Premiers contacts espagnols

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Les premiers contacts espagnols répertoriés des ummites.

1966‏‎

Lettre ummite en mai 1966 pour Monsieur D. Garrido et en 1967 pour Monsieur Campo :

Lettre D21
[...] Nous voulons vous donner une courte liste des personnes espagnoles avec qui nous avons établi le contact en nous faisant connaître :

[1] Un spécialiste en astrophysique de l'observatoire Astronomique de Fabra (Barcelone), nous lui apportâmes des éléments sérieux concernant les étoiles nouvelles mais il refusa de continuer les relations téléphoniques en nous demandant de ne pas divulguer son identité (décembre 1961).

[2] Un professeur de la Faculté de Madrid (Médecine) en mars 1962.

[3] Un professeur de la Faculté des Sciences Chimiques de Madrid, en février 1965.

Tous furent totalement sceptiques et demandèrent ardemment la cessation de nos envois postaux, malgré le fait que ceux remis au second parlaient de très intéressants problèmes concernant le comportement de quelques colloïdes.

[4] Un aide-comptable de Madrid. Il accepta, moyennant une rémunération, de nous accorder son aide pour taper les documents (cette circulaire est tapée à la machine par cette même personne) et à ce jour nous acceptons qu'il fasse des déclarations sur cette expérience. Déclarations que nous jugeons pertinentes. (Premier contact: février 1966)

[5] Le fonctionnaire public de la Capitainerie Générale de Madrid, Monsieur Fernando Sesma Manzano (rue Fernando el Catolico n°6). Ce monsieur avait publié quelques monographies concernant certains contacts qu'il aurait établi avec des êtres Extraterrestres, même si ses versions étaient faussées par des éléments qui nous paraissaient fantastiques. Eléments dans lesquels, la magie, l'astrologie et le symbolisme étaient arbitrairement interprétés, mais où quelques points attirèrent notre attention. Nous établîmes un premier contact avec lui le 14 janvier 1966 en le soumettant à une série d'épreuves pour nous assurer de sa bonne foi ou de son excès de crédulité.

Monsieur Sesma se montra sceptique au début et nous avons pu vérifier sa droiture tout en étant en désaccord avec lui au sujet de ses expériences antérieures que nous attribuions à un simple farceur. Jusqu'à aujourd'hui nous avons envoyé à ce monsieur un grand nombre de documents concernant notre Civilisation et notre Structure Sociale.

[6] Un artiste peintre résidant rue Conde de Penalvar n°20 Madrid. Il fit quelques déclarations à la presse concernant l'atterrissage d'Aluche le 6 février 1966, déclarations qui motivèrent notre intérêt pour lui. Nous le sollicitames pour une entrevue personnelle qu'il refusa, en l'interprétant comme un acte de blagueurs.
Son nom est Enrique Gran (voir plus de details : D38 du 17/06/1966).
Lettre D21
[7, 8] Deux dames vivant à Madrid et qui se prêtèrent gentiment à un test psychotechnique pour nos mesures sociométriques en mars-avril 1966.

[9] Un prêtre catholique Severimo Machado (rue Espoz et Mina 7 3° d. Madrid) avec qui nous avons établi un contact postal et téléphonique, et qui se montra logiquement réservé en attendant de nouvelles preuves (avril 1966).

Comme vous le voyez, jusqu'à maintenant les résultats comportent un pourcentage élevé de réactions négatives (pas très supérieur à celui que nous avons mesuré dans les autres pays où nous avons établi des contacts analogues) sauf aux États-Unis où 16% environ des personnes contactées se montrèrent apparemment crédules.

En Espagne, seul Monsieur Sesma Manzano semble avoir accepté notre identité (après avoir obtenu des preuves comme par exemple l'annonce anticipée de notre atterrissage à Madrid le 6 février). Notre vaillant collaborateur, à qui nous dictons généralement nos écrits, a reçu un grand nombre de preuves et nous le remercions vivement pour son extraordinaire discrétion. Nous craignons avec raison la répétition d'un incident qui s'est produit à Milan quand notre auxiliaire nous dénonça aux autorités en nous traitant d'espions.

1967‏‎

Lettre du dactylographe (resté anonyme) de Madrid, du 4 juin 1967, pour monsieur Enrique Villagrasa :

Lettre data-E/E3
[...] Je suis la personne qui a écrit à la machine jusqu'à maintenant ce que les messieurs de la planète Ummo m'ont dicté. [...] d'autres messieurs d'UMMO vinrent à la maison. Je fis la connaissance d'un qui ne parlait pas et d'un autre qui paraissait très vieux et qui était resté très longtemps en Amérique du Sud. Ces jours là nous avons eu beaucoup de travail et je sais qu'ils dictaient aussi des lettres à un autre homme qui est auxiliaire administratif. J'écrivis à d'autres hommes à qui nous n'avions jamais écrit auparavant, tous de Madrid sauf [10] un de Valence, celui-ci était aussi médecin, et les autres sont : [11] un ingénieur de l'I.C.A.I., [12] un écrivain, [13] un professeur d'université en sciences exactes, et [14, 15] deux autres dont j'ignore la profession. J'ai parlé au téléphone avec le professeur des sciences exactes et celui-ci était très intrigué, il me posa plusieurs questions et, pour finir, il me dit qu'il croyait que c'était moi qui écrivait ces documents qui traitent d' une chose qui s'intitule THÉORIE DES RÉSEAUX et son application aux processus stochastiques. (Si vous aviez vu son étonnement à la réponse qu'ils lui firent ! Ce fut laborieux de lui faire comprendre que je n'avais pas étudié les mathématiques et que je n'étais pas professeur comme il le disait). Par contre, ils ont cessé d'écrire à quelques messieurs qu'ils connaissaient avant, par exemple [16] l'ingénieur industriel.

Voir aussi

  • D101 (« Adressez nos saluts à vos bons amis, sceptiques ou non, qui sont intéressés par nous ... »)
  • D116 (« Messieurs espagnols : »)