Grèce citée dans les lettres ummites

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La Grèce (le grec ; langue grecque) est citée dans les lettres ummites dans les sujets suivants :

Ier siècle

Ier siècle‏‎ : Jésus ne fonde aucune Eglise

Lettre D792-2
Jésus ne fonde aucune Eglise. Le récit relatif à la création du pape avec l'apôtre Pierre, comme premier Pontife, et les allusions variées à une congrégation de fidèles est également le fruit d'additifs postérieurs. Les termes hébreux tels que QAHAL, et le grec EKKLESIA, sont ensuite prodigués, éparpillés dans les écrits plus antiques.

Ier siècle‏‎ : légende de 12 apôtres

Lettre D792-2
(janvier 1988) La légende selon laquelle le nombre des disciples se réduisait à douze a déjà été éclaircie par nos soins. Mes frères avaient été surpris par la contradiction entre la version selon laquelle Jésus était suivi d'un si petit nombre de disciples et qu'un groupe supposé si réduit ait pu éveiller de telles craintes de la part du Sanadrin et des romains. Les documents archéologiques découverts par nous jettent suffisamment de lumière sur la question. Le mythe fut développé ultérieurement, quand douze de ses disciples forment la secte de Jérusalem, opposée aux Chrétiens grecs. Ceux-ci s'arrogent le mérite d'avoir été choisis spécialement par Jésus.

IIe et IIIe siècles‏‎ : naissance de l'Institution de l'Église

Lettre D792-2
La période médiane entre les années 170 et 243, se caractérise par la naissance de l'Institution de l'Église. Les évêques comprennent qu'il faut unir les communautés dispersées, sous un contrôle commun et un code uniforme de la doctrine, qui jusqu'alors était exposée de façon anarchique par chacune des congrégations indépendantes. Mais les groupes ne se montrent pas tous favorables à cette fusion. En réalité la secte dite chrétienne était scindée en une multitude de petits groupes, dont certains, suivant une ligne de pensée éclectique, amalgamaient des doctrines procédant de la mythologie grecque et romaine avec le christianisme; quand il ne se produisait pas une étrange symbiose d'idées juives, égyptiennes et chrétiennes. Le groupe le plus important des opposants à l'autre ligne, est celui formé par les écoles gnostiques. C'est une autre façon plus épurée de comprendre le Christianisme.

L'interprétation officielle falsifiée des historiens de l'Église Catholique Romaine rapporte avec une emphase particulière le conflit entre les deux idéologies. L'une, la serait représentée par le CHRISTIANISME à ses origines JERUSALEMIENNE et HELLENIENNE, et l'autre par une secte quasi païenne appelée le GNOSTICISME. La réalité historique, telle que nous l'avons évaluée avec des documents qui ne vous sont pas accessibles est toute autre. Il s'agit de deux interprétations mythiques du christianisme. Toutes les deux adultèrent le message originel de Jésus dont nous vous avons exposé l'origine cosmobiologique. Jésus voulait, influencé par son subconscient engrammé de modèles de comportement néguentropique, enseigner à ses disciples ces simples éléments d'Éthique.

La mentalité magique, les croyances exotiques en provenance des diverses cultures mythologiques et l'absence naturelle de rigueur dans la transmission de données par voie orale ou écrite, donnèrent naissance à deux grands corps de doctrines dites chrétiennes : [1] la grecque plus pauvre, plus influencée par la terrible notion d'un Jehova vengeur et cruel, un Dieu protecteur de l'agressive ethnie juive et [2] la Gnose avec une philosophie plus élaborée de logique qui voit en Jehova un être malin et élabore une idée de Dieu beaucoup plus pure.

L'histoire postérieure fut un choc brutal entre les deux conceptions. Finalement la première, qui imposa son concept d'Église et sa doctrine, est sortie victorieuse. Il est évident que si c'était l'inverse qui s'était passé, vous en Occident, vous auriez élaboré une philosophie chrétienne, également mythifiée et déformée, mais plus intellectuelle et avec un concept de la divinité plus conforme à la Science.

Années 1950-1960

Années 1950-1960 : étude de la civilisation occidentale

Lettre D792-2
[Note 12] [...] l'étude de la civilisation occidentale de OYAGAATerre nous a grandement séduits. Ce n'est pas parce qu'en son sein le rationalisme scientifique s'est constitué à partir des formes de la pensée grecque, ni parce les nations de cette région ont, en conséquence, atteint un niveau de bien-être économique en rapport avec l'évolution de la technique qui en a résulté ainsi que celle de sa mentalité planificatrice, ni par leurs formes d'idéologie religieuse. En réalité, la religion structurée dans le christianisme présente une théologie beaucoup moins imaginative que l'hindouisme, le bouddhisme et d'autres formes exotiques de la pensée transcendantale.

Années 1950-1960 : croyances ont une base réelle sérieuse

Lettre D62
(juin 1967) Nous mêmes avons vérifié et, bien sûr beaucoup de scientifiques terrestres ont été forcés de l'admettre, qu'un pourcentage, quoique réduit, de telles croyances ont été vérifiées sur une base réelle sérieuse. Nous pouvons rapporter quelques cas, bien que vous tous connaissiez une riche casuistique de cas qui confirment notre observation.

Ainsi aucun d'entre vous ne doit ignorer que les pêcheurs de certaines îles grecques utilisaient du pain moisi pour soigner les blessés, ce qui provoquait le sourire pédant de certains médecins grecs informés de cette vieille coutume, jusqu'à ce qu'Alexandre Fleming applique certaines souches de champignon Penicillium notatum dans ses expériences destinées à la destruction des germes appelés par les Terrestres gram-positifs.

On peut multiplier les cas puisque de nombreux médecins norvégiens méprisèrent la coutume populaire des habitants côtiers des fjords d'administrer à leurs enfants en bas âge du foie de morue

Et beaucoup de scientifiques qui ridiculisaient les légendes germaniques sur les individus lunatiques, durent admettre l'influence du champ gravitationnel du satellite terrestre sur certaines tumeurs du cortex cérébral en trouvant qu'elles se trouvaient comprimés par l'action de la Lune dans la boite crânienne.

Années 1950-1960 : expériences neuropsychologiques par une autre civilisation

Lettre D1378
(30/01/1988) Les conditions spécialement favorables de plissement spatial de ces années là, qui s'étendaient de 1943 jusqu'en 1978 avait permis d'accéder au système planétaire de votre Soleil non seulement à nous, mais aussi à d'autres civilisations galactiques. [...] Un groupe expéditionnaire envoya des agents dans différents pays d'Asie et d'Europe. Deux d'entre eux arrivèrent en Espagne avant [1953]. Des années plus tard grâce à leurs appareils de contrôle cérébral ils se connectèrent à un citoyen Japonais résidant à Madrid, puis, par son intermédiaire, avec un autre OEMMIhomme appelé Fernando Sesma Manzano. Cette civilisation, très avancée dans les études du Réseau cérébral et sa fonction dans le Multicosmos, trouvèrent là une occasion très intéressante pour eux d'utiliser les humains de la Terre comme cobayes pour leurs expériences neuropsychologiques.
Dotés sur leur astre froid d'une civilisation structurée selon des bases morales strictes, ils rejettent les UAAlois qui nous obligent pour les autres à respecter l'évolution des autres Astres froids avec une civilisation inférieure. Avec un mépris absolu de l'intégrité biologique des hommes de la Terre, ils choisirent un vaste échantillon d'infortunés humains et les soumirent à des manipulations mentales. Furent les victimes à différents degrés (certains YIEEfemmes et GEEhommes furent aussi soumis à un contrôle leur induisant divers cadres pathologiques) des citoyens de République Populaire de Chine, de Thaïlande, d'Indonésie, du Japon, d'Italie, de Grèce et d'Espagne.

1966 : langues connues à cette date

Lettre D41-1
(1966) [...] langues terrestres connues de nous à cette date (anglais, espagnol, grec classique, grec moderne, allemand, italien, français et arabe).

Soumission de la femme

Lettre D540
(02/05/1988) Vous les hommes de la Terre avez monopolisé l’histoire, vous avez écrit et déformé la véritable histoire de l’étouffement infamant de la YIIEfemme par le compagnon mâle. Mais nous avons déterré beaucoup de témoignages, nous avons réuni et découvert que de toutes les chroniques des iniquités commises dans les siècles passés par les OEMII de la Terre contre les siens, aucune n’égale en cruauté raffinée celle de la soumission de la femme par son partenaire.

Les races persécutées pouvaient s‘unir et lutter contre leurs prédateurs, les membres des différentes castes parvenaient à une affinité spirituelle et à la sublimation pour supporter la pression des êtres supérieurs, les esclaves purent en de multiples occasions s’unir contre leurs propriétaires… Mais la femme était un être isolé handicapé par une éducation imposée par les pères pour se révolter contre son triste destin. Seulement au XIXe siècle elles purent s’unir dans des courants suffragistes pour réclamer leurs droits civils, jusque là l’état, la patrie, le pouvoir, la tutelle des pères et des maris, les distinctes religions, et églises, étaient des établissements, qui pesaient comme des dalles sur les personnes fragiles des YIIEEfemmes et interdisaient tout réflexe de fuite et de libération.

Les hommes n’ont créé le mythe du matriarcat. Dans aucune phase de la longue histoire de la Terre, la femme n’a pu dominer le mâle seulement dans des cas ponctuels, des groupes de femme ont formé des escadrons guerriers d’amazones, parfois très cruels, comme mécanisme réflexe défensif, c’est seulement dans des cas isolés et en milieu rural qu’une femme s’est imposée comme matriarche ou Reine, comme dominatrice d’un réseau social, où paradoxalement les autres femmes ne furent pas délivrées de leur servitude bien que l’une d’elles occupât le trône.

Mais de toutes les cultures machistes, aucune ne dépasse en fanatisme antiféministe comme la Judéochrétienne. Elle était d’autant plus coupable quand, comme la grecque, elle conformait une forme de pensée beaucoup plus élaborée et supérieure par-dessus d’autres civilisations plus en retard, d’autant plus coupable qu’elle s’appuyait sur le monothéisme, forme de religion plus élaborée et intellectuelle, et qui pourtant était plus obligée de répudier toute manifestation d’esclavagisme, incluse celle de l’homme sur la femme.

Atomes du code biogénétique

Lettre D58-4
(avril 1967) [...] nous vous avons révélé l'existence d'un facteur encore inconnu de la biochimie TERRESTRE, et que nous dénommons par le phonème BAAYIODUU [...]. Le BAAYIODUU est composé de 86 atomes doubles de KRYPTON (l'expression "atome double" serait incorrecte pour un spécialiste terrestre, mais il faut tenir compte des difficultés de traduction au moment de réaliser une version de nos termes scientifiques dans vos langues terrestres). Par exemple l'étymologie de notre phonème NIIO AA qui tend à exprimer la même chose qu' ATOME est très différente. Non seulement ses racines n'ont rien à voir avec les racines grecques (INDIVISIBLE) mais de plus ce mot NIIO AA nous sert aussi pour parler d'une molécule chimique ou d'un petit groupe d'atomes non liés entre eux. Une telle confusion est issue de conceptions physiques différentes car nous, nous concevons les particules sousatomiques comme de simples changements d'axe dans un Réseau pluridimensionnel, liées à une fonction probabiliste. Ainsi quand de telles entités sont reliées de quelque façon, nous appelons cette interrelation à un niveau microphysique NIIO AA. Ainsi par exemple, une paire formée par un hypéron sigma et un proton au sein du noyau atomique, recevra aussi le nom de NIIO AA. Le même noyau recevra le nom de NIIO AAA ainsi que l'interaction PHOTON-ÉLECTRON. Pour différencier le type de NIIO AA que nous sommes en train d'étudier, nous mettrons un chiffre codé devant le phonème.

Ainsi quand deux atomes exercent une fonction spécifique, différente de celle des autres atomes contenus dans l'environnement, ils recevront aussi la dénomination de NIIO AA même si de tels atomes ne sont pas intégrés dans une molécule à l'aide d'une liaison chimique.

C'est le cas des paires de krypton dans le BAAYIOODUU, des deux atomes liés à l'axe, l'un d'eux code l'information stéréotypée du code biogénétique. Exprimé en termes plus didactiques : il enferme un message qui lui a été fourni depuis l'origine de l'Univers (Nous pouvons démontrer que le WAAM ou Cosmos n'est pas CYCLIQUE). Un peu comme un dictionnaire terrestre ou un manuel (Je parle particulièrement pour une paire des 86 ); une page de ce dictionnaire de 43 feuilles où sont résumées et cataloguées TOUTES LES FORMES POSSIBLES D'ÊTRES VIVANTS compatibles avec les lois biogénétiques universelles.

L'autre atome DYNAMIQUE a une double fonction [...]. En premier lieu, il CAPTE l'information issue du cytoplasme cellulaire [...] en l'encodant temporellement. En second lieu, il DYNAMISE une telle information accumulée en provoquant des altérations quantiques qui sous forme de radiation provoquent des altérations au sein des chromosomes (dans l'ADN); c'est à dire des MUTATIONS.