Télépathie

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Lettres

(Nous conseillons de lire la lettre D33-3 en entier)

Lettre D33-3

337 : LA COMMUNICATION TÉLÉPATHIQUE.

Il est possible que certains d'entre vous n'aient pas les idées claires sur notre moyen de communication.

Les UUGEE et UUYIE (adolescents garçons et filles) d'UMMO perdent vers l'âge de 15 ans (terrestres) la faculté de s'exprimer acoustiquement par atrophie et sclérose des organes de phonation dans un pourcentage de 92,36 % de la population totale. Pour les autres personnes l'atrophie arrive à l'âge adulte.

Ainsi, vers 75 ans terrestres l'individu qui peut encore s'exprimer phonétiquement est extrêmement rare.

Mais cette sclérose n'est pas absolue. Les muscles peuvent encore être innervés faiblement et les vibrations obtenues, si faibles que soient les possibilités de les capter grâce à notre ouïe, peuvent être amplifiées par deux moyens. L'un d'eux, déjà ancien, consistait en un microphone amplificateur qui s'applique sur la gorge. Actuellement on met sur le larynx un transducteur du volume d'une lentille (grâce à une simple opération chirurgicale à l'âge de deux ans).

Ce petit amplificateur-émetteur n'irradie aucun faible champ radio-électromagnétique. Il module simplement un champ magnétique de faible intensité. Un second amplificateur pourvu de haut-parleur (nos haut-parleurs ne sont pas du type membrane vibrante), de taille et de format semblables à une gomme, émet les sons reçus avec une intensité et une fidélité extraordinaire.

La réponse de nos amplificateurs est parfaitement plane. Si la qualité du son est déficiente, ceci est dû à ce que notre organe de phonation n'est pas capable de générer plus qu'une gamme de fréquences très restreinte. Les graves et les harmoniques ne sont pas émis et c'est pourquoi le timbre de la voix est trés inférieur au vôtre, les terrestres.

Depuis longtemps, par conséquent, dans nos relations sociales nous nous exprimons (quoique artificiellement) dans le langage oral. Il est révolu de milliers d'ANNEES UMMO le temps où les parents devaient communiquer avec leurs enfants au moyen de mouvements de paupières "codifiés".

Notre communication télépathique ne consiste pas à pouvoir "voir" ce qui arrive dans une autre ville en fermant simplement les yeux. Cette idée est puérile. De même qu'à un moment donné nous pouvons lire les pensées d'un autre frère à mille KOOAE. De tels concepts stéréotypés ont seulement une base réelle très faible.

Sauf en de rares occasions ou exceptions, nous n'utilisons la télépathie qu'avec des personnes situées à de grandes distances. Ceci a une explication simple : la transmission est laborieuse et nécessite un certain effort mental.

Le processus pour la communication avec des personnes dont je connais l'identité se déroule ainsi :

Au début je dois atteindre un niveau conscient très bas en ce qui concerne les stimulations de l'extérieur (lumières, sons, odeurs, etc...). Les sensations doivent se produire d'une manière subliminale. Nous voulons dire qu'il faut obtenir un état cataleptique artificiel en utilisant la voie autosuggestive.

L'utilisation continue de cette pratique, favorisée génétiquement par de nombreuses générations qui l'ont pratiqué sur UMMO, permet que cette auto-hypnose et le processus qui suit se réalisent très rapidement en régulant par un mécanisme réflexe l'intervalle de temps nécessaire pour sa réalisation. Ainsi quand le sujet conclut celle-ci, il peut atteindre de nouveau l'état de CONSCIENCE concernant les stimulations du milieu externe, comme d'habitude.

Mais il faut dire que cet état cataleptique spécial suppose un blocage temporel des voies afférentes qui connectent le cortex cérébral avec les organes des sens externes et propriocepteurs. Je veux dire par là qu'au contraire de ce qui arrive dans l'état WOIWOI (onirique ou de rêve), ou dans certaines situations WOIWOI EEAEE d'hypnose, la OESEE OA (CONSCIENCE) NE descend pas à de bas niveaux du subconscient. Au contraire, les processus mentaux supérieurs (RAISONNEMENT, PENSEE...) continuent normalement avec l'avantage que les images de la mémoire accèdent, avec plus de netteté, au champ de la CONSCIENCE.

Il se produit maintenant un phénomène physiologique qui n'existe que très rarement volontairement chez les hommes de la terre. (AVANT DE POURSUIVRE PLUS AVANT il conviendrait pour ceux qui ne sont pas très initiés en physiologie de lire la NOTE 5) Il y a dans l'encéphale deux organes essentiels pour la transmission télépathique. En réalité il s'agit d'un réseau neuronal, double, dont les connexions avec la mémoire et le champ de la conscience sont normalement inhibées, neutralisées. Au moyen d'une succession de synapses peut s'établir la connexion du ISIAGEE IA (organe que vous ne connaissez pas) avec les zones accessibles de l'encéphale.

La stimulation de ces synapses est un problème d'adaptation et même d'hérédité. Il n'y a pas de raisons pour que vous, les terrestres dont la morphologie physiologique corticale est la même que la nôtre, ne puissiez pas arriver à établir ces connexions ou synapses.

Il se produit dans cette zone cérébrale deux types d'impulsions : un peu comme s'il s'agissait de deux émetteurs. Si quelqu'un parmi vous est technicien en télévision, i l comprendra mieux si on les compare avec les signaux que vous appelez IMAGE et SYNCHRONISME. Les premières portent, convenablement codifiées, les impulsions nerveuses que nous appelons BUUAWE BIEE, chacune d'elles durant 0,0001385 seconde. Elles constituent une espèce de message télégraphique qui est envoyé grâce à l'un des atomes de Krypton que nous appelons BUUA XUU (psysphère).

Le second groupe de signaux, qui sont aussi codifiés, se caractérise par le fait que le temps des impulsions est plus long : 0,006385 seconde.

Quelle est la fonction du premier signal émis ? Porter facilement le contenu verbal de notre message, les paroles qui expriment les idées que nous désirons faire arriver jusqu'à notre interlocuteur situé à une grande distance de nous. Mais ce message est capté par tous les hommes de UMMO (nous répétons que les cas de télépathie enregistrés par vous confirment que le phénomène est identique pour les humains de la Terre).

Comment se fait-il qu'une seule personne soit capable d'interpréter un tel message et avoir conscience qu'il lui est dirigé, uniquement à lui ? Le second groupe d'impulsions nous apporte la réponse.

Le code employé pour identifier une personne ne diffère pas beaucoup de celui que nous employons, nous et vous, dans la vie réelle. Ainsi, comme le nom UGAA 4, fils de YODEE 347, est associé mentalement à un individu déterminé, une séquence de nombres binaires, envoyée sous forme d'impulsions, servira pour distinguer spécialement la personne réceptrice du message.

Imaginez un million de coffres-forts répartis sur tout votre pays. Chacun d'eux peut seulement s'ouvrir qu'à l'aide d'une combinaison de six chiffres et sous la surveillance d'autant de gardiens.

A l'intérieur de ces coffres il y a la clef pour l'interprétation d'un quelconque message codifié qui est reçu.

Vous envoyez maintenant une lettre chiffrée qui peut seulement se lire avec l'aide de clefs cryptographiques enfermées dans les coffres. Envoyez un million de copies à tous les gardiens avec une seule indication sur l'enveloppe par exemple 763.559. Seul le destinataire dont le chiffre du mécanisme d'ouverture du coffre coïncide avec ce nombre pourra l'ouvrir et connaître le contenu du message.

L'exemple est bien choisi car précisément la sélection d'une personne s'obtient par un mécanisme physiologique semblable à celui des coffres-forts terrestres (sur UMMO ils n'existent pas). et un réseau de neurones établit des connexions synaptiques ou des déconnexions en fonction d'une séquence chiffrée d'impulsions binaires qui représentent, pas six comme dans l'exemple, mais tout près de 1700 chiffres.

Nous vous disions que la transmission télépathique était verbale. Cependant on est arrivé à transmettre consciemment des images visuelles, olfactives et tactiles qui, dans des circonstances normales sont des phénomènes provoqués seulement dans certains cas de perturbation mentale transitoire ou en période cataleptique pure. Les expériences dans ce sens sont rares parmi nous et nous nous trouvons face à elles dans la même position que vous face à la transmission télépathique normale. Nous n'écartons pas le fait qu'une quelconque civilisation galactique ou extragalactique qui nous soit inconnue, ait pu grâce à son évolution psychophysiologique, atteindre ce rêve (rare pour nous) et pour lequel nos UNNIEYO (neurologues) travaillent activement.

Pour terminer ce rapport sur la transmission télépathique, nous vous indiquerons que les lésions provoquées par nécrose de certains groupes de neuronnes donnent lieu au fait que le malade ne peut émettre correctement la série d'impulsions qui sélectionne la personne à qui est adressé le message. Il émet au contraire une grande gamme sauvage et désordonnée de signaux qui affectent des millions de personnes. Un peu comme si dans notre exemple, les enveloppes avaient non pas un nombre, mais plusieurs centaines de milliers. Les gardiens qui pourraient ouvrir les coffres seraient alors très nombreux. Nous avons découvert trois processus pour neutraliser ces malades qui, à l'aube de notre humanité causèrent d'hallucinants dégâts qui empêchèrent son évolution.

Tweets

Tweet O6-136

(Télépathie) Mécanisme réflexe établi entre deux OEMMII qui connaissent leurs signatures télépathiques respectives.

La télépathie est une étape naturelle dans le processus évolutif qui découle de l'accroissement continu de la masse corticale et de la complexification des connexions synaptiques et neurono-gliales. L'architectonie corticale propre à la télépathie, chez les OYAGAAOEMMII, existe à un niveau primaire au niveau des groupes neurono-gliaux spécifiques au langage qui relient le gyrus angulaire et l'aire de Broca. Toutefois, la complexité nécessaire â la fonctionnalité complète n'est atteinte que pour la partie restreinte de la population d'OYAGAA ayant subi la mutation M130 (haplogroupe C de l'ADN du chromosome Y). Le développement de ces groupes neurono-gliaux reste insuffisant chez la plupart des autre groupes raciaux, en particulier chez les individus ayant un haplogroupe prépondérant de type R (race blanche), sauf cas de mutation individuelle favorable. Les OEMMII d'OYAGAA ont aussi le désavantage de l'unilatéralité des aires cérébrales dédiées au langage. Une capacité restreinte de télépathie reste cependant possible, moyennant un exercice rigoureux, grâce à la plasticité de ces zones cérébrales et au caractère multimodal des neurones impliqués dans le processus.

La capacité télépathique se développe, dès le tout début de l'adolescence, en pratiquant un exercice constant nécessitant beaucoup de calme, de concentration et d'intimité avec un parent affectivement très proche. II s'agit d'un processus d'apprentissage psychodynamique qui. sur OUMMO. nécessite plusieurs mois terrestres pour obtenir une connexion systématiquement reproductible par renforcement progressif des circuits synaptiques effecteurs. Ceci pour le seul parent avec lequel l'enfant s'exerce durant cette première phase. Le processus se poursuit, plus rapidement à chaque fois, avec l'ensemble des membres de la famille proche.

La capacité télépathique des enfants est testée durant les 40 XII (jours d'OUMMO) d'orientation précédant l'intégration à l'OUNAWO OUI (université) à l'âge de 64.67 XEE (13.7 ans). Cette capacité continuera de se développer, par émulation et affinités, entre les jeunes qui se côtoient au quotidien.


Tweet O6-137

La communication par télépathie avec des OEMII défunts n'est en aucun cas possible.

Une mutation concerne en règle générale plusieurs chromosomes à la fois. Mais la traçabilité intergénérationnelle des mutations n'est possible, chez vous, qu'au travers de l'ADN mitochondrial (en lignée matrilinéale) ou de l'ADN du chromosome Y (en lignée patrilinéale). Concernant la complexification des zones du langage nécessaires à la fonctionnalité télépathique. seule l'analyse des haplogroupes de l'ADN du chromosome Y s'est avérée discriminante. La mutation dont découle cette complexification fut très probablement concomitante ou résultante directe de la mutation M130 chez un individu mâle habitant au Moyen-Orient voici environ 54000 ans. En d'autres termes, le polymorphisme d'un seul nucléotide de l'ADN du chromosome Y durant cette mutation M130 n'est aucunement responsable des aptitudes télépathiques spécifiques de l'haplogroupe C associé, mais il en est le seul traceur génétique discriminant reconnaissable qui ait remonté le cours des générations impactées jusqu'à l'époque actuelle. Le caractère génétique favorable à la télépathie est transmis aux générations successives quel que soit le sexe du parent ou du descendant selon un mode autosomique dominant. Ce caractère se dilue cependant en cas de croisements entre individus d' haplogroupes différents.

Sur OUMMO il n'existe qu'une seule race et nous partageons tous les mêmes caractéristiques tant au niveau de l'ADN mitochondrial que sur le plan de l'ADN transmis par l'allosome sexuel masculin qui n'est pas, chez nous, tout à fait équivalent à votre chromosome Y. Notre capacité télépathique est très ancienne et son développement semble avoir été parallèle à celui du langage parlé. Des spéculations portent sur la nécessité, pour nos ancêtres, de pouvoir communiquer durant les tempêtes de vent où l'intensité sonore et les nuages de poussière soulevés excluaient la possibilité de communiquer à haute voix ou par signaux visuels. Il est possible que cette caractéristique soit apparue chez nos ancêtres voici plusieurs centaines de milliers d'années terrestres, peut être même un ou deux millions d'années. Vous devez savoir que nous sommes un peuple au moins deux fois plus ancien que le vôtre, Bien que notre évolution technologique et sociale fut très lente, et que nos mutations biologiques furent moins fréquentes, notre évolution corticale a bénéficié de l'influence du BB sur une durée au moins double de la vôtre. Au cours des deux derniers millénaires (années terrestres), nous avons su raffiner nos capacités télépathiques grâce à l'étude scientifique approfondie des mécanismes cérébraux afférents.


Tweet O6-139

En pleine conscience, grâce à votre expérience vécue, vous influencerez BB dans ses alternatives d'action

La Sympathie, l’Empathie et l’Amour sont des degrés qui vont croissant dans l’échelle émotionnelle. A chaque degré, l’émission d’ocytocine exigée pour établir le lien télépathique entre OEMMII s’accroit. Ce lien agit lui-même comme catalyseur de l’émission, promouvant le renforcement des liens d’affection. C’est ainsi que l’Amour se nourrit de l’Amour, l’Empathie s’alimente de sa réciproque. Deux OEMMII qui vivent dans l’indifférence ou du ressentiment l’un pour l’autre ne peuvent établir de connexion télépathique. S’il vous plait, éviter à tout prix une relation conflictuelle avec les êtres qui vous sont chers pour conserver intacte la communion avec eux.

Les hurlements télépathiques incontrôlés par excitation permanente des neurones effecteurs surviennent encore. Nous avons maintenant les moyens de détecter immédiatement leur émetteur afin de le placer sous sédation. Au cours de sa vie chacun des OEMMII d'OUMMO doit s'attendre à être assailli une vingtaine de fois par ces manifestations anarchiques émises, en quasi totalité, par des adolescents qui sont encore en phase d'apprentissage et subissent un stress neurologique excessif.

La relation avec les âmes des défunts reste possible, globalement, par le truchement de BB bien qu'une communication avec l'âme spécifique d'un défunt, fusionnée dans BB, est illusoire. BOUAWA s'exprime parfois au niveau subconscient, au travers d'un rêve ou d'une illusion sensorielle, en utilisant l'image d'un OEMII décédé pour donner plus d'impact à son message. Des mots comme clairvoyance et prémonition sont des chausse-trappes. BOUAWA dévoile, parfois à titre d'avertissement, ce qui sera ou pourrait être. BOUAWA sait déjà le choix que fera son OEMII Mais il l'avertit pour doser son choix d'une faible capacité de libre arbitre.