Union soviétique citée dans les lettres ummites

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L'Union soviétique (l'URSS) citée dans les lettres ummites.

Mai 1965 : correspondant soviétique

Lettre D41-15
(1966) A la demande du Professeur Sesma Manzano, Madrid

Conformes à votre demande d'un rapport sur notre Culture, Philosophie et Religion. Vous comprendrez qu'il nous soit impossible de les résumer en quelques pages. Nous avons jugés suggestifs d'esquisser des morceaux choisis, qui englobent quelques unes de leurs caractéristiques les plus marquantes bien qu'il y ait un risque de le faire d'une manière non systématisée.

Un résumé plus étendu et cohérent a été remis en Mai 1965 au professeur K.I. Ivanov (Union Soviétique). Un autre rapport sur notre système religieux, de caractère confidentiel, a été adressé à l'observatoire de la Cité du Vatican (Italie). [...]

1966‏‎

1966‏‎ : atterrissage de trois vaisseaux ummites le 6 février 1966

Lettre D37-1
(février 1966) Distribution de ce document : en Union Soviétique : 6 [persons].

En date (ESPAGNE) du six février 1966 est arrivé sur la planète TERRE trois autres de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (astronefs) de type OMWEA UMMO occupés chacun par huit techniciens avec la capacité de quatre voyageurs de plus. Les contacts avec l'orographie terrestre eurent lieu aux points suivants :

[1] 2 CAMARADES aux environs d'Erivan, à 6 km de la rivière Araks, territoire soviétique à 18 h 47 mn (heure espagnole).
[2] 2 CAMARADES aux environs de Madrid, Espagne à 20 h 02 mn (idem).
[3] 3 CAMARADES aux environs de Townsville (Queensland) territoire australien à 22 h 45 mn (heure espagnole).

Les réactions terrestres enregistrées par notre Service de Détection et d'information ont été les suivantes :

U.R.S.S. Document secret dirigé par les autorités d'Erivan à l'Académie Soviétique des Sciences en se basant sur le témoignage de divers paysans, un photographe de presse qui put photographier notre vaisseau et deux ingénieurs en service à la base radar d'Ivenopra qui furent témoins oculaires de notre arrivée. La presse soviétique a passé cet incident sous silence. [...]

[...] la mission ordonnée à ce nouveau groupe de camarades de UMMO sous les ordres du gouvernement de UMMO [...] : une mission purement d'étude et d'analyse au moment où la Terre obtient de nouveaux succès dans l'exploration du Cosmos.

1966 : la Chine communiste ‏‎

Lettre D23
[...] nous reconnaissions que cet État Terrestrela Chine a une ligne politique quelque peu agressive, nous ne sommes pas persuadés que cela représente une réelle menace pour vous. Le peuple Chinois traverse en ce moment une crise très intéressante et si vous n'étiez pas polarisés politiquement par certains préjugés, vous mesureriez à son juste niveau. Ni l'Union Soviétique, ni les États-Unis n'accepteront que le développement de cette Nation s'oriente vers des objectifs belliqueux. [...]

1967 : mention des états totalitaires

Lettre D58-2
(03/04/67) Souvent des hommes de la terre nous interrogent sur les aspects politiques de notre structure sociale. Présente-t-elle les caractéristiques d'un état démocratique de droit ? Est-elle peut-être un Etat Social de droit ? S'agit-il d'une structure socialiste particulière ? Présente-t-elle les aspects classiques d'une Société libérale ou, au contraire, son "échafaudage" rigide rappelle-t-il les totalitarismes de l'Allemagne d'Hitler, l'Union Soviétique de Staline, l'Espagne du général Franco ou la république Dominicaine de Trujillo ? S'il n'en est pas ainsi, pourrait-elle ressembler à l'ancien État théocratique du Tibet ou peut-être que le fait que UMMO soit régi par quatre OEMII vous donnera à penser qu'il s'agit là d'une forme particulière d'Oligocratie ou de Polycratie. [...]

1969-1980 : expéditionnaires de deux autres astres

Lettre D1378
(30/01/1988) [...] Les deux autres groupes planétaires se mêlèrent à vous facilement par l'avantage que supposait, à l'égal de nous-mêmes, d'avoir une anatomie pas très différente de celle de l'OEMIIhommes de OYAGAATerre. Leurs buts étaient identiques aux nôtres, mais leur stratégie différente. Ils maintinrent un silence strict sans jamais se faire connaître.
Leurs vaisseaux furent inévitablement détectés comme les nôtres, et ils établirent des bases aux Etats-Unis et en Union Soviétique. (Les expéditionnaires de l'une d'elles : Astre ISSSSS, arrivèrent en Angola en 1962, ils se mêlèrent à vous vers 1969 aux Etats-Unis, en URSS et en Union Indienne et ont abandonné OYAGAA en 1980. ISSSSS est situé à 174 années lumière de OYAGAA.) Ils ont tous évité n'importe quel type de contact avec nous. Aucune de ces civilisation ne vous causa de tort, suivant des normes plus ou moins différentes mais coïncidant pour l'essentiel, dérivées des UAAAlois universelles. [...]

1973 : alerte atomique

Lettre D116
(23 mai 1979) [...] nous eûmes l'information de la sinistre opération que les hiérarques nord-américains préparaient. Ce fut depuis le fameux rapport secret qui expliquait que l'Union soviétique se trouvait en ce moment à un niveau accusé d'infériorité logistique par rapport aux États-Unis. Quelques experts estimaient que c'était le moment adéquat pour déclencher une offensive nucléaire et abattre d'un coup la puissance de l'URSS.

Mes frères connurent la réunion secrète au cours de laquelle le président Nixon [37e président des États-Unis du 20 janvier 1969 au 9 août 1974] de mauvais grè donna le feu vert au projet.

Nous étions atterrés. La première décision de prise allait dans le sens de gagner nos nefs et de quitter l'astre froid. Plus tard, le projet fut reconsidéré. Nos bases étaient aptes à résister à une conflagration de ce type, mais un problème de conscience se posait à nous : comment abandonner nos amis de la Terre ? Nous décidâmes, malgré le risque que supposait le fait, d'offrir enfin une preuve objective de notre existence, en offrant dans différents pays nos bases souterraines pour qu'ils s'y réfugiassent. Aucune attaque, mais le président déclara, comme vous le savez, une alerte atomique à la date que nous annoncions et - en cela nous offrions une preuve très suspecte que nous étions plus que ce que nous voulions paraître… [...]

1973-1974 : confrontation nucléaire

Lettre D112
(08 janvier 1974) [...] RISQUE NUCLÉAIRE : Aux dates du 21 décembre (1973) et du 3 janvier 1974, la République Française et la Grande-Bretagne ont adressé des notes très dures à l'administration nord-américaine, appuyées par les pays suivants : Allemagne Fédérale, Hollande, Italie, Danemark, Irlande, Belgique, Norvège, en menaçant d'un pacte avec le bloc de l'est, si les plans logistiques d'attaque nucléaire par surprise n'étaient pas modifiés immédiatement. Une des notes faisait directement allusion à l'alerte déclenchée par les USA dans les bases nucléaires du monde entier (inclues les espagnoles) et qui fut décidée sans l'accord des alliés européens.

Le gouvernement Nixon, harcelé par la grave crise interne provoquée par les preuves accumulées sur l'erreur du président (Ndt: Il s'agit du Watergate), n'a pu supporter la menace européenne et, dans une note adressée séparément à ces nations, il apporta la garantie que le mécanisme logistique était en train d'être révisé pour éviter une nouvelle initiative identique, tant que la république de Chine et l'Union soviétique ne prenaient pas des mesures agressives démontrées. D'autre part, il exprime son inquiétude devant les nouvelles qui arrivent de la R.P. de Chine sur une nouvelle arme au plasma en expérimentation.

MOUVEMENTS DE GUÉRILLA : L'escalade des actions terroristes qui commencent à se multiplier sous une forme incontrôlable, est évidente pour vous. Un grave déséquilibre social est provoqué par des structures injustes et qui refusent d'évoluer, des sphères de pouvoir qui se défendent par la répression. Ce déséquilibre atteint des minorités bien entraînées dont le désespoir se cristallise en actions terroristes, chaque fois plus perfectionnées. Les causes initiales de ces actions sont à chercher précisément dans la perpétuation de cette structuration politico-sociale. Notre information en la matière est que le processus est loin de diminuer et que de nouveaux contingents juvéniles recourent désespérément à ces gestes fous, par manque d'autres options. Vous lamenter sur une telle situation est stérile. Cela équivaut à condamner les tremblements de terre et les inondations.

Les sources financières très importantes sur lesquelles comptent ces groupes répartis dans le monde entier et qui se sont même débarrassés du contrôle qu'exerçaient, jusqu'il y a peu de temps, l'Union soviétique et la République Populaire d'Allemagne, sont actuellement :
République Populaire de Chine, Lybie, Arabie saoudite, Tunisie, Albanie, République de Cuba et des secteurs financiers déterminés des États-Unis, Irlande, Pays Basque français, Maroc, Égypte, Mauritanie, Argentine, Suisse.

Un risque très grave, à notre avis est constitué par l'information que, dans l'avenir, ils commenceront à utiliser des missiles (Ndt : "jets") téléguidés pour des attentats contre les dirigeants politiques et autres objectifs. La fourniture de fusées de fabrication soviétique, issus des excédents du dernier conflit israëlo-arabe, ne donnera pas de grands résultats car leurs têtes chercheuses, basées sur la détection de spectre infrarouge, sont seulement efficaces contre les aéronefs et autres objectifs moins précis. Mais cette découverte de la possibilité d'utilisation de missiles a poussé les commandements des organisations terroristes a étudier d'autres modèles téléguidés.

Dans une réunion du comité central du parti de la République Populaire de Chine, à la date récente du 7 janvier 1974, on a débattu de la possibilité de fournir des têtes nucléaires compactes, susceptibles d'être transportées, démontées, jusqu'aux points assignés comme objectifs par les mouvements terroristes urbains. [...]

1975 : plan d'urgence pour éviter un suicide collectif sur Terre

Lettre D1378
(30/01/1988) [...] nous avons déjà préparé, dès 1975, un plan d'urgence définitif, [... quand] l'évolution turbulente de l'humanité de OYAGAATerre rendrait prévisible bien que peu probable la nécessité d'une intervention de notre part pour éviter un suicide collectif qui entraînerait même l'élimination des espèces animales inférieures.

Il fut immédiatement convenu d'adopter les mesures pertinentes pour prévenir cette urgence. PREMIÈREMENT : construction en différents points de OYAGAA de bases souterraines dotées de l'étanchéité et de moyens d'autoapprovisoinnement en oxygène, eau, énergie et produits d'alimentation. De telles installations furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un contingent réduit d'OEMMIIhommes de OYAGAA, qui assurerait leur survie en cas d'attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques, y compris toute la période postérieure du risque d'agression physique et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s'étendre à environ cinq cents jours terrestres).

DEUXIÈMEMENT : equipement de ces bases avec du matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct des nations suivantes : Etats Unis d'Amérique du Nord, Union des Républiques Socialistes Soviétiques, Canada, Grande Bretagne, République Populaire de Chine.

Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait de UMMO avec d'importantes dotations de matériel technologique de coercition, afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République Fédérale d'Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon, République du Vietnam, Corée du Nord, Angola République Sud Africaine, Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique, Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.

On permettrait durant un temps court la souveraineté aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive de procéder au démantèlement de leur infrastructure militaire (excepté leur force policière), jusqu'à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés par mes frères. [...]

[...] Naturellement, nous ne pouvons pas vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive, et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l'hippocampe, qui bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l'Etat. [...]

1983 : étape régressive sur Terre

Lettre D176

(27/02/83) [...] Des périodes historiques sombres pour l’humanité s’approchent. Cela n’ira pas jusqu'à provoquer la fin de l’espèce de l’Homo sapiens sapiens, mais vous subissez une étape régressive aux conséquences graves. Nous ne devez pas seulement accuser les hominiens malades qui dirigent le concert des nations puisqu’ils sont le produit d’une société involutive, mais la période progressive symbolisée par trois humains bons et honnêtes, Nikita Kroutchev, John F. Kennedy et Jean XXIII est survenue dans une phase réellement sinistre.

L’actuel dirigeant soviétique (Iouri Andropov) persiste à violer les droits du peuple afghan et prépare ses prototypes de vecteurs par satellite avec ogive nucléaire dirigée par faisceau hélicoïdal d’électrons sur un faisceau de flux magnétique terrestre.

Le premier des Etats Unis d'Amérique (Ronald Reagan) mène en l'accélérant un programme d’armes de fission-fusion-fission, polyvectoriel, qui permettra le lancement de milliers d’ogives de 0,3 mégatonnes en vol rasant à une altitude de 4 mètres au dessus du niveau topographique qui seront indétectables par les moyens de radiolocalisation qui permettent déjà la détection des missiles de croisière. Ces vecteurs de petite taille dotés d’une grande autonomie éviteront même les petits arbustes et les structures rocheuses réduites.

La République populaire de Chine continue à développer simultanément des armes nucléaires quasi obsolètes et une super-arme au Plasma, bien que depuis novembre 1982 il s'agisse de résoudre un problème de réfrigération de vapeur d’Arséniure de Cadmium à l'ancre par manque d’équipes de programmation appropriées. L’arséniure de cadmium n’est pas le composé le plus approprié et bien que leurs spécialistes le soupçonnent, ils persistent heureusement dans cette ligne.

Entre temps, les horreurs génocides de cette étape commencent à presque égaler celles provoquées dans les décades des quarante mois à partir de 1938, dans le 3e Reich avec l’assassinat massif de millions d’êtres victimes de l'animosité de la race germanique.

L’Union soviétique a employé l’ortho-1,2,2-triméthyl propylométhylphosphoro fluorhydrate sur les bandes de partisans, produit d’action horrible sur le système nerveux qui provoque de terribles convulsions mortelles à doses quasi infinitésimales s’infiltrant dans l’organisme non protégé par un scaphandre sophistiqué. Cela constitue une violation répugnante de l’intégrité de l’être humain.

Les États-Unis ont envoyé depuis avril de l’an terrestre 1981, quatre mille six cent quarante spécialistes en torture policière au Chili, Guatemala, Turquie, Salvador, Haïti, Argentine et Paraguay. Certains de leurs procédés techniques incluent des techniques comme l’emploi des curarisants, comme un dérivé de la tubocurarine qui produit d’horribles souffrances sur les malheureuses victimes interrogées.

Devant leurs propres mères, en Argentine et au Salvador, au Guatemala et au Chili, des enfants de six à huit ans d’âge sont soumis à des sévices par ces agents nord-américains leur extirpant leurs yeux et leur provoquant de terribles incisions à l’abdomen jusqu’à affleurer le paquet intestinal.

Vous mêmes, vous maintenez encore vos Yies (femmes) dans un état de semidomesticité humiliante les marginalisant jusqu’à des extrêmes inadmissibles. Tant que vous ne résoudrez pas ces problèmes, la sombre perspective d’une hécatombe vous menacera. [...]
Lettre D190
En ce moment les Etats Unis de l’Amérique du Nord comptent sur un pouvoir dissuasif à caractère logistique supérieur à celui de l’Union Soviétique. Les services de renseignements de cette dernière connaissent les avances technologiques de cette grande Nation et attendent apeurés l’escalade arrogante de leur adversaire.

Les Etats Unis comptent déjà sur une première arme au Plasma que la Technologie de la République de Chine, n'a pas pu développer pleinement, faute de quelques moyens. Concrètement le projet DSP-32 des USA ("Defense Support Program 32" ; Programme de soutien à la Défense n° 32) permet de convertir en hélium ionisé UN volume de 1013 m³ de l’atmosphère après un laps de temps de quelque huit cents secondes où sont atteintes des pointes de quatorze mille degrés à des niveaux inférieurs à trois kilomètres au dessus du sol.

Le risque de provoquer des bouleversements écologiques à niveau planétaire par l’usage probable de ces armes qui mettrait fin à la vie des espèces animales et végétales de rang supérieur, est encore plus grave que dans le cas d’une dévastation avec des armes thermonucléaires.

Ce qui rend la situation encore plus dramatique, c’est que les Etats Unis sont disposés à mettre n'importe quel prix pour en terminer avec le modèle socialiste de l’URSS. Les conversations tenues par le Cabinet de crise des USA et que nous avons captées, révèlent que les dirigeants de ce pays sont disposés à générer des points conflictuels qui forceraient leur opposant à intervenir et d’avoir ainsi une excuse à prendre en compte pour éliminer toute l’infrastructure [...]

1988‏‎ : 27 ummites sur Terre

Lettre D499
[...] Nous formons une équipe de vingt-sept voyageurs situés en divers pays de la Terre et nous maintenons une correspondance avec des groupes réduits du Canada, Australie, Espagne, Union Soviétique, Zimbabwe et quelques autres. Notre information se limite à vous soumettre notre culture, sans nous immiscer d'une façon active dans les problèmes internes. (Seule l'Espagne a été l'exception après que notre existence ait été rendue publique). [...]

1989 : Voronej

Lettre D1751
[...] sur le territoire soviétique (Voronej) [...] inversion des atomes permit de montrer notre marque « )+( » se détachant sur la surface de notre nef brillant par ionisation.

1991 : fin de la mission auprès des grandes puissances de la Terre

Lettre D1751

(8 janvier 1991) [...] En ce moment se termine la mission que nous nous étions imposée auprès des grandes puissances de la Terre. A la suite d'un entretien avec chacun des deux présidents d'URSS et d'EU, ceux-ci comprirent que le péril nucléaire qui flottait au dessus de leur planète (OOIAA) si la tension continuait à croître jusqu'au point de rupture (UUGAA), cette situation étant malheureusement imminente.

Peut-être avez-vous assisté à un changement surprenant. Au point que personne n'imagina jamais que des structures aussi solides subiraient un changement si profond. L'essentiel est que les deux États en vinrent à réduire substantiellement leur arsenal mortifère. Aussi bien, les E.U. se sont aussi engagés à ne pas faire un pas de plus dans leur escalade agressive envers d'autres pays sans tenir compte du consentement du président et du secrétaire général des Nations Unies.

Jusqu'ici notre intervention, comme signature de celle-ci sur toute la planète, eut lieu sur le territoire soviétique (1989, Voronej) et, comme marque de celle-ci sur toute la planète, un (IVOOSO AIIDA) (terme difficile à traduire : inversion des atomes) permit de montrer notre marque (deux barres croisées entre deux arcs situés de part et d'autre d'un axe de symétrie « )+( » ) se détachant sur la surface de notre nef brillant par ionisation (AAWOLEEAA OEWE OEM).

Nous avons appris la nouvelle à la presse de toute la planète (OOIAA). Grâce à la collaboration des EU et de l'URSS, nous avons ainsi scellé la collaboration de notre civilisation avec Michael Gorbachof et Georges Bush. Depuis le 18 avril à 15 h 06, où se célébra un contact avec le Président de la dernière nation citée (USA), nous n'en avons eu aucune entrevue et nous n'en aurons aucune autre, notre mission est terminée.

[...] Ce qui arrive avec Saddam Hussein, c'est qu'il est devenu le chef d'une puissante nation renforcée par l'aide militaire que lui ont fourni l'Union Soviétique, les États-unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Italie, le Canada, la Belgique et d'autres pays comme l'Espagne.

[...] Dans la guerre actuelle seuls les E-U, l'URSS, la Grande-Bretagne, la France, Israël, détiennent l'arme "mortifère", le Canada et la Chine la connaissent. Nous allons vous révéler son nom. Ce n'est pas une entité matérielle mais un concept. Il se nomme ISC (Informative Satellite Coefficient) (mesures fournies par satellite d'information). Seuls les deux premiers pays peuvent s'en servir efficacement. [...]