Transport sur Ummo

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Le transport sur la planète Ummo : historique et actuel.

Transport historique : NOIA UEWA

Lettre D41-6
Ont disparu de notre orographie, les vieilles voies ou pistes sur lesquelles circulaient dans les temps maintenant historiques, ces anciens NOIA UEWA
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qui se déplaçaient au moyen de pieds articulés (l'ANTHROPOMORPHISME de la technique empêcha l'utilisation habituelle de la roue comme moyen de translation) sur des chaussées ou pistes qui diffèrent de vos routes dans la mesure où celles-ci étaient construites en stabilisant le terrain par des additions de composition nettement argileuse, de silicates et d'alumines synthétiques pour que la couche de roulement au lieu d'être constituée comme les autoroutes de la planète Terre à l'aide de conglomérat d'agrégats et de substances bitumées comme l'asphalte, soit constituée avec une couche de bioxyde de silicium fondu à la température de quelques 1700° (degrés centigrades terrestres) jusqu'à obtenir une épaisse couche homogène cristallisée et rugueuse résistant à l'abrasion et aux charges statiques et dynamiques des véhicules qui y circulent.

Mais ces pistes enlaidissaient d'une manière extraordinaire la beauté du paysage.

Etude de la marche du NOIA UEWA (par Davy)

"Le sabot arrière semble permettre d'allonger la longueur de la jambe tout au long de sa rotation de façon à garder le contact avec le sol. On s'imagine que la volonté était de conserver une bonne assiette de la cabine. De plus le sabot permet d'amortir l'extension de la jambe.

La marche, en fait est ce qu'on appelle une allure. Les types d'allures (du cheval par exemple) sont le pas, le trot et le galop. L'allure probable pour cet engin est celle du pas, qui se fait en quatre temps : chaque membre fait un cycle de quatre temps, et à chaque quart un autre membre commence son cycle. Cela permet de toujours garder trois appuis au sol et une bonne assiette.

Sur un cheval les quatre temps de déclenchent de façon circulaire, si on regarde du dessus (gauche arrière, avant, droite avant et arrière). Ici à cause des sabots qui se touchent, on a fait une allure en pas croisé (arrière gauche, avant droit, avant gauche, arrière droit). La cabine devait alors bouger un peut de gauche à droite.

On peut noter en lisant la D41-6 que cet ustensile était utilisé pour le transport de marchandises, et que les routes étaient dures. Ce véhicule ne peut pas vraiment se promener dans la nature, car le sabot est trop volumineux pour aller plus que quelques centimètres au-dessus du sol.

Ce qui est intéressant, je trouve, c'est que la technique qui consiste à ajouter un sabot diminue la complexité de l'ensemble, car il peut ne s'agir que d'un gros ressort. Il n'empêche qu'ils devaient s'user vite..."

Animation La marche du NOIA OUEWA , du site de Davy

Transport actuel

Transport souterrain de matières premières ou de substances en brut

Lettre D41-6
Notre civilisation paraissait acculée dans ces orientations industrielles et urbanistiques à corrompre l'esthétique de la nature et nos ancêtres adoptèrent la décision d'éliminer les réseaux de communications qui se trouvaient à l'extérieur, encourageant en échange les procédés de transport souterrain.

Surgirent ainsi de nouvelles techniques de transport de matières premières ou de substances en brut. Par exemple les minéraux étaient pulvérisés dans les lieux d'extraction et mélangés avec des mousses de produits chimiques inertes et transportés au moyen de tuyères. Certains agents de liaison semblables aux ciments terrestres et que nous utilisons dans nos constructions, mélangés avec des produits plastiques, sont canalisés au moyen d'un courant d'air très fort qui les transporte sous forme d'aérosol (POUSSIÈRE EN SUSPENSION CHARGÉE ÉLÉCTROSTATIQUEMENT).

Notre sous-sol est donc saturé de très vastes réseaux de tuyères et canalisations dont certaines doivent porter des courants de plasma dont les températures au sein des tourbillons centraux atteignent jusqu'à 2 millions de degrés centigrades (vous pouvez supposer qu'il n'existe pas de parois de tuyère capables de canaliser sans évaporation un gaz ionisé si chaud, mais nous avons recours à des enveloppes gazeuses dont le gradient thermique va en diminuant en orientation radiale pour se réduire à proximité des parois à 1200 degrés terrestres.

La structure de nos paysages fut sauvée.

Transport des personnes

Lettre D41-6
Nous désirons vous résumer les procédés de traction courants sur UMMO. Sauf dans le cas où la traction en contact avec le sol (comme peuvent être certaines applications dans le mouvement des Terres, constructions hydraulique, motoculteurs souterrains, etc...) est indispensable, les déplacements des personnes d'un point à l'autre d'un RÉSEAU de Communications s'effectuent à l'aide de deux procédés très répandus sur notre Planète.

Distances courtes : équipement non automatique (OEMMIIUEWA) qui s'ajuste au corps pour se déplacer à faible hauteur

Lettre D41-6
Le premier est un système catalogué par nous comme de type YEDDO AYUU (ABSENCE DE RÉSEAU OU ORGANISATION LIÉE). Il est matérialisé par des équipements qui s'ajustent au corps humain, appelés OEMMIIUEWA et qui permettent à une personne de se déplacer d'un point à l'autre dans l'air et à faible hauteur (hauteur maximum 30 ENMOO, quelques 56 mètres). Nous l'utilisons quand nous devons parcourir des distances relativement courtes mais presque jamais pour des trajets brefs auquel cas nous utilisons comme vous, les pieds.
Les déplacements dans ces conditions (nous nous référons aux équipements personnels OEMIIUEWA) ne sont pas contrôlés par le XANMOO AYUBAA (réseau de ordinateurs). Au contraire, l'individu qui l'utilise doit contrôler sa direction continuellement comme vous avez l'habitude de le faire avec vos automobiles de tourisme, avec l'unique différence que nous n'utilisons pas des commandes manuelles (tels que volant, pédales, boutons, etc,) mais de simples ordres acoustiques codifiés.

Distances longues : véhicule volant automatique (GOONIIOADOO UEWA) à très basse altitude, 0,56 m au dessus du sol

Lettre D41-6
Mais le véhicule par antonomase le plus utilisé sur notre planète est sans doute le GOONIIOADOO UEWA. Sa forme peut vous rappeler certains appareils futuristes dessinés pour voyager ou celle de quelques voitures modernes au profil aérodynamique.
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Le procédé de traction utilisé est basé sur un principe très ancien pour nous, mais qui n'a pas été modifié essentiellement pour la bonne raison que son système, qui n'a rien à voir avec celui que nous employons pour nos voyages sidéraux dans les OAWOOLEA UEWA (cosmonefs), est très efficace pour les déplacements sur de longues distances au sein de l'atmosphère.

Le système de traction consiste en un BUUTZ (moteur) de GOONNIAOADOO [plasma ] [...], l'unique combustible étant le tétrafluorure de xénon.

Ces véhicules se déplacent à très basse altitude, évitant toujours les accidents géographiques et se maintenant toujours à une même hauteur en respectant les variations naturelles et artificielles (à 0,3 ENMOO, soit 0,56 m au dessus du sol) de manière que même en cas d'accident - danger dont nous avons réduit la probabilité à 0,00007 - les voyageurs ne souffrent pas de lésions appréciables.

Sa télédirection se réalise, contrôlée par le XANMOO AYUBAA (réseau mondial d'ordinateurs) simultanément avec l'équipement de détection du véhicule qui contrôle à chaque instant non seulement les paramètres météorologiques et la présence d'obstacles statiques, mais aussi la direction probable d'autres véhicules qui voyagent dans les immédiats. Il évite aussi la présence des XAABII (maisons) "enterrées" qui peuvent émerger rapidement en provoquant des collisions lamentables.
Voir BUUTZ DE GOONNIAOADOO.