Discussion:José Luis Jordán Peña

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Bonjour,

Votre article est très intéressant et confirme en gros ce que je pense : pena est un mythomane. D'ailleurs, sa vie entière pourrait faire un excellent ouvrage de SF . Ce qui m'etonne, c'est qu'il n'est nullement évoqué dans cet article la lettre que pena a envoyé à Mr Darnaude en 2010. Votre article semble avoir été écrit après cette date puisque vous mentionner dans celui-ci que Mr PENA est décédé en 2014. Cette lettre est essentielle dans ce dossier, car elle "complète" ses aveux de 1993, et elle les contredit d'aileurs en grande partie.

Voici la traduction en français que j'ai fait de cette lettre :

Monsieur D. Ignacio Darnaude 41004 Séville Espagne


Cher ami,

Après ma généreuse confession effectuée il y a de nombreuses années (près de quinze, je crois me souvenir), dans laquelle j’avouai être l’auteur de l’affaire (H)UMMO, je dois la compléter, après s’être écoulé une période prudente, par amitié envers des chers amis, que j’ai inévitablement cultivée, et vis-à-vis desquels je désire maintenant être totalement honnête. J’aurais pu m’enrichir avec cette « affaire », et la preuve de ma bonne foi est que cela n’a pas été le cas, bien que je doive reconnaître que les professeurs se sont montrés très généreux à mon égard, dans le sens pécuniaire. Je t’ai choisi pour compléter mon auto-confession, car, en plus de te considérer comme un homme honnête et un ami, ton travail avec l’umocat doit être considéré comme exceptionnellement correct. L’affaire UMMO, ainsi nommé sans vergogne par les « ufojournalistes » de pacotille, fut effectivement mon œuvre, mais pas dans sa totalité. Des écrits comme ceux de « l’immuwoa », « la guerre en Irak », « le waam-waam », l’information en biologie de la regrettée Alicia, et les lettres postérieures à 1988, incluses celles de mes admirables voisins français, ne furent pas de moi. Elles imitaient mon style, mais il était évident qu’il s’agissait de simples imitations d’un plaisantin ou quelques plaisantins dont, encore aujourd’hui, je ne connais pas l’identité. J’ai eu quelques collaborateurs étrangers, qui furent ceux qui m’envoyèrent les lettres depuis des points distants du globe terrestre… des noms ? … je suis seulement autorisé à vous en donner quelques uns : Vicente Ortuno (+), Norman West, John Child, M. Carrascosa, Alberto Borras, T. Pastrami, Sean O’Connely (+), Iker J. (qui a tant réussi aujourd’hui grâce à moi). Je reconnais que j’ai réussi à inculquer mes connaissances au travers d’une personne (fictive) s’appelant John AXEE. La solide culture , qu’année après année, j’ai emmagasiné dans mon cerveau s’est également manifestée de cette façon (je demande humblement pardon pour mes égarements auprès de John AXEE. Mes correspondants ont exigé de moi ce pardon, et, en tant que catholique pratiquant, je l’accorde avec onction.) J’ai gardé pour moi en effet la part la plus importante de l’histoire, notant que pour des motifs personnels qui me sont propres, je souhaite maintenant manifester la vérité avant l’apparition de tant de stupidités venant d’autant de gens qui ont pu existé. Ces faussaires croyaient-ils vraiment que j’allais assister impassible à l’usurpation de mon savoir sans rien dire ? … Je répéte, je ne me suis pas excessivement enrichi avec cette histoire, il s’agissait seulement d’une expérience pour la science et pour le bien de l’humanité, assisté, ceci dit, par un puissant groupe étranger dont tu devines l’identité. Je préfère une confession épistolaire dans ce cas, pour les raisons évidentes que tu mettes fin à ce cycle de l’ummotalogue avec une broche d’or. D’autre part, mes correspondants l’exigent. Outre l’existence de ces textes expirés cités, on m’oblige a prendre autant de hauteur, à dénoncer ceux qui, sous couvert d’anonymat, ont abusé de mon œuvre en rédigeant des textes falsifiés qui, je dois le dire, s’inspire de mon œuvre originale.

Prends note : Deux citoyens américains nommés Docteur Jonathan F. Mac Guire (+) et son adjoint le professeur Arnold J. Lebotski, qui travaillaient pour un organisme officiel, me contactèrent il y a déjà de nombreuses années, à Alicante, et me demandèrent de les aider à effectuer une expérimentation sociologique, pour le bien de la culture occidentale. Etant donné mon anticommunisme belligérant, déjà virulent à cette époque, j’acceptais, Amen qu’ils me récompensérent de telle manière que jusqu’à aujourd’hui, je vis de cet expédient que pour des raisons évidentes je suis arrivé à occulter à la voracité des service des impôts (hacienda), qui maintenant, comme un pied de nez à cette stupide démocratie instauré ILS NE PEUVENT RIEN CONTRE MOI pour prescription de ces faits, car ce sont des agneaux immobiles, et moi, je suis rationnel, sachant mesurer le temps et les mentalités. Ma rémunération à l’époque, quoique substantielle, n’était pas vraiment énorme. Ils m’ont toujours payé en espèces, en dollars, (le dollar était à cette époque à quelques soixante pesetas), et j’allais les échanger, billet après billet, dans les succursales d’Alicante, Madrid et Albacete. En échange, tout ce que j’avais à faire, c’était d’inventer un monde de fantaisie (bien qu’inspiré par leurs suggestions), et divulguer celui-ci avec une entière liberté auprès de mes amis et connaissances. J’employais parfois aussi quelques scientifiques indépendants, choisis au hasard, écrivant à ces personnes en m’aidant d’un annuaire téléphonique. De la Compagnie Nationale Espagnole (CTNE). Mon imagination et mes solides connaissance scientifiques firent le reste. Après, c’est une histoire connue. C’est ici ma confession. Je t’autorise par la présente à la divulguer modérément, toujours inspiré comme tu l’es par la bonne foi que tu estimes. Je sais, qu’en tant qu’homme bon et humble que tu es, tu m’obéiras. Rien de plus, cher ami, reçois et transmets à nos bons et crédules amis cette nouvelle contribution de ma part au devenir des gens.

Je t’embrasse avec émotion. Ton ami.

José Luis Jordan Pena


(1) Et quelques autres, pire encore, dont je ne me souviens pas maintenant PS : je nierai (à toi le premier) avoir rédigé cet écrit. J’ai confiance en ton honnêteté pour ne pas le divulguer, seulement dans l’ummocat, et sous réserve. Mon téléphone et mon courrier sont mentionnés pour « eux » et d’autres.


Photo de l’enveloppe avec une rédaction manuscrite : Lettre reçu a séville le 06-11-2010


Dans cette lettre, 2 choses sont assez étonnantes : il affirme qu'en fait il n'a pas agi seul, mais en collaboration avec de nombreuses personnalités, dont il cite le nom de quelques unes. Il affirme aussi ne pas être à l'initiative de cette opération. C'est en fait un organisme officiel américain, dont il ne cite pas le nom, et il aurait été contacté par deux scientifiques de cet organisme pour monter cette affaire, dont l'objectif était l'amélioration de la culture occidentale ! Tout cela parait aberrant, et comme cela contredit en partie ses premiers aveux, il aurait été intéressant de la mentionner dans votre article. Ou alors, vous pensez que cette lettre est un faux ? Mais sur quelles bases ?