Logique

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Les Oummains utilisent deux types de logiques : une divalente comme la terrestre et une autre dite "Logique Tétravalente


Lettre D68-1

Mais là où les barrières au libre flux de l'information sont presque infranchissables et rendent plus difficiles la compréhension de notre culture, c'est dans le domaine de la LOGIQUE

Nous utilisons deux types de logiques : une divalente comme la terrestre et une autre tétravalente. .

Ceci est important car à la lumière de la logique tétravalente, des postulats valablement acquis par le Philosophie du Droit, acquièrent de nouvelles dimensions, facettes et même des contradictions apparentes qui vous paraîtrons paradoxales si vous transposiez leurs formulations dans le contexte philosophique familier aux terrestres.

Voir Logique Tétravalente pour plus de détail

Lettre D75-D77

Nous observons des divergences notables entre les bases de logique qui vous sont familières et les nôtres.

Nous nions le principe terrestre du tiers exclu (exclusion du moyen terme énoncé par Aristote) selon lequel les propositions ne peuvent être que VRAIES ou FAUSSES.

Une telle ligne dialectique déterminée exige de même que l'on refuse le principe que vous nommez de CONTRADICTION (par exemple dans le domaine que nous appelons théorie de BIEEWIGUU) (qui peut se traduire par psychophysiologie).

Dans tous les cas nous respectons ce que vous appelez le principe d'IDENTITÉ.

Ce que nous venons de rapporter exige un éclaircissement. Dans notre "devenir" normal, dans notre vie quotidienne, notre dialectique peut se confondre avec la vôtre. Si je dis que OUI, je me suis réveillé à 26 UIW, une telle proposition est VRAIE ou bien je peux avoir falsifié la réalité, auquel cas un autre type d'énonciation distincte de VRAI ou FAUX n'est pas possible (et ceci ICI dans mon cadre tridimensionnel de mon WAAM (Univers)).

Pour des actes normaux de la vie quotidienne, ce principe artificiel bipolaire ou bivalent, est valable ou utile (vous ne faites pas non plus, au marché, des corrections relativistes sur la masse d'une marchandise déplacée du commerçant vers le client).

Mais quand nous désirons spéculer au sujet de valeurs transcendantes ou quand nous tentons d'étudier des concepts que vous appelleriez gnoséologiques, ontologiques, physiques, biologiques, théologiques... ce principe est totalement à rejeter.

C'est précisément le grand obstacle auquel nous faisons allusion dans les paragraphes précédents. Comment vous exposer nos fondements métaphysiques si nos "langages" respectifs sont basés sur des principes logiques contradictoires? Le problème ne peut se résoudre par une simple transcription des significations de phonèmes comme vous pouvez vous en douter.

Ceci est la raison pour laquelle (en dehors de celles inhérentes à des impératifs de censure) nous nous voyons obligés, dans nos rapports, d'utiliser des comparaisons terra-centriques, des propositions mutilées et étroites qui entravent toute la richesse informative de nos expressions dialectiques. Déjà la seule utilisation du verbe ÊTRE limite toutes nos possibilités. Toute l'ontologie des penseurs de la Terre est saturée d'expressions comme "ÊTRE", "JE NE SUIS PAS", "J'EXISTE", sans possibilité de choix pour d'autres formes de contenu distinct.

En ce sens, l'orientation de penseurs néopositivistes de la TERRE comme Russel est clairvoyante, non pas par le rejet de toute métaphysique mais comme exigence d'une révision du langage. Tant que vos formes de communication informative ne seront pas clarifiées, le processus de recherche de la vérité sera lent et très laborieux.