Géométrie du WAAM

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Nous parlons ici de la géométrie de NOTRE univers

Les 3 minutes 'télépathiques" citées dans la NR18, et précisées dans la NR22 n'ont à mon avis rien à voir avec la question du retard de la sonde Pioneer qui "  est provoqué par le décalage temporel des objets lointains dû à la seule topologie hyperbolique du WAAM. Le « maintenant » de ces objets lointains est situé en avance de plus d'une seconde par rapport au vôtre. "


Lettre NR-18

Note 2 : A titre informatif, l'instant de ce passage [il s'agit de la 4 ième ère] nous a été notifié le 9 juillet 2003 entre 6h34 et 6h37 GMT, moment auquel nos conjoints, enfants adultes et parents restés sur OUMMO ont établi une communication télépathique avec nous (voir note 3). Nous remercions vos frères pour leurs chaleureux messages de sympathie qui seront transmis à OUMMOAELEWE.

Note 3 : La distance n'importe pas pour établir le lien télépathique mais des interférences dues à la présence de matière imaginaire dans OUWAAM sauraient affecter légèrement le synchronisme lors de communications à très grande distance. Cela explique la marge d'erreur qui tient compte d'un retard maximisé de 3 minutes pour le premier lien télépathique perçu à 6h37. En aucun cas les interférences ne sauraient affecter le pseudo-synchronisme de façon à ce que l'on perçoive une communication télépathique avant son émission car cela supposerait une violation des lois physiques fondamentales du WAAM.

Lettre NR-22

PRÉCISIONS CONCERNANT LA COMMUNICATION TÉLÉPATHIQUE ET LES VOYAGES SPATIAUX

La mention d'un retard de réception lors d'un échange télépathique entre des individus situés sur deux astres froids distincts vous semble suspecte. L'indication donnée de la cause de ce retard - des interférences dues à la présence de matière imaginaire dans OUWAAM - ne doit pas vous porter à conclure que cette matière imaginaire interfère avec le flux télépathique pour le distordre ou le freiner. Vous devez comprendre que deux points distants du WAAM sont soumis aux ondulations incessantes du tissu spatio-temporel induites par la matière imaginaire située dans les WAAM contigus - principalement OUWAAM - et qu'ils ne sauraient se trouver que fortuitement sur la même ordonnée temporelle. Comme ils sont séparés par des distances tridimensionnelles ils le sont par une distance temporelle. Ainsi il est illusoire de parler d'instantanéité entre le maintenant MT sur la Terre et le maintenant M0 sur OUMMO.

De façon imagée, si l'on disposait d'un lien cohérent reliant la Terre à OUMMO, tel un faisceau d'ondes, et en supposant que de l'information puisse transiter par ce lien sans limitation de la vitesse linéaire ( dx/dt égal ∞ ), l'acheminement de cette information dans le cadre tridimensionnel parcourra nécessairement un chemin homotope à l'isochrone direct du cadre spatio-temporel associé. Cet isochrone, toujours plus court que la distance tridimensionnelle apparente (cf. note 1), sera alors confondu avec la ligne isodynamique reliant les potentiels entropiques minimaux le long du chemin réel. La transmission de l'information prendrait, dans ce cas fictif, un temps de translation non nul exactement égal, en valeur négative, au décalage temporel entre les ordonnées respectives de l'émetteur et du récepteur lors de l'émission du signal. Dans ce cas fictif précis, cela-reviendrait à recevoir l'information avant qu'elle ait été émise.

Dans le cadre physique réel, l'information se propage en suivant l'ondulation spatio-temporelle minimale existant entre la Terre et OUMMO à une vitesse dépendant du flux d'entropie, globalement constant pour l'ensemble du WAAM. Sans l'influence de la matière imaginaire des WAAM contigus, le chemin suivi dépendrait entièrement de la topologie du WAAM et le décalage temporel serait alors uniquement dû à la courbure locale le long de ce chemin. Cependant, la propagation de l'information reste aussi soumise aux aléas des ondulations du WAAM qui induisent un décalage temporel supplémentaire - positif ou négatif - entre l'émission et la réception de l'information. Ainsi, en fonction des conditions isodynamiques que nous connaissons avec une précision correcte, nous avons pu estimer une déviation temporelle supplémentaire, maximisée à trois minutes, entre les ordonnées temporelles de nos deux planètes au moment de l'entrée de notre peuple dans le quatrième âge d'OUMMO. Contrairement au décalage dû à la courbure spatiale du WAAM, que nous savons calculer précisément, ce décalage supplémentaire ne peut qu'être estimé et non mesuré avec exactitude.

Dans le cas d'un message télépathique entre deux OEMMII situés à très grande distance l'un de l'autre (cf. note 2), le lien télépathique peut être assimilé à une communication utilisant comme liaison cohérente le WAAM BOUAWEII BIAEII à l'intérieur duquel le temps de transit de l'information est nul. Aucun décalage temporel n'est cependant perçu lors de la communication télépathique qui paraît instantanée aux deux locuteurs : le WAAM BOUAWEII BIAEII, affranchi de toute notion temporelle, assure uniquement l'acheminement séquentiel de l'information. Toutefois, il existe dans l'absolu un retard au niveau de la perception de l'information par le locuteur passif - récepteur - pour que ce synchronisme apparent puisse être assuré sans violer les principes de causalité qui fondent le WAAM-WAAM. Ainsi, du point de vue d'un observateur virtuel externe au WAAM disposant d'un référentiel temporel propre, le dialogue pourrait sembler clos pour le locuteur qui a amorcé la communication alors que son correspondant n'aurait pas encore entamé le dialogue. Je conçois qu'il est difficile pour vous d'admettre une telle phénoménologie. N'y voyez cependant qu'une explication concordant avec nos propres théories et non le reflet exact d'une réalité qui nous échappe.

Note 1 : Vous observez vous-mêmes, sans pouvoir encore l'expliquer, ce phénomène de décalage ordinal entre les positions respectives de votre planète Terre et des sondes spatiales situées à grande distance. Il n'existe aucun ralentissement de leur trajectoire, ni aucune variation réelle de la vitesse des ondes émises par ces sondes le long de leur cheminement vers la Terre. Cela est provoqué par le décalage temporel des objets lointains dû à la seule topologie hyperbolique du WAAM. Le « maintenant » de ces objets lointains est situé en avance de plus d'une seconde par rapport au vôtre. La mesure de la vitesse des sondes, basée sur l'analyse des signaux reçus, semble indiquer un ralentissement du mouvement et une position des sondes plus proche que les prévisions théoriques basées sur un mouvement soumis aux seules lois de la mécanique newtonienne dans un espace euclidien. Le chemin tridimensionnel parcouru par le signal est strictement égal au chemin prévu par votre théorie classique, à la vitesse du signal attendue, mais avec un décalage temporel dépendant de la courbure locale - négative - de l'espace-temps qui réduit les distances réelles entre les objets lointains. Vous pouvez d'ores et déjà estimer localement cette courbure en utilisant les données provenant de vos sondes lointaines Pioneer qui font état d'un décalage temporel de 1,23 ± 0,20 seconde le long d'un chemin équivalent à 1013 mètres. Le chemin spatiotemporel réellement parcouru par le signal est en fait le segment hyperbolique isochrone direct qui sous-tend le chemin tridimensionnel et présente systématiquement une longueur moindre de celle du chemin tridimensionnel apparent.

Note 2 : La communication télépathique est irréalisable entre deux OEMMII situés dans deux WAAM distincts possédant des cadres temporels différents car ils deviennent alors non localisables temporellement l'un par rapport à l'autre. Elle reste possible entre deux OEMMII voyageant ensemble dans un même WAAM. Lorsque nous voyageons au sein de nos spationefs dans un autre cadre dimensionnel, la liaison télépathique avec OUMMO reste possible si nous ne changeons pas de référentiel temporel, la modification angulaire des sous particules - OAWOOLEIIDAA - se faisant alors axialement à la dimension temps par une transformation équivalente de l'orientation des trois composantes spatiales et de trois composantes associées à la masse.

)+( Pour répondre explicitement à vos interrogations, nous n'altérons pas le référentiel temporel de nos nefs pour voyager selon les conditions isodynamiques propres à ce WAAM et mesurées pour celui-ci. Nous nous projetons parfois temporairement dans OUWAAM en inversant, par rotation de n radians, tous les angles dimensionnels des sous particules. Nous le parcourons localement pour restreindre la durée de nos voyages lorsque les conditions isodynamiques du WAAM sont défavorables. Tout lien avec OUMMO est alors rompu. Pour les autres WAAM dans lesquels nous savons nous projeter par inversion de six angles axialement à une autre dimension figée, nous nous contentons d'y répertorier les différentes concentrations de masses accessibles à nos enregistreurs et tentons d'y capter des signaux émis par d'autres formes d'intelligence. Nous pouvons y accéder corporellement pour contempler l'incommensurable beauté de la création de WOA mais nous y envoyons le plus souvent des véhicules d'exploration automatiques.