Réchauffement climatique

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Révision datée du 19 juin 2020 à 07:37 par U-sc (discussion | contributions) (Hypothèse Norman Molhant)
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Activité solaire

O6 - tweet 111 - du 15 décembre 2014

Tweet W1-111 d'OAXIIBOO 6

... Les catastrophes naturelles résultent de perturbations causées par une plus grande activité solaire, avec une augmentation de l'émission d'ondes/particules que vous appelez gravitons/neutrinos, piégés dans les couches denses du noyau de la Terre.

L'activité humaine amplifie également ces phénomènes à un niveau significatif.

OAY - tweet 125 - du 12 novembre 2017

Tweet W2-2017 - 125

L'activité géothermique, accrue par le réchauffement du noyau terrestre entre 2012 et 2016, a provoqué une ouverture dans l'une des principales cavités. D'immenses quantités de gaz provenant des émanations volcaniques, jusqu'alors piégées sous la glace, ont alors été libérées dans l'atmosphère. Cela devrait provoquer, à moyen terme, des perturbations climatiques limitées aux parties les plus australes de l'hémisphère sud.

.../...

Avec le refroidissement progressif du noyau terrestre, amorcé depuis l'automne 2016, diminue le risque d'emballement volcanique. Cependant, par la contraction et la densification mécaniques du manteau asthénosphérique, l'activité sismique s'accroîtra sensiblement au niveau des principales zones de subduction.

Gaz à effet de serre

A la question de @ummo_sciences « Changement climatique: que pensent @oomo_toa et @oyagaa_ayuyisaa de cette théorie "C’est le noyau de la Terre, qui réchauffe la planète et pas l’effet de serre atmosphérique"? https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4338 … » OAY réponds, le tweet 127 du 16 mars 2018 :

Tweet OAY-127 d'OYAGAA AYOO YISSAA

This is mostly the case.

However, increasing atmospheric emissions of greenhouse gases and aerosols, to which volcanic eruptions and forest fires are strongly associated, have also contributed to about 29% of global warming since 1976, with huge annual variations.

Traduction:

«C'est le plus souvent le cas.
Cependant, l'augmentation des émissions atmosphériques de gaz à effet de serre et d'aérosols, auxquels les éruptions volcaniques et les feux de forêt sont fortement associés, ont également contribué à environ 29 % du réchauffement planétaire depuis 1976, avec d'énormes variations annuelles

Donc, si on résume: les neutrinos/gravitons piégés dans les couches denses du noyau terrestre augmentent sa température et cette augmentation participe au réchauffement climatique pour # 70% ; les # 30% restant étant dus aux GES dont une partie est anthropique.

(les lecteurs intéressés pourraient faire la relation avec le déplacement du couvercle de 2000 tonnes du réacteur de Tchernobyl : voir http://www.lochak.com/)


Réchauffement du cœur de la Terre

à une question de @pepetmurri " In OAY-125 you talk on the heating of Earth's core during 2012-16 and cooling aftewards. Can you tell more on these cycles of heating-cooling? Always linked to solar cycles, as O6-111 suggests? Correlation between solar activity and netrino dectection on Earth has not been found."

Tweet OAY-128 d'OYAGAA AYOO YISSAA
OAY réponds dans le tweet 128 le 22 mars 2018, A cycle of about 62 years should be considered for solar core activity to measure changes in neutrino emissions. The activity of the photosphere only reflects a degraded harmonic compound, with long lags, of 20 to 22-year inner pulsating sub-cycles. http://appinsys.com/globalwarming/SixtyYearCycle.htm
Traduction:
Pepetmurri: Dans OAY-125, vous parlez du réchauffement du cœur de la Terre en 2012-16 et du refroidissement par la suite. Pouvez-vous en dire plus sur ces cycles de réchauffement-refroidissement ? Toujours lié aux cycles solaires, comme le suggère O6-111 ? On n'a pas trouvé de corrélation entre l'activité solaire et la détection du Neutrino sur Terre.
OAY. Un cycle d'environ 62 ans devrait être envisagé pour l'activité de noyau solaire afin de mesurer les changements dans les émissions de neutrinos. L'activité de la photosphère ne reflète qu'un composé harmonique dégradé, avec de longs retards, de sous-cycles pulsés internes de 20 à 22 ans.

Compléments et conséquences

OAY complète dans le Tweet 129 - 29/03/18

Tweet OAY-129 d'OYAGAA AYOO YISSAA
OAY-T129-290318.jpg

Traduction

Veuillez trouver ci-dessous une information complémentaire sur ce sujet :

La température du noyau terrestre est influencée par 3 facteurs principaux:

1. la haute pression interne qui induit une compression de la structure du fer cristallisé.

2. les influences gravitationnelles de la Lune et du Soleil qui induisent de petites fluctuations cycliques à la frontière solide/liquide.

3. les interactions avec une quantité significative de neutrinos traversant le cristal structuré du noyau interne.

Les 2 premiers facteurs laissent le noyau dans un état d'équilibre relativement stable, avec des variations de température de quelques dizaines de degrés (°K).

Seuls les changements dans le flux de neutrinos solaires peuvent avoir une influence significative, avec des variations de plusieurs centaines de degrés. Même les neutrinos avec un niveau d'énergie plus faibles sont capables d'interagir au cours de leur trajet au travers des couches denses de fer du noyau interne, et plus spécifiquement à l'intérieur du noyau central, où ils génèrent des isotopes instables, produisant des changements oscillatoires locaux dans la structure cristalline du fer, qui se propagent jusqu'à la frontière solide/liquide.

Durant une augmentation des émissions de neutrinos solaires, la vitesse de ces oscillations augmente aussi, agrandissant ou réduisant localement la structure cubique du fer plus rapidement, induisant un réchauffement principalement par frottement et, dans une moindre mesure, une augmentation de la radioactivité ambiante. L'élévation de chaleur interne est transmise très lentement aux couches supérieures, avec un délai de 8 mois pour atteindre le Moho.

Au contraire, lorsque l'activité solaire diminue, le noyau terrestre se refroidi soudainement avec des réajustements endothermiques de la structure cubique. Les couches supérieures sont progressivement affectées par cette relative et soudaine baisse de température.

Le réchauffement planétaire, qui est une réalité, résulte principalement de la capacité réduite des océans, réchauffés par le fond et saturés de polymères organiques flottant et de résidus d'hydrocarbures, à récupérer la chaleur et le dioxyde de carbone de l'atmosphère.

Note 1: La discontinuité de Mohorovičić, abrégée Moho, est la limite entre la croûte terrestre et le manteau supérieur de la Terre.
Note 2: Si la responsabilité du réchauffement n'est pas, en grande partie, due à l'activité humaine, l'incapacité pour la Terre de se refroidir correctement semble due à la pollution plastique et hydrocarbures dans les océans lesquels sont bien d'origine anthropique.
Note 3 : Voir variation des moyennes de températures mensuelles sur https://data.giss.nasa.gov/gistemp/tabledata_v3/GLB.Ts+dSST.txt

Hypothèse Norman Molhant

Une partie des neutrinos produits dans les zones magnétiquement actives du Soleil sont transformés en monopôles et parviennent jusqu'au sol aux pôles (mais pas ailleurs, parce que déviés vers les pôles par le champ magnétique terrestre - voir les travaux de Georges Lochak et en particulier: "Tchernobyl, nouvelle hypothèse".

Il y a au moins 2 phénomènes qui entrent en ligne de compte:

(1) le champ magnétique local d'un monopôle est extrêmement intense, parce que le monopôle est plus petit qu'un électron, il peut passer entre un électron et un proton, perturbant ainsi leurs trajectoires, avec toutes sortes de conséquences, genre radio-activité bêta inverse (c-à-d: capture d'un électron par le noyau avec transmutation d'un proton en neutron, ce qui peut donner un atome radioactif) ;

(2) on a observé qu'un flux de monopôles atteignant des atomes bêta-radioactifs réduit nettement la demi-vie de ces atomes (autrement dit: intensifie leur radio-activité, laquelle peut être une source de chaleur importante dans le noyau terrestre).

Depuis Dirac, on cherche un monopôle super-massif. Lochak a conclu à l'existence d'un monopôle de masse quasi-nulle (un neutrino magnétiquement excité), puis Urutskoiev, Ivoilov[1] et d'autres ont trouvé ce monopôle ultra-léger.

Références

  1. Ivoilov Nikolai Grigorievitch