Modèle Janus

De UMMO WIKI
Révision datée du 22 septembre 2018 à 10:55 par MarinaC (discussion | contributions) (cat, wiki)
Aller à : navigation, rechercher

Il semble que ce soit à partir de la transmission téléphonique classée H2 que Jean-Pierre Petit ait commencé à travailler sur un modèle cosmologique bi-métrique ayant amené au modèle Janus.

Aucune vérification n'est évidemment possible concernant le contenu de cette conversation de Luis Jiménez Marhuenda avec un oummain le 22/03/1987, lequel aurait expliqué" En réalité le Trou Noir est impossible, parce que quand une étoile collapse, arrive un moment où elle se convertit en étoile neutronique. Si elle continue à collapser, arrive un moment où elle disparaît de notre univers par « effet frontière ». Le trou noir cesse d’exister et l’univers réduit sa masse dans la masse de l’étoile collapsée. Ce que vous considérez comme des trous noirs sont en réalité des étoiles neutroniques et non des authentiques trous noirs. Par exemple, une des premières étoiles neutroniques est dans la constellation du Cygne à 8.365 années lumière. En réalité c’est une étoile neutronique, pas un trou noir. Le rayon de Schwarzschild apparaissait et disparaissait instantanément. C’est instantané. En cet instant la masse du trou noir s’est convertie en masse NÉGATIVE dans l’autre univers. La masse a disparu, entendue comme masse négative, masse avec une charge négative c'est-à-dire charge électrique différente. Et l’énergie du trou noir s’est convertie en masse. "

Il semble néanmoins y avoir quelques différence entre les écrits oummains et le modèle Janus, en particulier dans la lettre D357-2 qui semble spécifier que chaque couple WAAM / UWAAM est caractérisé par une vitesse de la lumière  :

Lettre D357-2

Note 1.1 (1 bis) Vous acceptez - dans votre version de la science - l'existence d'un seul Univers, bien que les auteurs de science-fiction de la Terre soient familiarisés avec la notion "fantastique" d'autres mondes et univers. Pour nous, la vision d'un cosmos multiface ou d'un multi-univers n'est pas qu'une simple spéculation mais, bien au contraire, est prouvée jusqu'à satiété. A tel point que nous réalisons nos voyages intragalactiques au sein du cosmos le plus voisin du nôtre.

Permettez-nous de nous étendre sur ce point. Nous appelons WAAa-WAAM le faisceau ou ensemble d'univers existants que nous estimons en nombre infini (bien que nous n'ayons pu le constater, n'ayant détecté qu'une partie d'entre eux). La caractéristique primaire qui les distingue chacun est la vitesse d'un quanton ou unité discrète d'énergie électromagnétique en leur sein.

En réalité, il s'agit d'une famille de paires de cosmos, de WAAN.

Chaque paire sera formée de "matière prédominante" ou "d'antimatière prédominante", sans que cela implique que dans un waam ne puisse exister en plus d'une masse positive, une masse négative, et dans un des deux membres du couple : une masse "imaginaire" dont la vitesse minimale est la vitesse limite du quanton E-M (électro-magnétique).

De cette façon est invariant, dans les deux WAAM cosmiques, tant la tridimensionnalité du système (longueur, largeur, hauteur) que l'existence de quatre types de masse :

+ m, - m, (+ √ - 1) m, (- √ - 1) m.

Observons cependant que: tandis que dans les deux se manifestent les dimensions de longueur et de temps et que les deux types de masse réelle peuvent s'isoler dans les deux WAAM, avec une prédominance élevée dans chacun d'eux de signes respectifs de masse, la "M - non - réelle" (Le terme "non" réel doit s'entendre sémantiquement sur Terre dans le langage mathématique, c'est-à-dire NON REEL, il ne faut pas l'interpréter comme NON EXISTANT, mais comme "situé dans un autre cadre").

Il est clair qu'il peut exister autant de couples de cosmos que de vitesses du quanton électromagnétique (cosmos et anticosmos gémellaire).

Anticosmos gémellaire (Ndt: U-WAAM) ne veut pas dire que sa configuration galactique soit similaire à celle du nôtre. Dans notre anticosmos, il n'existe pas un Anti-UMMO ni une Anti-Terre jumeaux.

Dans la pratique, les scientifiques d'Ummo et également en partie nos voyageurs explorateurs (moi-même ai voyagé par un autre WAAM) connaissons une "vingtaine" de WAAM. Les uns par simple détection, les autres parce que nous les avons visité dans nos voyages et deux autres par inférence scientifique.

Nous sommes convaincus qu'il en existe beaucoup plus et rien ne s'oppose à ce que leur nombre soit infini.
Lettre D731

L'Univers réel se compose d'une famille de paires de Cosmos. Dans chaque paire d'UNIVERS-ANTIUNIVERS, prédomine un type de masse + M et - M (les signes sont conventionnels). De plus, chaque couple se caractérise par la vitesse qu'atteint dans le vide un quanton ou photon d'énergie électromagnétique.

Nous appelons WAAM-WAAM cette gerbe d'Univers. Nous soupçonnons qu'il existe réellement une infinité de paires de Cosmos (nous n'en connaissons vraiment que quelques-uns), une partie d'entre eux accessibles dans nos voyages entre deux points de notre Galaxie. Nous savons que les différents Univers ont des interactions entre eux. Les singularités de l'un d'eux (masses ± √ - m concentrées) influencent les Univers adjacents (sans masse ± √ - m).

Quatre de ces Univers nous intéressent spécialement, vous et nous, c'est-à-dire OYAGAA (Terre) et OYAUMMO (Astre froid Ummo). En premier lieu, notre propre anti-Cosmos. En lui prédomine ce que vous appelez Antimatière (Masse "sensiblement égale à" - M). Il y a aussi en lui de petites quantités de + M. Notre Cosmos jumeau provoque dans le nôtre des perturbations qui se traduisent par des plissements dans notre "continu" espace temps. Ce sont ces plis qui nous permettent d'effectuer des voyages entre OYAA (Astres planétaires non brûlants) en moins de temps qu'il faudrait en suivant une trajectoire photonique.

Les perturbations entre Cosmos sont produites parce que dans l'un d'entre eux se trouve un type de masse que vous qualifieriez mathématiquement d' IMAGINAIRE (dans un autre cadre du faisceau tridimensionnel). Cette masse imaginaire a comme vitesse "au repos" (énergie maximale) la vitesse d'un paquet d'énergie électromagnétique (photon) ± √ - m. L'existence de cette masse permet l'interaction ou action mutuelle, entre Univers, bien que la masse imaginaire mentionnée se localise seulement dans un des membres du couple. L'interaction ne serait pas possible si la matière se trouvait distribuée isotropiquement (uniformément), ce qui évidemment n'arrive pas. (la phrase suivante est rajoutée à la main: Sauf à l'instant initial du Cosmos).

Il existe une infinité de paires d'Univers (beaucoup d'entre elles en phase terminale) avec une masse sous-critique. Ces Univers (comme les autres) naquirent avec un rayon infini et une répartition de masse isotrope (cristal cosmique) et une densité nulle. Le rayon allait en diminuant (la direction ou sens du temps était négative par rapport à l'actuelle). Mais la perturbation des Cosmos adjacents fit que se produisirent des Singularités de masse (c'est-à-dire : d'abord des Nébuleuses de gaz et de poussières, futures galaxies), cessant d'être isotropes ou cristaux cosmiques. (Nous appelons cristal cosmique un Univers dont la densité de masse est constante en n'importe quel point et qui présente les mêmes propriétés dans n'importe quel axe ou direction).

Liens

Pour aller plus loin dans la compréhension du modèle Janus: