28 mars 1950

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(Voir aussi Lieu d'arrivée sur Terre)

Les péripéties de la première et seconde expédition Oummaine sont décrites dans les lettres D57-1 à D57-5. Nous nous intéressons ici à celles de la seconde expédition du 28 mars 1950 où ils affirment avoir déposé 6 expéditionnaires sur Terre.

Passages caractéristiques

D57-3

(le 28 mars 1950) A 4 heures 16 minutes 42 secondes TMG (heure terrestre de GREENWICH), on effectua l'OAWOOLEAIDAA

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à l'heure citée, trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spaciaux) "apparurent subitement" en un point situé à la hauteur de 7,338 kilométres au-dessus d'un endroit situé à quelques 13 km de la ville française de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE (Département des Basses Alpes), non loin de la frontière de la République Cantonale et Fédérative de Suisse.C'était le 28 mars 1950. Les trois nefs descendirent rapidement touchant terre à 4 heures 17 minutes 3 secondes GMT.

Note: La France est restée jusqu’au 28 mars 1976 en GMT +1 selon wikipedia) lorsque le régime d'heure d'été a été réintroduit en France. Il était donc 5 h 16 française. Il faut noter que le 28 mars le soleil se lève sensiblement vers 06 h 30 GMT, l'aube commence 30 minutes avant.


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Les pieds extensibles des vaisseaux s'enfoncèrent à peine dans le terrain rocailleux d'un contrefort alpin, non loin de celui que nous avons identifié par la suite comme Pic "CHEVAL BLANC" haut de 2322,95 m au dessus du niveau moyen de la mer et non loin du petit cours fluvial de " LA BLEONE".

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Une grande nébulosité empêchait à ces heures de la nuit la vision directe des alentours. Les images obtenues dans la longueur d'ondes de 740 millimicrons permirent néanmoins de visualiser les alentours. Des plantes d'une morphologie étrange croissaient dans les environs. La morphologie érodée du terrain permettait de reconnaître quelques accidents accusés comme le lit de la rivière citée. Jusqu'au matin suivant l'on ne parvint pas à identifier la nature d'un groupe de lumières blafardes qui apparaissaient en trois points définis dans le lointain.

Note : millimicron (Désuet) Unité de mesure de longueur valant 10−3 micron soit 1 nanomètre. Le maximum d’efficacité lumineuse en vision diurne se trouve à 555 nm et en vision nocturne à 507 nm. Les longueurs d'ondes visibles par l'œil humain sont comprises entre  380 nm et 780 nm.

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Furent recueillis du sol quelques insectes et arrachées quelques espèces végétales identifiées ensuite selon la classification botanique de la Terre comme:"Valériana celta" et "Erica Carnéa".

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Peu après sortaient les six expéditionnaires accompagnés de vingt membres de l'équipage. Il était nécessaire de commencer les travaux d'une construction souterraine d'urgence. On réalisa une évaluation expérimentale des caractéristiques du sol.

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Il était nécessaire de réaliser la perforation en fondant à grande température des grés et des calcaires. La haute composition siliceuse du sol provoqua au début un sérieux problème qui fut rapidement résolu. Les matériaux ainsi fondus furent transmutés en un isotope d'azote. De cette façon, à l'extérieur n'apparaissaient pas des tas de terre qui auraient révélé notre présence à d'éventuels observateurs humains terrestres.

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L'on travailla toute la nuit jusqu'à 7 heures. Peu avant l'aube nos UEWA se déplacèrent dans un petit bois d'étranges arbres à feuilles filamenteuses identifiés ensuite sous le nom terrestre de "PINUS MONTANA".

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La galerie, ouverte dans le sous-sol d'une longueur de 4 mètres et d'une profondeur de 8 mètres fut étayée avec des IGAAYUU (sortes de CINTRES extensibles modulaires d'un alliage de Magnésium très léger), se maintenait à une température très élevée (quelques 500 degrés) bien que la fusion au moyen d'un processus énergétique nucléaire des produits ou des composés du sous-sol s'accompagne ensuite d'un refroidissement très rapide. De plus il était nécessaire de résoudre le problème de la condensation de vapeur d'eau sous forme de petits nuages qui en émergeant de la galerie en une haute colonne pouvaient révéler notre présence. Il fut nécessaire d'obturer la bouche du tunnel ou galerie avec une plaque plastique et de recueillir aussi par aspiration les fumées produites à partir de la combustion des substances organiques du sol.

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Bientôt furent remarquées la présence de deux structures artificielles (habitations humbles) situées à 1,3 km et 1,9 km respectivement. L'origine des lumières aperçues le matin fut parfaitement éclaircie. Elles correspondaient aux citées ou petites localités de DIGNE et LA JAVIE. La forme anarchique des étranges constructions attira notre attention. Dans DIGNE apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique Romane du XIII siècle. Les instruments optiques de fort grossissement révélèrent les images des premiers êtres terrestres.

D'après "oncle Dom" : "vérifiable, mais faux. il y a deux "cathédrales" à Digne. La cathédrale St Jérome, qui a une tour, surmontée d'une curieuse charpente de fer forgé, n'est pas de style roman, et Notre-Dame du Bourg, qui est de style roman, mais n'a pas de tour)"


On trouva, à 200 mètres, d'étonnants piliers prismatiques, avec d'autres matériaux artificiels. Tout était en ruines. On se trouvait devant la première œuvre enregistrée et provenant d'êtres humains terrestres. Plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ancien petit hangar pour le stockage d'aliments, mais la découverte remplit nos frères d'émotion. On prit des échantillons des piliers et on radiographia l'intérieur. L'analyse montra la présence d'une substance agglutinante de mélange complexe dans laquelle intervenait du sulfate calcaire, des alumines et des petites quantités d'oxydes minéraux (plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ciment sur-sulfaté) et de fragments de roche et sable en proportion et dosage presque constant (plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'agrégats pour le béton). L'analyse interne de ces colonnes présentait des baguettes de composition ferrique évidente.


D57-4

Dans les rapports précédents nous vous avons fait un résumé historique de notre arrivée aux environs de DIGNE (FRANCE), département des Basses Alpes. Trois de nos OAWOOLEA UEUA OEEMM (vaisseau de structure lenticulaire) descendirent en un point situé à un niveau de 7,3379 km près de la ville française déjà citée

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Nous vous disions que la première opération réalisée fut de creuser une galerie pour mettre les équipements des expéditionnaires et qui puisse en même temps servir d'abri préservé face à une hypothétique attaque des terrestres.

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On entreposa dans cette galerie des aliments synthétisés qui auraient permis à nos frères de survivre durant 240 XII (un Xii équivaut à une rotation de notre planète, quelques 30,9 heures).

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Le 29 mars, ils terminèrent les travaux d'adaptation de la Galerie souterraine. Il fut nécessaire d'accélérer la réfrigération de ses parois pour permettre le stockage du matériel. Les ingénieurs terrestres peuvent être surpris par ce fait en rapport avec la réfrigération. C'est parce que nos méthodes d'excavation sont différentes de celles des terrestres. Nous utilisons la fusion à très haute température des roches, sables et limons du terrain, en contrôlant l'expansion des gaz qui sont immédiatement transmutés en azote et oxygène. En plus d'obtenir une plus grande rapidité, nous évitons ainsi de multiples effets secondaires comme les expansions qui ont lieu au moment de la transformation de l'anhydride en gypse par contact avec l'eau). Bien entendu on réalise à l'avance une étude géologique du terrain, non pas par des méthodes sismographiques ou de sonde électrique mais par l'analyse avec un procédé stéréographique semblable aux rayons X terrestres; on obtient ainsi une image qui révèle non seulement la composition des différentes strates mais aussi la position des vides situés à une grande profondeur. Les systèmes de coffrage gardent une certaine ressemblance avec les terrestres

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En second lieu, la nuit antérieure (le 28 mars, donc) les UEWA OEMM (ASTRONEFS) avaient été transportés vers un bosquet de pins voisins, mais malgré cela on craignait la possibilité qu'ils puissent être vus par des habitants terrestres. Il était donc pas prudent de les laisser stationner là et le 29 mars à 11 heures du matin (heure française) les explorateurs et les membres de l'équipage célébrèrent un émouvant départ.

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L'entrée de la galerie se trouve sur l'un des contreforts montagneux de la région, pas très loin du pic du "Cheval Blanc". De là on domine toute la vallée dans laquelle coule la rivière Bléone. Avec un bon instrument optique on voit parfaitement les édifices de Digne, sa vieille cathédrale et même fragmentairement l'on peut observer le Bès et quelques tronçons du chemin de fer. On peut également observer parfaitement le hameau de La Javie et quelques constructions humbles des environs. Comme information intéressante nous vous dirons que l'historique galerie existe encore, renfermant à l'intérieur une partie de l'équipement scientifique d'origine qu'emmenèrent nos frères. Son accès est parfaitement camouflé.

épisode du "Figaro" :  Voir http://ummo-sciences.org/activ/art/art6.htm 

D57-5

Le 31 mars 1950, et 467 UIW (23 h) depuis l'incident sérieux que nous venons de vous raconter on n'observa pas de signes extérieurs anormaux, aussi bien dans les environs que dans le village de la JAVIE (le seul accessible par les champs optiques des équipements d'observation).

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Le 24 avril , on fit le plan de pénétrer dans une habitation qui se trouvait à deux KOAE (soit 17,4 km - NDT) de notre base, pour surprendre ses habitants et, sans leur faire de mal, pratiquer un certain nombre de larcins dont ils recevraient compensation dans le futur (comme il en fut en 1952).