La mort

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La mort de l’OEMMIIhumain

Le 07/03/2017, un listeur pose la question "l'extrait suivant de la GR1-8 m'a surpris : "En effet, le retour au comportement aléatoire des atomes de KKrypton, produit la mort de l’OEMMII". Si j'ai bien compris, ce n'est pas la mort physique du corps et donc des tissus vivants qui renvoient provisoirement (le temps que eux aussi meurent) les atomes de KR à un comportement aléatoire mais ce semble être l'inverse !"

GR1-4

"Il est certain que nous pouvons détecter facilement cet événement (disparition complète des atomes de Kr du cerveau), et nous considérons sur UMMO qu’un OEMMII n’appartient alors pas à notre AYUUYISAA, en déclarant donc sa mort. Sauf des accidents ou IRAOOAA, notre manière de disparaître de notre WAAM est plus conventionnelle."


Avis de Jean Pollion

Je commence par un bref rappel, limité au sujet, sur la mécanique quantique. Dans notre cadre (celui de l’atome de krypton), la mécanique quantique s’applique aux particules élémentaires qui le constituent, les protons et neutrons du noyau (que nous oublions ici) et aux électrons (qui nous intéressent ici). La caractéristique “quantique” des particules qui nous occupent est l’incertitude de Heisenberg : on ne peut savoir à leur sujet, à la fois et avec la même précision, où est la particule et quelle vitesse l’anime. Tu remarques que position et vitesse, de la pensée de Heisenberg et du modèle standard, sont dépendantes, par définition, du cadre, du modèle “espace-temps” du paradigme.

La physique quantique de notre paradigme décrit, par définition, les états de toutes les particules : pour nous, elles sont toutes soumises à l’incertitude quantique. Ce qui veut dire que devant un atome de krypton, elle ne sait situer aucun électron, et c’est pourquoi on parle de nuage ou d’orbitales (sortes de “bouées” plus ou moins sphériques) autour du noyau dans lesquelles on a la plus grande probabilité que se trouvent les électrons.

Quand les auteurs évoquent dans leurs lettres des atomes* aquantiques, il y a de quoi s”insurger : en oubliant que nous réagissons dans notre modèle, l’absence d’incertitude est inconcevable et ne doit pas recevoir de “mot”. Nous ne savons pas ce que le mot “aquantique” recouvre.

  • Il faut lire “des atomes dont les électrons ont un comportement...”.

Mais si on prend un peu de recul, et en pensant que le paradigme des auteurs n’est pas le nôtre, nous n’avons aucune raison démontrable de remettre en cause leur écrit.

Donc, pour les auteurs, l’atome de krypton en général peut se voir attribuer deus états :

- l’état courant, normal, avec des électrons “non localisables”, déclaré “quantique”,

- l’état exceptionnel, non courant, a-normal, avec des électrons “aquantiques”, donc à priori localisables.

Une digression sur les atomes de krypton.

Le krypton est un gaz relativement peu soluble dans l’eau. En conditions normales de température et de pression, il faut compter 1,7.10^12 atomes de krypton par ml (mille milliards) d’eau. Toutes nos cellules sont pleines d’eau et le cerveau n’y échappe pas ‘(oui, oui...Triste). C’est-à-dire que les cellules de notre cerveau contiennent ensemble des milliers de milliards d’atomes de krypton ! A priori tous normaux, donc quantiques.

La mort de l’homme dans la cosmovision des auteurs.

Selon les auteurs, l’homme est le rassemblement de 4 facteurs :

- son corps biologique, dont le cerveau, OEMMII dans notre Univers, notre WAAM

- son âme, BUAWA, située dans le WAAM extrême à vitesse nulle de la lumière

- le B.B. situé dans le WAAM extrême à vitesse infinie.

- son OEMBUAW, un paquet de quelques 16 atomes de krypton “aquantiques”.

L’intercommunication entre les 3 premières entités, situées dans des univers différents, est assurée par l’OEMBUAW, les quelques atomes de krypton (les auteurs avancent le nombre de 16) “spéciaux” dans le cerveau (notre WAAM).

L'intercommunication est déclarée assurée par les électrons de ces atomes qui sont en état “aquantique”. On se rappelle qu’il y a, en principe, 16 atomes “aquantiques” au milieu de milliards d’atomes normaux. On peut déduire de leurs descriptions qu’ils disposent d‘outils pour “voir” spécifiquement ces atomes.

Chaque constituant, l’âme et le B.B., dispose donc de sa voie propre de communication, sa “grappe d’électrons aquantiques”.

La vie de l’humain est assurée par le fonctionnement permanent (à partir de l’établissement des liens, au moment physique de la fusion chromosomique) et simultané de ces grappes d’électrons “aquantiques”. L’âme est le “pilote des comportements”, un peu comme la bande perforée d’un vieil orgue de barbarie. C’est donc le déroulement de ce pilote qui rencontre la fin de la bande.

C’est l’âme (BUAWA) qui lance le message de fin de bande [mort] (voir la GR1-4) directement au B.B. Le message passe donc directement via les grappes d’électrons aquantiques. Et en “réponse”, le B.B. casse la communication “aquantique” en provoquant le retour des électrons aquantique à un état quantique. Les électrons qui étaient “visibles” par leur spécificité ne sont plus reconnaissables, l’équivalent de leur “disparition”.

En même temps, le B.B. “convertit” le caractère “aquantique” des électrons des grappes en lien direct et immatériel entre l’âme (BUAWA dans son WAAM) et le B.B. dans son WAAM. A l”issue du processus, l’homme est mort, puisque son OEMMII est déconncté de son âme et de sa participation au B.B.