Dionisio Garrido : Différence entre versions

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Mon premier désir repose sur l'expression de mes plus cordiaux saluts à vous, à votre honorable épouse, à vos enfants, spécialement au plus cher, que nous savons déjà rétabli de sa douleur circulatoire, et à vos frères attentifs à l'analyse de notre information offerte jadis par ces expéditionnaires qui les écrivent.}}
 
Mon premier désir repose sur l'expression de mes plus cordiaux saluts à vous, à votre honorable épouse, à vos enfants, spécialement au plus cher, que nous savons déjà rétabli de sa douleur circulatoire, et à vos frères attentifs à l'analyse de notre information offerte jadis par ces expéditionnaires qui les écrivent.}}
  
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Condoléances pour le décès d'un fils de M. Garrido :
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{{lettre|D101|[...] '''DIONISIO GARRIDO''' : Monsieur : la prochaine lettre à votre attention sera remise à un organisme autorisé. Mais il est nécessaire que vous y soyez inscrit officiellement comme adhérent. D'ailleurs il n'existe pas de raisons pour conseiller votre abstention. Il nous est impossible de communiquer avec des sociétés ou des personnes physiques non autorisées.}}
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{{lettre|D112|Monsieur '''DIONISIO GARRIDO BUENDIA''', dont l'affection et le respect pour notre communauté nous a ému en ces jours où nous n'en finissions pas d'admettre que vous, êtres de la Terre, puissiez accepter notre témoignage seulement basé sur des affirmations exprimées par voie typographique. Ce frère a facilité ma difficile mission d'établir un noyau dans cette nation, ou microréseau qui puisse être capable de se transformer en réceptacle et conservatoire de nos documents. <small>Pour cela, je vous prie Monsieur [[AGUIRRE CEBERIO]], de lui faire parvenir mon salut chaleureux et ému.</small>}}
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'''Garrido''' était présent au colloque UMMO les 19 et 20 mars au Collegio Mayor de San Agustin à Madrid.<ref name="VOG">Godelieve Van Overmeire : [http://www.ummo-sciences.org/activ/analyses/ana22.htm Synthèse de l’Ummocat de Darnaude. Historique de l'affaire Ummo]</ref>
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===22/11/1988 : condoléances===
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Condoléances pour le décès d'un fils de M. '''Garrido''' :
  
 
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==Liens==
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===23 octobre 1988===
*  Manuel R (28 juillet 2004) : [https://www.ummo-sciences.org/fr/pop-aguirre-MR.htm ''Dionisio Garrido travaillait dans la sécurité. C'était un homme avec la conviction la plus ferme sur l'affaire UMMO.'']  
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Le 23 octobre 1988 les gens du « groupe de Madrid » reçoivent une lettre de 2 pages co-signée par [[Farriols]], [[Barrenechia]], [[Dominguez]], [[Aguirre]], Lara Guitard, '''Garrido Buendia''' où le discrédit est jeté sur les lettres d’Ummo, spécialement sur celles reçues dans les premières années. Cette lettre aurait été inspirée par les ummites eux-mêmes si l’on en croit Farriols.<ref name="VOG"/>
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==Anecdote==
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*  Manuel R (28 juillet 2004) : [https://www.ummo-sciences.org/fr/pop-aguirre-MR.htm ''Dionisio Garrido travaillait dans la sécurité. C'était un homme avec la conviction la plus ferme sur l'affaire UMMO.'']
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'''D'où l'extrait suivant:''' "''Dionisio a reçu pendant le temps de l'affaire OUMMO une preuve exceptionnelle de sa "réalité". Il a reçu un jour un paquet avec une lettre. Dans le paquet il y avais un gadget assez étrange (on me l'a décrit sans trop de précision, parce que seulement Dionisio l'a vu, et donc ma version est une version d'une version...)''
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''"Ce truc" là était quelque chose de semblable à un "presque parallélépipède" en forme un peu tronconique. La surface supérieure était sombre et brillante. Dans la lettre il y avait des instructions pour faire fonctionner "ce truc". Il était dit de prononcer à haute voix un mot (un son) et après ça la surface du truc devenait transparente et sous forme holographique (tridimensionnel) on pouvait voir des scènes d'OUMMO. Paysages, XAABI , la mer, etc. Le truc n'arrêtait que si on prononçait à nouveaux le mot.''
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''Dionisio fut averti qu'il allait pouvoir garder le gadget pendant 24 heures. Pendant ce temps il vu défiler des heures et des heures d'information graphique sur OUMMO sous forme de quelque chose comme un film tridimensionnel. A la fin du temps prévu, quelqu'un passa pour récupérer la chose. Après ça Dionisio raconta à ses compagnons ce qui s'était passé."''
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==Références==
  
 
[[Catégorie:Sommaire alphabétique|Garrido]]
 
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[[Catégorie:Terriens contactés en Espagne|Garrido]]
 
[[Catégorie:1966‏‎]]
 
 
[[Catégorie:Terriens contactés en Espagne|Garrido]]
 
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[[Catégorie:1966‏‎]]
 
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[[Catégorie:1967‏‎]]
 
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[[Catégorie:1968]]
 
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[[Catégorie:1972]]
 
[[Catégorie:1988]]
 
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Version actuelle datée du 5 avril 2025 à 17:55

L'espagnol Dionisio Garrido Buendia était un des principaux destinataires de la correspondance ummite de 1966 à 1996.

1966‏‎

Lettre D48
Durant les mois d'été, aussi bien vousFernando Sesma que Monsieur Dionisio Garrido Buendia, vous recevrez quelques notes très espacées avec un mélange sur les autres aspects de notre vie sur UMMO.

1967

Lettre E4
M. D. Dionisio Garrido

Calle Huesca N° 31 MADRID 20

Madrid, le 19 juin 1967.

Très cher Monsieur.
Je suis l'homme qui dactylographie les études dictées par les habitants d'UMMO. Je désire vous écrire aujourd'hui pour mon compte afin de vous donner une nouvelle. Je ne sais si vous avez appris par la presse des jours précédents que des soucoupes volantes ont été vues à Madrid le 1er juin. Donc: elle était à eux et je savais d'avance qu'elle allait venir et qu'elle serait seule et non plusieurs comme l'a dit un journal. [...] Ces Messieurs d'UMMO sont tous partis. Ce fut de façon soudaine. [...] Mais ils ont laissé entendre qu'au mieux ils reviendront, sans donner plus de détails de quand et où.

1968

Lettre D67
Monsieur Dionisio Garrido,
Mon premier désir repose sur l'expression de mes plus cordiaux saluts à vous, à votre honorable épouse, à vos enfants, spécialement au plus cher, que nous savons déjà rétabli de sa douleur circulatoire, et à vos frères attentifs à l'analyse de notre information offerte jadis par ces expéditionnaires qui les écrivent.

Octobre 1972‏‎

Lettre D101
[...] DIONISIO GARRIDO : Monsieur : la prochaine lettre à votre attention sera remise à un organisme autorisé. Mais il est nécessaire que vous y soyez inscrit officiellement comme adhérent. D'ailleurs il n'existe pas de raisons pour conseiller votre abstention. Il nous est impossible de communiquer avec des sociétés ou des personnes physiques non autorisées.

Janvier 1974

Lettre D112
Monsieur DIONISIO GARRIDO BUENDIA, dont l'affection et le respect pour notre communauté nous a ému en ces jours où nous n'en finissions pas d'admettre que vous, êtres de la Terre, puissiez accepter notre témoignage seulement basé sur des affirmations exprimées par voie typographique. Ce frère a facilité ma difficile mission d'établir un noyau dans cette nation, ou microréseau qui puisse être capable de se transformer en réceptacle et conservatoire de nos documents. Pour cela, je vous prie Monsieur AGUIRRE CEBERIO, de lui faire parvenir mon salut chaleureux et ému.

1983 : colloque Ummo

Garrido était présent au colloque UMMO les 19 et 20 mars au Collegio Mayor de San Agustin à Madrid.[1]

1988

22/11/1988 : condoléances

Condoléances pour le décès d'un fils de M. Garrido :

Lettre D520
A mon frère Dionisio Garrido BUENDA

Cher ami du groupe expéditionnaire tout entier,

Je ne vous ai jamais rencontré, mais mes frères se souviennent de vous avec une émotion frissonnante, franche, terriblement sincère, comme d’une relation semblable à aucune autre de toutes nos relations avec OYAGAA.

Je ne vous connais pas mais ailleurs, en un lieu lointain, j’évoque avec une certaine nostalgie, perdue dans les brumes sidérales, un souvenir que ne peut éteindre ni les distances ni les particules microscopiques de poussière galactique qui nous séparent.

Il est consolant d’avoir conscience qu’au travers de myriades de kilomètres, deux cerveaux comme le vôtre et celui de DEII 98, syntonisent leurs pensées pour vibrer dans l’amour du Cosmos.

Vous sublimez votre affectivité au plus profond de votre être au travers de peintures réunies dans une salle d’exposition. Et avec le sentiment vivant dans son rêve profond de rompre ce mystère inscrutable, là bas en terres lointaines, je trace sur votre main notre symbole qui nous rapproche plus profondément de notre calme environnement.

Et nous avons écouté les voix attristées presque inaudibles, suppliant que nous portions secours sans entendre au moins une voix d’espoir. Sans que le grand silence se voit rompu par une parole aimable, sans que le baume de la vie se rappelle d’une lumière qui s’éteint lentement.

Et doux sera dans le lointain, le jour où votre BUAWAAA se fondra en une étreinte serrée avec celle de votre fils aimé. Cette aurore s’illuminera irradiante pour toujours.

La soussignée, attentionnée, au nom de tous les expéditionnaires.

AARAUU 32, fille de OOBIII 31, sous couvert de YODAAUABA 5

23 octobre 1988

Le 23 octobre 1988 les gens du « groupe de Madrid » reçoivent une lettre de 2 pages co-signée par Farriols, Barrenechia, Dominguez, Aguirre, Lara Guitard, Garrido Buendia où le discrédit est jeté sur les lettres d’Ummo, spécialement sur celles reçues dans les premières années. Cette lettre aurait été inspirée par les ummites eux-mêmes si l’on en croit Farriols.[1]

Anecdote

D'où l'extrait suivant: "Dionisio a reçu pendant le temps de l'affaire OUMMO une preuve exceptionnelle de sa "réalité". Il a reçu un jour un paquet avec une lettre. Dans le paquet il y avais un gadget assez étrange (on me l'a décrit sans trop de précision, parce que seulement Dionisio l'a vu, et donc ma version est une version d'une version...)

"Ce truc" là était quelque chose de semblable à un "presque parallélépipède" en forme un peu tronconique. La surface supérieure était sombre et brillante. Dans la lettre il y avait des instructions pour faire fonctionner "ce truc". Il était dit de prononcer à haute voix un mot (un son) et après ça la surface du truc devenait transparente et sous forme holographique (tridimensionnel) on pouvait voir des scènes d'OUMMO. Paysages, XAABI , la mer, etc. Le truc n'arrêtait que si on prononçait à nouveaux le mot.

Dionisio fut averti qu'il allait pouvoir garder le gadget pendant 24 heures. Pendant ce temps il vu défiler des heures et des heures d'information graphique sur OUMMO sous forme de quelque chose comme un film tridimensionnel. A la fin du temps prévu, quelqu'un passa pour récupérer la chose. Après ça Dionisio raconta à ses compagnons ce qui s'était passé."

Références

  1. 1,0 et 1,1 Godelieve Van Overmeire : Synthèse de l’Ummocat de Darnaude. Historique de l'affaire Ummo