Japon cité dans les lettres ummites

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Le Japon cité dans les lettres ummites dans les sujets suivants :

1966‏‎ : vision et deux correspondants japonais

Lettre D41-15

(1966) [... une] image s'est décomposée en millions d'impulsions élémentaires. [...] il y a une séquence d'IMPULSIONS CODÉES qui se transmettent en un certain ordre, comme si les pierres d'un grand temple terrestre étaient démontées et enregistrées pour les reconstruire après un long voyage. Le nerf optique [...] transmet ces impulsions après qu'il y ait eu une première WOO EDUU (SYNAPSE) dans la YAAESIOO BUEA (corps genouillé latéral du Thalamus) au UNIIEAYAAEBU (cortex occipital). Les scientifiques terrestres semblent ignorer ce qui se produit à partir de l'instant où de telles impulsions nerveuses activent la UNIIEAYAAEBU. Nous allons donc faire un résumé du document remis à deux spécialistes japonais. [...]

[...] au champ de la conscience arrivent deux messages. L'un [...] provient directement de l'OEIL (voies nerveuses [...]); l'autre issu de la MÉMOIRE [...] : Simplement un train d'ondes carrées qui représentent le codage de l'image [...] tel que nous l'avons appris dans notre enfance, image qui était conservée dans la mémoire depuis ces lointaines années. C'est dans ce champ de la CONSCIENCE que les deux images se comparent et identifient [l'objet] en tant que tel. Si cette dernière connexion avec la mémoire échouait, nous n'aurions qu'une seule image : celle issue de l’œil mais elle nous semblerait étrange comme si nous ne l'avions jamais vue. Nous appelons cette anomalie en psychopathologie YAEYUEYEDOO (amnésie de fixation).

1967‏‎ : analyse de croyances

Lettre D62

(juin 1967) [...] nous avons analysé en quelques mois les bases scientifiques de certaines de ces croyances. Ainsi par exemple, au Japon il existe une antique tradition thérapeutique très enracinée parmi certains campagnards. Ce procédé rural se nomme KHUROYAKI. Les natifs fabriquent des récipients grossiers de céramique qu'ils remplissent d'un grand nombre de substances selon la maladie qu'ils veulent guérir. Ainsi ils peuvent introduire certaines espèces de reptiles, des œufs de tortue, feuilles et racines végétales, mâchoires de certains vertébrés, tiges de bambou, vers de terre, etc, etc. Ils ferment immédiatement et hermétiquement l'orifice du vase avec de l'argile et quand il est sec ils chauffent le récipient dans la terre à très haute température, le vase est finalement cassé et son contenu carbonisé est utilisé comme remède thérapeutique "efficace".

Notre analyse a montré la présence anormale de certains isotopes radioactifs à un taux plus élevé que celui obtenu avec ces mêmes substances soumises à la crémation en présence d'oxygène. Les éléments chimiques, qui disparaissent par évaporation dans ce cas, se retrouvent toutefois dans le KHUROYAKI. En effet nous avons vérifié qu'il était naïf de penser que de tels sous-produits de la combustion seraient efficaces dans autant d'affections que le postulaient les paysans, mais que dans certaines maladies ils avaient réellement une valeur thérapeutique.

Nous ne pouvons donc pas déprécier "A PRIORI" les croyances populaires des Terrestres. Nous vous exhortons au contraire, avant d'en rire, de les analyser avec attention. Un pourcentage indéfini d'entre elles ONT SANS DOUTE DES APPLICATIONS EFFICACES bien que dans de nombreux cas les techniques modernes soient supérieures aux faibles effets de celles-ci.