Rafael Farriols : Différence entre versions

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==1993 : aveu de Peña==
 
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"Aveu" de [[José Luis Jordán Peña]] dans la lettre personelle à '''Farriols''' reçue le 06/04/1993, aveu réitéré par écrit dans l'article à « ''la Alternativa Racional'' », en avril 1993.<ref name="VOG"/>
 
"Aveu" de [[José Luis Jordán Peña]] dans la lettre personelle à '''Farriols''' reçue le 06/04/1993, aveu réitéré par écrit dans l'article à « ''la Alternativa Racional'' », en avril 1993.<ref name="VOG"/>
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==1996 : lettre D4147 et "sceau"==
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Reçue le 26/08/1996, cachet de la poste le 20/08/1996 (Chamartin, Madrid), cette lettre comporte le "sceau secret" (en fait une série de digits sous l'empreinte que l'on retrouve dans la série GR.
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Le "nouveau" sceau dont il est question dans cette lettre n'est connu que de très peu de personnes (il est toutefois difficile d'en chiffrer le nombre). Les gestionnaires d'ummo-sciences n'en n'ont pas connaissance. En novembre 2015, à la publication de cette lettre, le paragraphe mentionnant l'existence de ce nouveau sceau avait été supprimé à la demande des propriétaires de cette lettre, qui ne souhaitaient même pas que son existence soit mentionnée. En novembre 2016, les propriétaires ont accepté de révéler l'existence de ce nouveau sceau sans le dévoiler lui-même afin d'expliquer le lien qu'il y a entre GR1-1 et cette lettre de 1996 (et donc avec les lettres du réseau espagnol).
  
 
==2001 : confidences téléphoniques à Darnaude==
 
==2001 : confidences téléphoniques à Darnaude==
 
Confidences téléphoniques de '''Rafaèl Farriols''' à [[Ignacio Darnaude Rojas-Marcos]] le 25 juin 2001.<ref name="VOG"/>
 
Confidences téléphoniques de '''Rafaèl Farriols''' à [[Ignacio Darnaude Rojas-Marcos]] le 25 juin 2001.<ref name="VOG"/>
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Farriols.PNG

L'espagnol Rafael Farriols Calvo (né en 1928 à Barcelone ; mort le 27 décembre 2006), propriétaire d'une usine catalane et un ami d'Antonio Ribera ; un des principaux destinataires de la correspondance ummite de 1967 à 1996, et à qui Fernando Sesma a cédé toutes ses archives.

1967

« Un Caso Perfecto » de Antonio Ribera.jpg

Rafael Farriols entend à la radio l’annonce de l’atterrissage de SJV et s’y rend. Il y rencontre Villagrasa.[1]

1968 : livre

Livre « Un Caso Perfecto », première édition en 1968 chez Pomaire du livre (197 pages) de Ribera et Farriols ; il contient des textes qui furent supprimés lors de la deuxième édition pourtant plus volumineuse (245 pages) chez Plaza-Janès en 1973.[1]

Juin 1969‏‎

Lettre D61
Nous désirons vous saluer, vous et vos frères, parmi lesquels Juan M. AGUIRRE, Alicia ARAUJO, Jorge BARRENECHEA, Alberto BORRAS, Calvo MARTINICORENA et Calvo RODES, Angel Del CAMPO, Rafael FARRIOLS, Santos GARCIA, Frederico GUIBERRAU, Jaime IMBERT, José L. JORDAN, Enrique LOPEZ, Antonio LLOBET, Joaquim MARTINEZ, Francisco MEJORADA, Franco MUELA, Lansano PASCUAL RUBIELLA, Mauro PLAZO, Antonio RIBERA, Regina SENDRES, Fernando SESMA, José Manuel VERGARA, Fernando VILLALBA, Enrique VILLAGRASA, tous ceux qui ont manifesté l'intérêt à un degré quelconque pour nous, ainsi qu'à d'autres frères terrestres dont la relation vous a été faite et dont l'énumération rendrait cette lettre trop longue ou bien ceux dont il est plus prudent d'omettre les noms.

1971 : 1er symposium

Farriols enregistre 24 heures de conversations et de lectures lors du symposium de juin 1971 à l’hôtel Osuna de Madrid.[1]

1973 : symposium et livre

Le 21 mars 1973 Farriols écrit à Darnaude pour lui demander de la part d’Ummo s’il voit un inconvénient à recevoir du courrier ummite concernant leurs activités à Albacete en 1952. Darnaude accepta et reçut le courrier un mois plus tard.[1]

« Actes du IIe symposium d’Ummo, fonction de l’homme dans le cosmos : fragments des rapports Ummo » par R. Farriols, J.L. Jordán Peña, J. Dominguez, J. Barrenechia, Hiltrud Franz de Penelas : édition numérotée, Barcelone 1973, 219 pages, 45 graphiques, ainsi que 30 heures d’enregistrement sur cassettes de la lecture des lettres Ummo faite à cette occasion par le speaker J.M. Bachs.[1]

Antonio Ribera et Rafael Farriols publient leur livre de 245 pages « Un caso Perfecto » chez Plaza-Janès de Barcelone.[1]

1974 : table ronde

Table ronde sur Ummo et Saliano à Barcelone le 9 octobre 1974. Assistaient : Ribera, Farriols, Lleguet, Carlos Batet de Cros, Carole Ramis, de la Mota, Plana, Armengou, Eamich, Lester, Fontrodona, Amat, Gras, etc.[1]

En février 1974 une réunion chez la journaliste d’ésotérisme Carole RAMIS (en contact avec des êtres de Ganymède) sur le sujet Ummo : Rafael Farriols y était.[1]

1975 : traduction française de « Un caso Perfecto »

En 1975 paraît la traduction en français de « Un caso Perfecto » de Ribera et Farriols, sous le titre « Preuves de l’existence des soucopes volantes ». [1]

1976 : annonce dans un review

Dans « FLying Saucer Review » vol.28 n° 3 d’octobre 1976 il y a cette annonce : « Ummo, all inquiries on UMMO matters should go, NOT to Antonio Ribera, but to : Sr. Rafael Farriols, Calle Aragon, 256, Barcelona-7, Spain ».[1]

Emission de télévision consacrée à l’atterrissage du 01/06/1967 à SJV avec les intervenants Juan Dominguez Montes, Rafael Farriols, José Luis Jordán Peña, Jorge Barrenechea et d’autres.[1]

Lettre D114
[...] Grâce à votre frère Farriols, que nous suivons dans ses voyages, cette nouvelle a pu arriver en notre possession.[...]

1977 : deux brevets

Rafael Farriols inspiré par les documents Ummo dépose deux brevets pour des appareils opto-électroniques d’enregistrement et de reproduction du son : H-01-J.444-273/274 enregistrés à la propriété industrielle de Barcelone le 20 janvier 1977.[1]

1980 : journées commémoratives de Ummo

Du 28 au 30 mars 1980 se tiennent à Alicante, à l’hôtel Babieco les journées commémoratives et d’études de Ummo : 30 ans de présence avec discours de José Antonio Corno, Lopez Guerrero, Angel Escudero, Jiménez del Oso, Antonio Ribera, Luis Jiménez Marhuenda, Juan José Benitez, José Luis Jordan Pena, Rafael Farriols, Raul Torres, José d’Alès, Grifol, de la Mota, Darnaude Rojas-Marcos, Enrique de Vicente et d’autres et s’en suit la publication de l’article sur le sujet par Luis Jiménez Marhuenda dans le n° 7 de « Contactos Extraterrestres » de Madrid ainsi que dans le journal « Informacion » d’Alicante, éditions des 13, 20 et 27 avril 1980.[1]

Le 30 mars 1980 le journal « Informacion » d’Alicante publie l’interview de Rafael Farriols qui dit recevoir de l’information directe et systématique des gens d’Ummo, qu’il est l’un des 200 dépositaires de leurs messages etc...[1]

1983 : colloque Ummo

Il participe au colloque UMMO des 19 et 20 mars au Collegio Mayor de San Agustin à Madrid. Sont présents à ce colloque : Aguirre, Alvarez, Barrenechea, Franz de Penelas, Garrido, Jordan Pena, Marhuenda, Martinez, Mejorada, Muela, Ribera et Villagrasa.[1]

1984 : lettre manquante des pages

A la lettre reçue le 18 mars 1984 par Farriols manquent 8 pages qu’il ne recevra jamais, il en informe Ribera dans une lettre du 16 avril 1984.[1]

1985 : colloque

En mars 1985 Farriols organise à Barcelone un nouveau colloque sur Ummo « Le pluricosmos et les anticosmos ».[1]

1986 : missive supposée ummite

En 1986 Farriols reçoive une missive supposée ummite dans laquelle on explique avoir besoin de leur sperme pour améliorer la race sur Ummo. La lettre avait été précédée d’un appel téléphonique dans le même but, mais avec déplacement en Turquie.[1]

En avril 1986 Farriols reçoit une lettre de Ummo qui n’en a pas les caractéristiques habituelles. C’est un message de NIE 400-107 fils DE N99 comprenant la moitié de la clé de décodage d’une émission venant d’Epsilon d’ Eridani pour les chefs d’Etat de la Terre. Il reçoit la seconde moitié de la clé le même mois et fait publier la clé de décodage dans le journal barcelonais « AVUI » le 13 avril.[1]

1993 : aveu de Peña

"Aveu" de José Luis Jordán Peña dans la lettre personelle à Farriols reçue le 06/04/1993, aveu réitéré par écrit dans l'article à « la Alternativa Racional », en avril 1993.[1]

1996 : lettre D4147 et "sceau"

Reçue le 26/08/1996, cachet de la poste le 20/08/1996 (Chamartin, Madrid), cette lettre comporte le "sceau secret" (en fait une série de digits sous l'empreinte que l'on retrouve dans la série GR.

Le "nouveau" sceau dont il est question dans cette lettre n'est connu que de très peu de personnes (il est toutefois difficile d'en chiffrer le nombre). Les gestionnaires d'ummo-sciences n'en n'ont pas connaissance. En novembre 2015, à la publication de cette lettre, le paragraphe mentionnant l'existence de ce nouveau sceau avait été supprimé à la demande des propriétaires de cette lettre, qui ne souhaitaient même pas que son existence soit mentionnée. En novembre 2016, les propriétaires ont accepté de révéler l'existence de ce nouveau sceau sans le dévoiler lui-même afin d'expliquer le lien qu'il y a entre GR1-1 et cette lettre de 1996 (et donc avec les lettres du réseau espagnol).

2001 : confidences téléphoniques à Darnaude

Confidences téléphoniques de Rafaèl Farriols à Ignacio Darnaude Rojas-Marcos le 25 juin 2001.[1]

Voir aussi

Historique développé de "l'affaire ummo"


Lien

Références

  1. 1,00, 1,01, 1,02, 1,03, 1,04, 1,05, 1,06, 1,07, 1,08, 1,09, 1,10, 1,11, 1,12, 1,13, 1,14, 1,15, 1,16, 1,17, 1,18, 1,19 et 1,20 Godelieve Van Overmeire : Synthèse de l’Ummocat de Darnaude. Historique de l'affaire Ummo