Vatican cité dans les lettres ummites : Différence entre versions
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Le Vatican est cité dans les lettres ummites dans les sujets suivants :
Sommaire
1965 : rapport confidentiel sur la religion d'Ummo adressé à l'observatoire du Vatican
Conformes à votre demande d'un rapport sur notre Culture, Philosophie et Religion. Vous comprendrez qu'il nous soit impossible de les résumer en quelques pages. Nous avons jugés suggestifs d'esquisser des morceaux choisis, qui englobent quelques unes de leurs caractéristiques les plus marquantes bien qu'il y ait un risque de le faire d'une manière non systématisée.
Un résumé plus étendu et cohérent a été remis en Mai 1965 au professeur K.I. Ivanov (Union Soviétique). Un autre rapport sur notre système religieux, de caractère confidentiel, a été adressé à l'observatoire de la Cité du Vatican (Italie).1967 : l'État de droit et droits de l'Homme
(juin 1967) Nous vous rappellerons que les juristes de votre propre astre, distinguent trois modèles de l'ÉTAT DE DROIT : [1] ÉTAT LIBÉRAL DE DROIT ; [2] ÉTAT SOCIAL DE DROIT ; [3] ÉTAT DÉMOCRATIQUE DE DROIT ou ÉTAT DE JUSTICE.
[...] Alors que l'attribut de "DROIT" est assigné UNIQUEMENT et EXCLUSIVEMENT aux États qui respectent LES DROITS BASIQUES DE L'HOMME consignés dans la Charte des Nations Unies de la Terre, par le CONCILE DU VATICAN II de l'Église Catholique Romaine, etc... les concepts ou libertés tels que la liberté de penser, droit d'expression, liberté de réunion et d'association etc... (voir appendice n°1). Sans ces conditions un État est considéré illégitime et immoral.
.../...
(APPENDICE 1)
SYNTHèSE DE LA DÉCLARATION DES DROITS DE L'HOMME
(Déclaration Universelle de l'ONU: Convention Européenne : Pacem in Terris: Concile Vatican 2)
DROIT à LA VIE ET à L'INTÉGRITÉ DE L'HOMME.
DROIT à LA LIBERTÉ DE CROYANCE, DROIT à LA MANIFESTATION PUBLIQUE DU CULTE DANS L'ÉGALITÉ DES CONDITIONS.
DROIT à LA LIBERTÉ DE RÉUNION ET D'ASSOCIATION. DROIT DE FORMER DES PARTIS POLITIQUES ET SYNDICATS LIBRES.
DROIT à LA LIBERTÉ DE RÉSIDENCE ET DE LIBRE CIRCULATION. INVIOLABILITÉ DE LA CORRESPONDANCE.
DROIT à OBTENIR UN NIVEAU DE VIE ÉCONOMICO-SOCIAL SUFFISANT. DROIT DE GRèVE. DROIT AU TRAVAIL.
DROIT AUX INSTITUTIONS D'UN ÉTAT LÉGAL DÉMOCRATIQUE. DROIT DE PARTICIPER à DES ÉLECTIONS LIBRES.
DROIT à L'ÉGALITÉ DEVANT LA LOI, SANS DISTINCTION DE PRIVILèGE DE CLASSE OU DE GROUPE.
DROIT DE NE PAS êTRE DÉTENU ARBITRAIREMENT ET DE BÉNÉFICIER AU CONTRAIRE DE LA PROTECTION JURIDIQUE ADÉQUATE.
Nous n'avons synthétisé que quelques droits qui distinguent un État Totalitaire d'un autre considéré légalement comme ÉTAT DE DROIT, suivant la convention terrestre. Les juristes spécialisés en Droit Politique considèrent ces notes comme preuves objectives pour qualifier l'immoralité et l'illégalité d'une structure sociale terrestre ou pour, au contraire en agréer le degré de légalité. [...]
(APPENDICE 2) [...]
Le défunt Pontife JEAN XXIII dit dans "PACEM IN TERRIS": "Pour cette raison, ces magistrats qui ne reconnaissent pas les droits de l'Homme ou les approuvent, non seulement faillissent eux même à leurs devoirs, mais aussi ils manquent à L'OBLIGATION qu'eux-mêmes prescrivent". (Partie 2)
1988 : fraude du Sindon de Turin
(11 novembre 1988) Secondo Pia accomplit en 1898 la tâche très difficile à cette époque de photographier le sindon en utilisant la lumière électrique. Alors le propriétaire était celui qui allait être roi d'Italie, Victor Emmanuel III.
Votre frère Secondo Pia fit une grande découverte en réalisant des négatifs de 50 x 60 cm sur plaques orthochromatiques. Pendant le tirage au laboratoire, les deux plaques révéleront une image normale d’une très belle expression. Sa découverte fut impressionnante et rapidement la nouvelle arriva aux oreilles de la hiérarchie Vaticane. Les membres de la Curie furent surpris; jusqu’alors on le considérait comme un faux et par conséquent dévalorisé, et ils exigèrent une information exhaustive. [...] La présence de sang DÉMONTE D’UN COUP LES PRÉMISSES QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang non coagulé). [...] Quelques cardinaux étaient au courant. Ils étaient moins de quatorze à avoir pris connaissance de l’affaire.
.../...
L'opération définitive de la fraude. Le traitement de la toile, comme on le sait aujourd'hui, commence à Novare (Italie) en mars 1927. On utilise une statue de fer [...] On obtint une empreinte de tissu qui fut réchauffée durant plusieurs mois au moyen d’une plaquette à résistance électrique. [...] On prit soin de dessiner sur les yeux deux pièces de monnaie (qui n’apparaissent pas sur l’original du sindon authentique), remplaçant ainsi les bandages. [...] Au mois de novembre 1927 le cardinal Gasparri et un autre cardinal non identifié par nous donnèrent leur approbation à cette toile. La commission secrète se décide à informer Pie XI mais cette dernière ne réussit pas à considérer que le Pontife ne se refusera pas au change frauduleux. Enfin au début de l’année 1929, l’échange du Sindon se fait secrètement derrière le dos de la maison de Savoie propriétaire de la relique. L’original est conservé dans la résidence du cardinal de Turin et son faux est mis sous clef sur l’autel de Bertola.
[...] en octobre 1988. Le cardinal Erdw. Cassidy osa informer pour la première fois un Pape, qui était en l’occurrence Jean Paul II, lequel entra en colère puis en dépression. Il convoqua immédiatement un noyau très réduit de cardinaux qui apprirent la fraude. Le cardinal Tomko était partisan de dire la vérité puisqu’il ne sera pas possible de changer le Sindon. Jean Paul appuyait timidement sa position tandis que le cardinal Ratzinguer s’y opposa fermement alléguant des raisons gravissimes de scandale. [...] la décision de verrouiller le scandale s’imposait, sa divulgation devant le déclencher immédiatement, contrairement à ce qui se passe dans des circonstances semblables. Ce fut le cardinal Ballestrero qui fut chargé de livrer un échantillon du tissu aux laboratoires.Voir aussi Suaire de Turin
1988 : phénomène ecclésial
(janvier 1988) [note 12] Le phénomène ecclésial a fait plus de mal que de bien a l'humanité de OYAGAATerre. Il a freiné le développement de la Science et de la Culture, il a jugulé la soif d'émancipation des conditions de pauvreté et d'esclavage. [...]
Dans les premiers temps, les communautés de quelques villes étaient d'authentiques modèles de comportement sur le plan éthique, et les chrétiens de nombreux groupes souffrirent de terribles persécutions, de tortures inhumaines, donnant un témoignage honnête de leur FOI. Mais le constantinisme anéantit les derniers vestiges d'un Réseau social fondé sur des principes communautaires et éthiques. Le plus grave n'est pas qu'il se soit structuré sous le mythe du primat Pierre, hiérarchisant son organisation et édifiant sa doctrine au moyen de dogmes. Ce qui a véritablement corrompu l'Église fut le pouvoir temporel et les idées paranoïaques des dignitaires et des théologiens.
Le vieux mythe du démon plagié dans les pages bibliques d'autres religions ancestrales de OYAGAA, fut assumé avec une grande intensité par les penseurs de cette institution, car cela leur permettait de justifier n'importe quelle conduite abominable. Ainsi on persécute de pauvres femmes par milliers, les accusant de cohabiter avec " satan ", dans une persécution nauséabonde que se partagent les chrétiens catholiques et protestants durant les siècles les plus sombres de votre histoire.
Tous les assassinats commis par les fanatiques (La nuit de la Saint Barthélemy, les assassinés de la Gironde, le génocide du prêtre Ante Palevic en collaboration avec les nazis, la mort de Giordano Bruno, les tortures et les crimes des franquistes espagnols, tortures horribles des militaires argentins soutenus par la hiérarchie catholique...), ont été justifiés par la morale de l'Église sous le motif que les victimes tentaient (en collaboration avec des forces inspirées par le pouvoir diabolique) de renverser l'ordre établi. Cette Église, est donc coupable de pervertir le message de Jésus, de lui enlever son prestige et en conséquence d'empêcher un processus de mentalisation du Réseau social qui lui permettrait de suivre les UAAlois.
Quand des OEMMIIhommes remplis de bonté, nobles et désireux de suivre la doctrine pure de Jésus, ont prétendu, de son sein même, réformer l'Église, le système, ou bien a créé une barrière antiseptique pour les isoler, ou bien les a purement et simplement éliminés. Vous pourriez choisir beaucoup d'exemples. François d'Assise, Jean XXIII, l'archevêque Romero, les fondateurs de la doctrine théologique de la Libération et le cas inouï de votre frère Albino (Jean-Paul I), assassiné avec une double capsule d'un agent botulinique et de cyanure potassique, quand il projetait d'exiger des comptes des responsables des finances et d'instaurer son nouveau plan (Carpeta azul. Documento S/655 "Multa paucis") de réforme profonde de l'économie.
Les espérances naïves selon lesquelles une structure à l'origine viciée puisse expérimenter une conversion, en retournant aux sources primitives de l'évangile, vos frères ont déjà observé qu'elles se sont évanouies après l'éclat du Concile de Vatican II. Le Souverain-Pontife Jean Paul II s'est chargé de le faire avorter. Les anticléricaux doivent se montrer très reconnaissants à sa personne. En peu d'années il a fait plus de mal à son église que tous ses ennemis athées.