Réalité (concept Ummo)

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Réalité ontologique chez les Oummains (Ummites) : chaque humanité pensante réalise son AIIODI (RÉALITÉ) en modulant AIIOODII (la trame des potentialités réalisables).

Lettres

Lettre D59-4

UNE COMPARAISON POUR DES PERSONNES PEU VERSÉES EN PHYSIQUE

Au long de ces dernières années, les physiciens d'OYAGAA ont percé progressivement la nature intime de la matière. Peu à peu vous avez obtenu un catalogue d'une série de particules à qui vous avez assigné une série de paramètres dont la mesure est possible à l'aide de vos actuels instruments de laboratoire.

Ainsi, comme nous l'indiquions précédement, vous êtes capables de mesurer la MASSE au repos ou en mouvement, son énergie instantannée, sa charge électrique, son SPIN et son MOMENT ORBITAL. Vous ne connaissez pas la situation d'une particule en un instant donné mais la seule probabilité de la localiser en un point défini.

Cependant de nombreux physiciens supposent qu'une particule a une réalité, soit comme phénomène concentré dans un environnement de rayon limité, soit comme quantité discrète ou Quantum d'ÉNERGIE sans pouvoir en définir la taille et la position). Cependant sans l'existence d'INTERACTIONS et avant la possible collision avec une autre particule, celle-ci peut se déplacer en une trajectoire que vous pouvez visualiser (dans une chambre de Nielle par exemple) en conservant entre temps ses attributs initiaux de MASSE, SPIN, ORBITALE, CHARGE et ÉNERGIE.

Avant de continuer, nous allons vous donner deux comparaisons didactiques. Vous employez pour vos fêtes populaires une chaîne de fusées reliées par une mèche continue (en Espagne vous appelez ce feu d'artifice, un CHAPELET (de pétard (ndt))

Imaginez qu'un observateur contemple de très loin une rue sur laquelle on a étendu un de ces chapelets.

S59-f33.jpg

S59-f33 (NdWM: le blanc à droite de l'image est dû au flash de l'appareil photo qui a pris cette image en photo à partir de la copie original)

Quand commence l'explosion du premier pétard de ce chapelet, un OEMII court en portant un feu de bengale dans la direction parallèle au chapelet. Les pétards du chapelet en explosant les uns après les autres et très vite, peuvent provoquer l'illusion optique pour notre observateur qui voit de loin ce phénomène qu'il s'agit d'une "LUMIÈRE" qui "court" le long de la corde.

Il croira voir deux LUMIÈRES qui se déplacent avec des trajectoires parallèles :

- le coureur avec son feu de Bengale

- la mise à feu séquentielle des pétards du chapelet.

Il ne verra peut-être pas la différence et même il pourra croire qu'il s'agit de deux coureurs avec des feux de Bengale.

Vous voyez donc la différence entre ces deux conceptions PHYSIQUES. Les PHYSICIENS d'OYAGAA accepteraient la "version du coureur avec son feu de Bengale". Les Physiciens de notre PLANÈTE savent que le déplacement des particules peut être assimilé à la métaphore du chapelet de pétards.

Si un fragment de minéral radioactif émet des rayons b (Bêta), vous croyez que l'électron qui est parti d'un grain de la substance est le même qui, après quelques centimètres, provoque un collision avec par exemple une molécule d'oxygène.

Notre conception diffère énormément de cette image formelle. L'ÉLECTRON EN LUI-MÊME N'EXISTE PAS (tout comme on ne peut pas dire avec certitude qu'un ÉCLAIR ou un SCINTILLEMENT existe dans le pétard). Oui, il existe une chaîne d'IBOZOO UU inaccessible à nos sens ou à nos appareils de mesure à cause de l'orientation particulière de leurs OAWOO ("AXES") : comme, pour les yeux d'un observateur lointain, seraient inaccessibles les cartouches de carton emplies de poudre.

De plus certains OAWOO de chacun des composants de cette série ou chaîne s'orientent consécutivement. (Pour ensuite revenir ensuite à leur orientation primitive).

Ceci constitue l'illusion du mouvement de quelque chose qui est sous-jacent à nos organes des sens externes et qui échappe au contrôle de vos instruments de mesure actuels.

Il n'est pas possible de concevoir une PARTICULE isolée en dehors du WAAM (COSMOS) comme il serait inimaginable de concevoir une VAGUE de l'océan qui ne soit pas associée à l' EAU.

Non seulement l' Énergie est quantifiée (sur ce sujet les physiciens terrestres ne se sont pas trompés) mais la GRANDEUR "DISTANCE" l'est aussi. Il n'est pas possible de distinguer une " quantité sensée " de dimension inférieure à 12 -13 cm (relation angulaire entre deux IBOZOO UU "CONNECTÉS" (LIÉS) . Précisément une PARTICULE SOUSATOMIQUE a comme base un IBOZOO UU et un autre CONNECTÉ (Nous employons le mot "CONNECTÉ" car nous n'en trouvons pas d'autre plus adapté dans votre langage. Nous croyons que le mot "ADJACENT" suggérerait une localisation de l'IBOZOO UU et nous vous avons déjà dit qu'un IBOZOO UU existe mais ne peut être POSITIONNÉ.).
Lettre D76
NOTRE CONCEPTION DE L'AIOOYAAIODI.

Tout penseur de la TERRE reconnaîtra l'insurmontable difficulté qu'entraine la projection sur des esprits non formés de concepts abstraits reflétant toute la richesse idéologique des différentes écoles philosophiques.

Notre prétention de vous offrir de telles conceptions condensées en quelques paragraphes stérilise d'emblée toute possibilité d'homogénéiser les critères, en leur donnant la forme adéquate que nous acceptons. Mais au moins elle vous servira pour ébaucher par petites touches rapides une image de la structure de notre pensée.

Dans le domaine de la cosmologie, les progrès obtenus sont suffisamment importants pour que les spéculations de nos idéologues abandonnent le terrain mouvant des intuitions et s'appuient sur un empirisme épuré et omniprésent qui nous a permis de formuler des hypothèses beaucoup plus conséquentes que celles d'autrefois.

Nous pouvons vous révéler que le premier "choc" ressenti par les anciennes conceptions mécanistes du Cosmos eut lieu quand nos cosmophysiciens arrivèrent à constater la véritable nature de l'espace physique.

Notre modèle de Cosmos est capable de répondre d'une manière satisfaisante à toutes les interrogations qui se posent non seulement en Physique mais aussi dans le domaine biologique et psychophysique. Il est compatible avec la riche phénoménologie dont nous sommes les observateurs optionnels.

Il ne s'agit pas cependant d'un modèle définitif et parfait - réel - car bien qu'il réponde à nos propres formulations : qu'est-ce que l'être ? qu'est-ce que le non-être ?... qu'est-ce que le S76-s1 (S76-s1) - être? pourquoi sommes-nous ici ?... qu'est-ce que "l'entité"-nécessaire ? (Observez que j'essaie de refléter les formulations qui vous sont les plus familières) et pourtant, pour satisfaire harmonieusement nos aspirations subjectives de connaissance, nous introduisons sophistiquement des convictions erronées.

Par exemple, celle qui consiste à dire qu'il existe un modèle objectif pour nous. Celle que, pour satisfaire nos propres schémas mentaux propres à des êtres à structure corticale définie, nous pouvons qualifier de HORS-DE-MON-ESPRIT comme concept "appréhendé" dans sa totalité, sans tenir compte du fait qu'une autre entité pensante DIFFÉRENTE-DE-MA-STRUCTURE puisse satisfaire aussi ses propres formulations en arrivant à des résultats incompatibles avec mon MOI-STRUCTURAL, mais parfaitement valables pour lui.

Mais ceci est un corollaire de l'inquiétante question exposée en premier lieu. Existe t'il un modèle objectif du "Cosmos" ? Si la réponse est négative, la confusion introduite rendra impossible toute espérance de certitude.

Mais avant d'exprimer nos idées sur les êtres, sur l'AIOOYAAIODI (ENTITÉ DIMENSIONNELLE), voyons comment nous envisageons le problème de l'information dont l'altération interdirait toute possibilité de nous entendre.
Lettre D78
NOS BASES EAAIODI GOO (Ontologiques).

Comme vous n'êtes pas, Monsieur Ribera Jordá, un spécialiste en philosophie de la TERRE, nous essaierons d'utiliser une terminologie plus familière et compréhensible, avec un vocabulaire analogue à cette discipline.

Le problème de l'"ÊTRE", tel qu'il a été envisagé par les penseurs de la TERRE, a eu une formulation radicalement différente sur UMMO. Nos ancêtres ne doutèrent pas un instant de l'existence de la réalité externe à la propre conscience. Les "choses" existent par elles-mêmes, "en dehors de moi" mais leur essence nous est masquée par leur codage dans nos voies sensorielles (voir note 7). Ce principe est resté constant jusqu'à ce que de nouvelles formes de dialectique enrichissent nos schémas primitifs.

NOTE 7 : Sur ce point les penseurs de la TERRE acceptent aussi la difficulté d'accéder à la réalité extérieure, dont les images mentales s'intègrent au travers du codage utilisé par nos organes extérocepteurs et propriocepteurs.

Une synthèse de notre EAYODI GOO (ontologie) actuelle pourrait être formulée ainsi :

Il n'est pas possible de définir dans un premier stade le concept de l'ÊTRE. "POUR-MOI" qui suis une pure conscience de mon IGIO UALEEXII (MOI) et des "choses" qui AIOOYA (existent dimensionnées) autour de moi, je suis plongé dans un WAAM (univers) qui me transcende.

Les "choses", les objets de mon processus mental ne "sont" sans doute pas comme je les perçois, ni comme je les traite au moyen d'un mécanisme rationalisateur très complexe. Les relations causales sont des relations "EN-MOI" traitées selon un ordre élaboré par de tels mécanismes. Un végétal est appréhendé par "moi" avec des caractéristiques qui symbolisent ses attributs "réels". "Mon" impression sensorielle arrivant au niveau de la conscience est sans doute une illusion basée sur des constantes extérieures. Ainsi la couleur sera l'impression psychologique d'une stimulation de nature électromagnétique et le concept de masse imprimé dans ma conscience est très loin de pouvoir s'identifier avec l'attribut physique réel qui le génère. Jusqu'ici, Monsieur Ribera, de telles idées concordent avec la pensée des théoriciens des idées de la TERRE.

Mais, même si les "ÊTRES" se masquaient en accédant à notre MOI et même si nous ne pouvions savoir comment ils " SONT " réellement, leur essence EXTÉRIEURE-À-MOI est-elle constante ? Je peux ignorer comment " EST " réellement une molécule de camphre qui stimule mon organe sensoriel olfactif en provoquant la sensation consciente, mais chaque fois que je perçois un tel arôme, puis-je assurer qu'il est un attribut du seul camphre et non pas qu'il puisse s'agir d'une illusion ou une hallucination?

Exprimé autrement :

Même si je ne savais pas comment "est réellement le WAAM", le WAAM est-il "ICI", dynamique ou statique, changeant ou rigide, engendrant des idées qui se reflétent dans ma conscience sans que mon "MOI" soit capable de changer son essence, son "ÊTRE" propre ?

Notre réponse est NON.

Les OEMII avec une structure neurocorticale et mentale définie (vous les hommes de la TERRE, nous les hommes d'UMMO et tous les êtres semblables du WAAM) ne pouvons jamais accéder à la vérité, à l'essence du WAAM, non pas parce qu'un tel WAAM "n'existe pas" ni parce qu'il y a une barrière qui nous en empêche, mais parce que EN PENSANT À L'ÊTRE NOUS MODIFIONS SON ESSENCE (Une comparaison grossière illustrera notre proposition) : quand un physicien de votre Planète prétend observer une éprouvette micrométallographique pour constater ses propriétés optiques, il produit une altération dans le processus en utilisant de la lumière pour l'observation. Ceci est un obstacle insurmontable puisque l'observation elle-même altère la véritable nature de ce qui est observé. Quelque chose de semblable se passe avec l'ÊTRE : celui ci "EST-AINSI" quand il N'EST PAS PENSÉ ET QUE SON IDÉE N'EXISTE PAS DANS MA CONSCIENCE.

Dés que nous ÊTRES PENSANTS tendons vers l'ÊTRE, celui-ci n'[EST], ni [N'EST-PAS] (ici votre logique ne nous permet pas une solution informative pour développer ce concept).

Nous OEMII "créons" le WAAM en pensant à lui, le Cosmos se présente à nous avec une configuration d'IBOZOO-UU (voir plus loin le concept physique du WAAM). Sans doute ces IBOZOO-UU existent en tant que reflet spéculatif de QUELQUE-CHOSE-QUI-N'ÉTAIT-PAS-IBOZOO avant que nous le pensions et, comme (penser c'est ÊTRE), avant que nous, les OEMII, n'existions.

II s'agit là d'une espèce de "SYMBIOSE" entre la Réalité extérieure et nous. La réalité extérieure se plie à notre processus mental, elle est modifiée dés que nous

focalisons notre conscience sur elle. Nous élaborons alors un modèle de WAAM binaire composé de facteurs physiques IBOZOO-UU qui est notre "CRÉATION" et en même temps cette Réalité conforme notre MOI, le crée, le génère.

En arrivant à ce stade, vous pouvez penser que notre système est une espèce de panthéisme qui exclut l'idée d'un ÊTRE NÉCESSAIRE ou WOA (Dieu) TRANSCENDANT-AU-COSMOS. II n'en est rien comme vous pourrez le constater plus loin.

Imaginons d'autres êtres "pensants" différents de nous (EESEEOEMI). (Nous ne nous référons pas à des êtres avec une structure physiologique différente, mais à des "JE" dont les schémas mentaux ont une configuration différente. Sans aucun doute "ceux-ci" tenteront de PENSER-LE-COSMOS (bien entendu le processus de "PENSER" ne doit pas être interprété dans un sens anthropomorphique), et "ce faisant" ils modifieront son ÊTRE. Ainsi leur WAAM NE SERA PAS notre WAAM (Notez: CECI EST IMPORTANT que nous ne disons pas que le WAAM ne sera pas OBSERVÉ ou SENTI ou PERCU ou SCHÉMATISÉ de différentes manières - ceci est évident -. Mais par contre nous disons que l'image de ce Cosmos doit être différente comme peut l'être une image optique captée par un insecte diptère par rapport à celle perçu par la rétine humaine).

II n'y a pas seulement le fait que l'image de ce WAAM soit distincte par l'intervention de processus mentaux de configuration différente des nôtres. C'est que l'ÊTRE même, l'ESSENCE même du WAAM sera perturbée. Cette relativité de l'ÊTRE, cette polyvalence de "l'ÊTRE", demeure reflétée dans notre logique par ce que nous nommons AAIODI AYUU (gamme ou réseau de forme de l'ÊTRE).

Supposons que nous ordonnions symboliquement toutes les possibilités ontologiques (pour cela faites abstraction du principe du tiers exclu aristotélicien) relatif à "QUELQUE CHOSE" transcendant à mon " JE ".

(EST UN ÊTRE)1 (N'EST PAS UN ÊTRE)2 (S78-s1(S78-s1) EST UN ÊTRE)3 (S78-s2(S78-s2) EST UN ÊTRE)4 ........... ......... (S78-s3(S78-s3) EST UN ÊTRE)n Il s'agit d'un ensemble ou série de possibilités non tautologiques que nous pouvons coder encore plus synthétiquement ainsi:

S1 ; S2 ; S3 ; S4 ; S5 ; ............ ; Sn

Nous arrivons à la signification de l'AIOOYA dont la transcription en langage terrestre est impossible. AIOODI est "ce" qui est susceptible d'adopter des possibilités infinies "d'existence" (S1 S2 S3......... Sn). Ainsi, par exemple un IBOAYA OU (quantum énergétique, photon) peut S1 (ÊTRE) ou S2 (NE PAS ÊTRE ; dans le cas où il se transforme en masse), mais les deux possibilités sont des déformations d'un AIOOYA provoquées par mon "JE" (être pensant).

Nous, OEMII, voyons donc le WAAM et ses facteurs intégrés dans les possibilités S1 ; S2 ;............ ; Sk. Vous, les hommes de la TERRE, vous n'acceptez pour l'instant que les possibilités S1 et S2.

Mais d'autres hypothétiques êtres pensants capteront des AIOODI sous les possibilités différentes des nôtres Sk+1, Sk+2 ......... Sm.

Le drame de l'OEMII ou d'un autre EESEEOEMI réside dans le fait que sa recherche de la vérité, sa recherche de l'AIOODI, sera infructueuse puisque celle-ci se présentera toujours sous les caractéristiques S1 S2 S3 ......... Sn.

Mes jugements, mes actes, qui sont ordonnés par les objectifs à atteindre et par les moyens utilisables, constituent de plus "EN-EUX" autant de S1 S2 ...... Sk auto-déformés par leur propre processus pensant.

Tweets

Tweet W1-60 d'OAXIIBOO 6
WOA (Dieu) engendre WAAM-WAAM (le Pluricosmos) en une seule fois, dans toutes ses potentialités (quasi infinies).

Les EESSEEOEMMII (êtres pensants) de WAAM-WAAM concrétisent une partie des potentialités.

Chaque humanité pensante en tant que partie unique des EESSEEOEMMII modifie AIIODII (l'ensemble des réalités potentielles) en interprétant une des possibles réalités.

Chaque humanité pensante réalise son AIIODI (RÉALITÉ) en modulant AIIOODII (la trame des potentialités réalisables). Elle modifie AIIODII et informe WOA.

Cette information se transmet et se capte par l'intermédiaire de BOUAWA BIAEII (âme planétaire) associée a chaque humanité planétaire.

Ainsi WAAM-WAAM s'organise au fur et a mesure qu'il est engendré par WOA. Ce processus est à la fois simultané et infini. Le temps n'y prend aucune part n'étant qu'une interprétation particulière de chaque AIIODI.
Tweet W1-64 d'OAXIIBOO 6
Epsilon est un apport d'information supplémentaire sur une potentialité réalisée de façon expérimentale par une humanité planétaire.

Par exemple;

WOA génère la potentialité d'apprécier la saveur d'un aliment WOA génère la potentialité d'apparition du fruit "orange".

Les deux potentialités sont réalisées sur la planète Terre. Chaque Terrien expérimente son appréciation de la saveur d'une orange et transmet cette information a B0UAWA BIAEII (l'âme planétaire).

BOUAWA BIAEII informe WOA sur l'appréciation globale de la saveur du fruit "orange" que WOA ne peut expérimenter.

WOA renforce la potentialité du fruit "orange" car sa saveur est globalement appréciée par les OEMMII (humains) qui peuvent la goûter.


Tweet W1-65 d'OAXIIBOO 6
Le caractère non-infini des potentialités de WAAM-WAAM se base sur la seule conjecture, vérifiable par tout observateur que ni le zéro mathématique, ni son inverse (infini mathématique) n'existent en absolu dans le cadre physique.

Notre modélisation mathématique de WAAM-WAAM tétra-trièdique nécessite uniquement 12 dimensions pour s'exprimer. Notre modèle physique, fonctionnel, considère uniquement 10 dimensions: le trièdre dimensionnel constituant le "temps" (T) est réduit à une seule dimension axiale autour de laquelle pivotent les 3 autres trièdres.

Dans chacun des 3 autres trièdres chaque dimension se définit angulairement par rapport à l'axe T. Les positions angulaires des dimensions sont séparées par un incrément angulaire minimum, vérifié expérimentalement, d'environ 6.10-11 radian.

En deçà de cet Incrément les vibrations dimensionnelles se confondent en un seul harmonique. Il n'existe donc, en pratique, qu'environ 1011 orientations angulaires distinctes entre une dimension et l'axe T dans l'intervalle de 0 à 2 πpi dans chacun des degrés de liberté.

Chaque combinaison des orientations possibles au travers des 9 dimensions libres constitue un WAAM (univers).

Le nombre de WAAM possibles est ainsi limité à un maximum de 10495. Le WAAM-WAMM est donc limité. De même sont limitées les émergences de potentialités au sein de chaque WAAM.

Schéma selon Gardenteapot

D'après les tweets Oaxiboo6 n° 60, 89 & 90.

AIIODII.jpg