Dionisio Garrido
L'espagnol Dionisio Garrido Buendia était un des principaux destinataires de la correspondance ummite de 1966 à 1996.
Sommaire
1966
1967
Calle Huesca N° 31 MADRID 20
Madrid, le 19 juin 1967.
Très cher Monsieur.
Je suis l'homme qui dactylographie les études dictées par les habitants d'UMMO. Je désire vous écrire aujourd'hui pour mon compte afin de vous donner une nouvelle. Je ne sais si vous avez appris par la presse des jours précédents que des soucoupes volantes ont été vues à Madrid le 1er juin. Donc: elle était à eux et je savais d'avance qu'elle allait venir et qu'elle serait seule et non plusieurs comme l'a dit un journal. [...] Ces Messieurs d'UMMO sont tous partis. Ce fut de façon soudaine. [...] Mais ils ont laissé entendre qu'au mieux ils reviendront, sans donner plus de détails de quand et où.
1968
Mon premier désir repose sur l'expression de mes plus cordiaux saluts à vous, à votre honorable épouse, à vos enfants, spécialement au plus cher, que nous savons déjà rétabli de sa douleur circulatoire, et à vos frères attentifs à l'analyse de notre information offerte jadis par ces expéditionnaires qui les écrivent.
1983 : colloque Ummo
Garrido était présent au colloque UMMO les 19 et 20 mars au Collegio Mayor de San Agustin à Madrid.[1]
1988
22/11/1988 : condoléances
Condoléances pour le décès d'un fils de M. Garrido :
Cher ami du groupe expéditionnaire tout entier,
Je ne vous ai jamais rencontré, mais mes frères se souviennent de vous avec une émotion frissonnante, franche, terriblement sincère, comme d’une relation semblable à aucune autre de toutes nos relations avec OYAGAA.
Je ne vous connais pas mais ailleurs, en un lieu lointain, j’évoque avec une certaine nostalgie, perdue dans les brumes sidérales, un souvenir que ne peut éteindre ni les distances ni les particules microscopiques de poussière galactique qui nous séparent.
Il est consolant d’avoir conscience qu’au travers de myriades de kilomètres, deux cerveaux comme le vôtre et celui de DEII 98, syntonisent leurs pensées pour vibrer dans l’amour du Cosmos.
Vous sublimez votre affectivité au plus profond de votre être au travers de peintures réunies dans une salle d’exposition. Et avec le sentiment vivant dans son rêve profond de rompre ce mystère inscrutable, là bas en terres lointaines, je trace sur votre main notre symbole qui nous rapproche plus profondément de notre calme environnement.
Et nous avons écouté les voix attristées presque inaudibles, suppliant que nous portions secours sans entendre au moins une voix d’espoir. Sans que le grand silence se voit rompu par une parole aimable, sans que le baume de la vie se rappelle d’une lumière qui s’éteint lentement.
Et doux sera dans le lointain, le jour où votre BUAWAAA se fondra en une étreinte serrée avec celle de votre fils aimé. Cette aurore s’illuminera irradiante pour toujours.
La soussignée, attentionnée, au nom de tous les expéditionnaires.
AARAUU 32, fille de OOBIII 31, sous couvert de YODAAUABA 523 octobre 1988
Le 23 octobre 1988 les gens du « groupe de Madrid » reçoivent une lettre de 2 pages co-signée par Farriols, Barrenechia, Dominguez, Aguirre, Lara Guitard, Garrido Buendia où le discrédit est jeté sur les lettres d’Ummo, spécialement sur celles reçues dans les premières années. Cette lettre aurait été inspirée par les ummites eux-mêmes si l’on en croit Farriols.[1]
Liens
- Manuel R (28 juillet 2004) : Dionisio Garrido travaillait dans la sécurité. C'était un homme avec la conviction la plus ferme sur l'affaire UMMO.
Références
- ↑ 1,0 et 1,1 Godelieve Van Overmeire : Synthèse de l’Ummocat de Darnaude. Historique de l'affaire Ummo