EF-11 Yatesbury

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Por qué el Arte? (13-08-2019) (Primer texto publicado por Yatesbury, en el blog de FutEnFol)

Ces interactions, précieuses, invitent au questionnement de la psychologie différentielle d’entités pensantes et mériteraient d’être poursuivies.

« L’art » ne s’inscrit-il pas, en premier lieu, dans une histoire, une chronologie des civilisations ? Relève-t-il seulement d’une pure finalité, répondant essentiellement à la satisfaction d’une aspiration ?

Ou émerge-t-il plutôt d’une nécessité, d’un compromis, autorisant l’idée, c'est-à-dire le substrat spirituel, à venir s’incarner dans le matériel d’une pierre ou d'une onde acoustique ? Pour quelles raisons une civilisation particulière, à un moment précis de son histoire, éprouve-t-elle le besoin de faire figurer dans le perceptible - c’est-à-dire dans ce qui est accessible aux SENS de l’individu, une chose qui pourrait être transmise par cet outil trivial qu’est le LANGAGE ? N’est-ce pas, simplement, parce que cet outil s’avère justement insuffisant et défaillant à transmettre l’indicible ?

Lorsque l’art grec s’évertue à symboliser l’harmonie et l’équilibre infinis du kósmos dans le marbre d’une statue aux proportions parfaites, les toiles religieuses de la Renaissance, elles, se donnent l’ambition de représenter l’absolu du divin dans l’image. Ces concepts débordent la capacité des mots les plus précis et les plus exhaustifs employés à les décrire.

Mais si l’art pallie, un temps donné, à la défectuosité d’un langage, support obligatoire de toute pensée, qu’en est-il lorsque la circulation d'une information, avec la charge affective et émotionnelle qui y est associée, se réalise de manière intégrale et formelle ?

Quelle est la pensée d'une ethnie non bridée par un outil de communication imparfait ?

Que peut saisir cette même ethnie d'une oeuvre d'art transmettant ce "reste" non communicable et résultant de ce passage du substrat spirituel au substrat matériel ?

Comment appréhender la nature sibylline de ce "reste" pour une ethnie dont les flux informatifs totalement efficients excluent, de fait, toute forme d'équivoque ?

Ce "reste" typiquement humain, est-il le résidu issu d'une perte non symbolisable, ou le produit d'une authentique valeur ajoutée ?

Ce "reste" n'est-il perceptible que dans l'art ?

Quel impact peut-il avoir, en retour, sur la pensée ? Qu'en pensez-vous ?