divinité de leur Maître. Nous avons prouvé que le linceul conservé à Turin a entouré le corps de Jésus. Nous vous recommandons une étude plus approfondie de ce vestige historique. La thèse vaporigraphique, consistant en l'imprégnation du tissu par des substances phyto-thérapeutiques avec lesquels ceux qui l'ont soigné imprégnèrent le corps de Jésus pour soulager ses blessures explique l'empreinte de l'image. La thèse que quelques-uns uns de vos frères ont émise concernant une hypothétique radiation mystérieuse est totalement absurde et antiscientifique. La tunique fut conservée par un paysan appelé ISMAHI, qui assista à la disparition «miraculeuse» du Maître Galiléen.

Il est important de signaler, que contrairement à notre histoire de UMMOWOAMessie sur Ummo, le nombre de personnes qui contempla l’événement prodigieux de sa «disparition» fut énorme. Il est possible, d'après les documents que nous avons localisés, qu'ils aient été de douze cents à quinze cents personnes. Si la version donnée au début par un petit nombre de biologistes fut qualifiée de psycho-nosologique par ceux qui écoutèrent le récit, bien qu'une investigation policière ait restitué le phénomène, ici des douzaines de pasteurs, paysans et pêcheurs se lancèrent remplis de fanatisme exalté à raconter avec un enthousiasme mystique ce qu'ils avaient vu de leurs propres yeux.

Disciples

Lettre D792-2

Immédiatement se forme une secte chrétienne qui atteint un apogée inhabituel depuis l'an 38 (Ère Occidentale), jusqu'à l'an 129 à 133. Durant cette période, les témoins de l’événement, leurs fils et d'autres adeptes exaltés, confrontés aux doctrines dominantes en Israël, se lancèrent dans une campagne messianique, pour exposer, déjà quelque peu altérée, la doctrine éthique de Jésus. A partir de cette date, on observe les premières scissions, la formation de sectes ; la formation - imaginée par les dirigeants plus ambitieux - d'une congrégation EKKLESIA - surgit avec force.

Jésus avait, durant sa vie, fréquenté des personnes remarquables qui dirigeaient les assemblées ou synagogues, et lié amitié avec eux. N'oubliez pas qu'en Judée, les hommes éminents les plus riches étaient intégrés dans la classe sacerdotale ; c'est-à-dire, les dignitaires du Sacerdoce Suprême du Temple. Le flux d'argent était immense, il provenait de dons de juifs et d'impôts religieux. De cette façon, le Sanhédrin comptait sur un pouvoir secret qui s'étendait jusqu'aux confins de la Judée.

Quelques-uns de ces hommes éminents s'étaient convertis en disciples secrets de Jésus et ils purent assister au prodige de sa «disparition». Grâce à leurs nombreux biens, ils œuvrèrent à la formation de telles sectes, ainsi qu'à travers leurs fils et leurs petits-enfants.

Au début, surgissent deux groupes importants. L'un issu de sectes juives (minoritaires) et l'autre, de Réseaux Sociaux palestiniens (bien que d'une certaine façon fondée sur le judaïsme) . Il naît aussi un groupe essénien, qui déforme sensiblement la doctrine. Un rôle éminent, à des dates ultérieures fut tenu par les descendants d'une secte qui avait embrassé une forme de vie monastique, formée par quelques amis de Jésus et qui vivaient dans des grottes près de Jérusalem.

Les différences sur la signification des idées de Jésus deviennent chaque fois plus tendues. C'est seulement un souvenir commun qui unit ces hommes : leurs pères ou grands-pères avaient vu le prodigieux «miracle» d'un Maître divin qui « devient soudainement transparent ».

Le germe de l'idée ecclésiale apparaît précisément, reconduite par un groupe de moines de Jérusalem, fortement hiérarchisés. Parmi eux il y avait d'anciens disciples d'un autre OEMMIIhommes historique (bien que son histoire soit également déformée), Jean Le Baptiste.

Ces différents disciples imposent ce qu'on appelle le sacrement du Baptême. C'est la même secte qui crée le mythe des douze apôtres. Non qu'ils n'aient pas existé, quelques-uns étaient parmi les disciples de Jésus, d'autres peuvent être rattachés au groupe des anachorètes, ils s'arrogèrent un rôle de protagonistes, qu'en réalité ils n'eurent pas. Ce serait les SHELIHIMémissaires, les dirigeants de la nouvelle congrégation hiérarchisée.

Autour d'Esteban, l'un des dirigeants d'une autre secte, qu'on appelle les hellénistes, s'agglutinent des juifs très cultivés qui embrassent la doctrine déjà très altérée de Jésus. Le conflit entre ces derniers et le vieux groupe monacal devient très grave. Les premiers partent du principe qu'il était nécessaire de souffrir la persécution et le martyre, comme Jésus. Leur dialectique était plus riche, c'étaient des hommes plus intelligents que les moines. Les zélotes eurent avec eux d'aigres disputes qui dégénérèrent en rixes sanglantes. Esteban fut sauvagement assassiné. Ils lui extirpèrent les parties génitales, ils lui arrachèrent les yeux et lui ouvrirent l'abdomen, vivant. Ensuite, la version des autres membres de la secte fut qu'Esteban avait été exécuté.

Le restant des partisans s'enfuit à Samarie.

Les Hellénistes continuèrent à se répandre sur le littoral méditerranéen, en Syrie, en Phénicie. Des congrégations ecclésiastiques se forment suivant cette ligne théologique, entrant en concurrence avec l'effort des moines qui au début ( al principio' au lieu de 'en principio ), avaient été patronnés par les «douze» apôtres.

Un obscur OEMMIIhomme, du nom de Paul de Tarse, se distingua pendant la persécution des hellénistes. En principe, il avait adhéré aux Zelotas. Ensuite, il les trahit et ceux-ci jurèrent de le tuer. Un helléniste du nom de THAIS l'initia aux mystères de la doctrine de Jésus. THAIS avait aussi assisté à la «disparition ou ascension dans le ciel». Après son intégration dans le groupe, il voyage en Syrie pour créer de nouveaux groupes, de nouvelles églises.

Dans ces communautés, il régnait un intense respect de la liberté des adeptes. La hiérarchisation rigide et les règles sévères qui devaient régir les communautés plus sclérosées pendant les siècles postérieurs y sont inconnues. On exhorte les fidèles à régler leurs actes en fonction de l'enseignement divin de Jésus pour ne pas violer gravement le droit des êtres les plus faibles. Ici la véritable UAAlois surgit dans toute sa pureté.

Jusqu'en l'an 49, les zelotas provoquent des troubles graves à Jérusalem. L'origine de la révolte doit être centrée dans le fait qu'une jeune zelota, une certaine «DHIFA ou DIVA» fut sauvagement violée par un soldat de Rome. La rébellion s'étendit à toute la Palestine. Rome vint à bout des rebelles, occupant Jérusalem et détruisant le Temple. Les sectes chrétiennes se voient gravement affectées à cette époque.

Plus tard Jacques meurt, et la secte de Jérusalem se disperse. Jusqu'en l'an 72, elle a souffert d'un déclin notable de son ancienne influence.

Évangiles

Lettre D792-2

Pendant ce temps les groupes hellénistes continuent à se reformer. Ils avaient écrit ce qu'on appelle l'Évangile selon Saint Marc jusqu'en l'an 52, et ils le répandaient avec rapidité. De son coté, un exilé palestinien du nom de NAUR, écrivit l'Apocalypse " selon Saint Jean" en l'an 79. Cet homme haïssait les juifs et il écrit son texte pour attiser le climat social qui existait chez les Palestiniens contre cette race.

Ce qu'on appelle les Epîtres de Jacques fut écrit entre les années 78 et 81. Nous pouvons vous révéler qu'elle non plus n'est pas écrite par Jacques. C'est l'œuvre de deux auteurs, dont l'un s'appelle Daniel le Juif, qui s'efforcent tous les deux d'amener au christianisme par leur texte des juifs dispersés après la destruction du Temple de Jérusalem.

L'Évangile selon Saint Mathieu est rédigé en l'an 82, il demeure inédit pendant deux ans, et il est réécrit avec des corrections en l'an 84 par un groupe restreint d'hiérarques dans une communauté de Syrie, située à Antioche.

L'histoire de l'Évangile de Saint Jean est plus complexe. C'est précisément Jean qui raconte l'agonie de Jésus et sa vie, telle qu'il l'a connue à travers des versions adultérées d'autres disciples de Jésus, et comme il l'a vécue lui-même, à des adeptes variés de Smyrne. Ceux-ci recueillent les récits oralement et rédigent de mémoire l'Évangile, qu'ils ne feront pas connaître avant trois autres retouches. L'Évangile ne prend sa forme définitive qu'au bout de deux ans et cinq mois. Et son texte commence à être [divulgué] en l'an 96.

Institution de l'Église

Lettre D792-2

Dans la dernière période du siècle 1, les chrétiens se réunissent dans les demeures des dirigeants les plus éminents des sectes. Ici se célèbrent des scènes collectives en souvenir du Maître Jésus, au cours desquelles on lit des récits de sa mort. Cette coutume poursuivit sa ritualisation jusqu'au premier quart du 2e siècle (jusqu'en l'an 118) où l'Eucharistie apparaît déjà instaurée comme sacrement. Les anciens se chargent d'un culte qui alors s'était déjà ritualisé et également codifié dans certaines communautés. Les évêques, se chargent d'administrer les biens procédant d'un fond commun des membres des congrégations. Finalement, cela se fit par le contrôle des communautés.

La période médiane entre les années 170 et 243, se caractérise par la naissance de l'Institution de l'Église. Les évêques comprennent qu'il faut unir les communautés dispersées, sous un contrôle commun et un code uniforme de la doctrine, qui jusqu'alors était exposée de façon anarchique par chacune des congrégations indépendantes. Mais les groupes ne se montrent pas tous favorables à cette fusion.

Écoles gnostiques

Lettre D792-2

En réalité la secte dite chrétienne était scindée en une multitude de petits groupes, dont certains, suivant une ligne de pensée éclectique, amalgamaient des doctrines procédant de la mythologie grecque et romaine avec le christianisme; quand il ne se produisait pas une étrange symbiose d'idées juives, égyptiennes et chrétiennes. Le groupe le plus important des opposants à l'autre ligne, est celui formé par les écoles gnostiques. C'est une autre façon plus épurée de comprendre le Christianisme.

L'interprétation officielle falsifiée des historiens de l'Église Catholique Romaine rapporte avec une emphase particulière le conflit entre les deux idéologies. L'une, la serait représentée par le CHRISTIANISME à ses origines jerusalemienne et hellenienne, et l'autre par une secte quasi païenne appelée le GNOSTICISME. La réalité historique, telle que nous l'avons évaluée avec des documents qui ne vous sont pas accessibles est toute autre.

Il s'agit de deux interprétations mythiques du christianisme. Toutes les deux adultèrent le message originel de Jésus dont nous vous avons exposé l'origine cosmobiologique. Jésus voulait, influencé par son subconscient engrammé de modèles de comportement néguentropique, enseigner à ses disciples ces simples éléments d'Éthique.

La mentalité magique, les croyances exotiques en provenance des diverses cultures mythologiques et l'absence naturelle de rigueur dans la transmission de données par voie orale ou écrite, donnèrent naissance à deux grands corps de doctrines dites chrétiennes :

  • la grecque plus pauvre, plus influencée par la terrible notion d'un Jehova vengeur et cruel, un Dieu protecteur de l'agressive ethnie juive et
  • la Gnose avec une philosophie plus élaborée de logique qui voit en Jehova un être malin et élabore une idée de Dieu beaucoup plus pure.

Victoire du christianisme

Lettre D792-2
L'histoire postérieure fut un choc brutal entre les deux conceptions. Finalement la premièrechristianisme, qui imposa son concept d'Église et sa doctrine, est sortie victorieuse. Il est évident que si c'était l'inverse qui s'était passé, vous en Occident, vous auriez élaboré une philosophie chrétienne, également mythifiée et déformée, mais plus intellectuelle et avec un concept de la divinité plus conforme à la Science.