Équipement
Cette page propose la liste des équipements qui sont utilisés par les Oummains lors de leurs expéditions sur d'autres planètes, suivant les informations reçues
sans doute à compléter . Voir aussi Voronej
Sommaire
D57-3
L'individu est doté d'un nouvel épiderme plastique qui permet la transpiration en empêchant en même temps l'infiltration à travers ses pores d'agents chimiques et biologiques. Au préalable on dispose, près des orifices naturels, une série de dispositifs avec des fonctions adaptées aux nécessités de chaque organe.
des capsules placées dans les fosses nasales fabriquent de l'oxygène et de l'azote à partir de la transmutation du carbone pur. De plus: l'anhydride carbonique (CO2) est capté par le même dispositif décomposé en éléments basiques, carbone et oxygène,
Le carbone du CO2 est "transmutés" avec une libération d'énergie qui est utilisée pour le réchauffement de l'épiderme.
Les yeux sont équipés avec un système optique composé par des lentilles de gaz qui, contrôlées par un ordinateur, permettent l'adéquation de la vision, aussi bien dans un milieu atmosphérique que dans le vide des espaces sidéraux.
Bouche: un double tube conduit à un équipement situé dans la région lombaire et se termine par un dispositif assujetti à la lèvre inférieure. Le tube est doté, à l'intérieur, de cils mécaniques qui poussent lentement en son sein des capsules qui contiennent divers aliments concentrés. Ces capsules, de section elliptique, sont protégées par une très mince pellicule gélatineuse très soluble dans la salive. Un signal transmis d'une manière codée par la paupière (en ouvrant et en fermant celle-ci un nombre-séquence de fois) pousse différentes capsules jusqu'à la bouche pour l'alimentation du frère explorateur. L'autre conduit transporte un sérum nutritif avec différentes concentrations régulées.
L'eau nécessaire est obtenue en grande partie par la propre urine de l'individu (après un processus d'élimination de sels, purification intégrale et durcissement de l'eau chimiquement pure par des carbonates.)
Les oreilles sont pourvues de sondes transducteurs acoustiques excités par un UAXOO-AAXOO (émetteur récepteur par ondes gravitationnelles) qui sert pour transmettre de courts messages parmi les membres du groupe. Les messages ou conversations d'une certaine durée se réalisent presque toujours par voie télépathique.
Une sonde qui est introduite dans le rectum, au travers de l'anus, recueille les matières fécales préalablement traitées par un courant turbulent d'eau à 38° terrestres avec une succion provoquée par un dispositif fixé sur les fesses. Là elles sont décomposées en éléments chimiques de base. Une partie de ceux-ci est gazifiée et transmutée en oxygène et hydrogène qui serviront pour obtenir synthétiquement de l'eau liquide qui compensera le cycle urine-eau par ingestion dans ces pertes de transpiration. Le reste de ces éléments est transmuté en IODE qui sera expulsé à l'extérieur sous forme gazeuse.
Une fois tous ces dispositifs placés (tous de petits volumes) sur son épiderme, l'individu nu est pulvérisé avec des aérosols protecteurs différents. Tous forment une fine pellicule élastique qui constitue un véritable épiderme protecteur. Le sujet jouit ainsi d'une liberté de mouvement et peut s'habiller avec des vêtements spéciaux et se mouvoir librement au sein d'une atmosphère adverse au point de vue biologique. Ce nouvel épiderme, cette nouvelle peau, ne protège pas des effets expansifs de la pression sanguine s'il se trouve par exemple à la surface d'un astéroïde pratiquement dépourvu d'atmosphère. Dans ces cas, l'explorateur n'utilise aucun scaphandre spécial supplémentaire.
La couche la plus superficielle est recouverte maintenant par une nouvelle couche élastique métallisée qui, observé avec un dispositif optique de fort agrandissement, présente une structure réticulaire (une authentique maille). Ainsi les mouvements corporels sont maintenant plus lents à cause de la plus grande rigidité du système mais il n'empêche pas lea mobilité générale de l'OEMII.
En plus de ses équipements individuels, les expéditionnaires sont équipés de dispositifs pour la conversion de l'azote, du carbone, de l'oxygène, de l'hydrogène, de l'eau en hydrates de carbone et autres composants basiques pour l'alimentation d'urgence, à utiliser sur OYAAGAA au cas où les molécules protéiques, aminoacides et esters des aliments terrestres soient inverses de ceux d'UMMO (vous savez tous que chaque molécule organique asymétrique peut adopter deux formes dans l'espace: dextrogyre ou bien lévogyre).
Il fallait aussi des appareils pour la purification de l'eau et sa synthèse,
Autres équipements
- - sondage,
- - photographie (nous utilisons d'autres systèmes de fixation des images, donc dans ce cas le mot photographie est incorrect), les équipements XOOIMAA UYII (sonde géologique) UULUEWAA (dispositif qui permet de capter des sons et prendre des images ou contrôler les différents facteurs physiques du milieu, contrôlé à distance), ainsi que les
- - dispositifs de défense dont nous ne pouvons vous révéler la nature pour des raisons évidentes.La dotation était complétée par des
- - détecteurs spéciaux pour la mesure des grandeurs physiques,
- - systèmes d'enregistrement de fonctions géologiques et atmosphériques,
- - équipements de télémétrie,
- - équipements d'analyse moléculaire et spectrale.
D57-5
Voir cette lettre
Nos frères allaient couverts d'EEWEEGOO (vêtements). Leur aspect extérieur était celui de vulgaires bleus de travail terrestres très serrés. En réalité il s'agit d'une fine pellicule qui a été pulvérisée au moyen d'une tuyère d'aspersion sur l'épiderme du thorax, du dos, des bras et des jambes. C'est une substance dont la base principale est constituée par un composant de silice en dissolution colloïdale dans un produit volatile. Ce liquide en étant pulvérisé sur la peau évapore immédiatement le diluant laissant cette dernière recouverte d'une légère couche ou pellicule opaque et poreuse de caractère anti-électrostatique. C'est le seul vêtement que nous utilisons quand nous travaillons en contact intime avec la nature.
Voir la série des D69 sur les UEWA
D69-1|EEWEEANIXOO
Le EEWEANIXOOconstitue ce que vous appeleriez un "SCAPHANDRE" ou VÊTEMENT. En réalité cette protection est progressivement remplacée par d'autres aux caractéristiques différentes pour certaines conditions de vol. Le EEWEEANIXOO OOE est précisément utilisé pendant la phase dans laquelle l'AYIYAA OAYU (IMAGE 1 12) ou CABINE TOROIDALE est remplie d'une GELÉE que nous appelons DAXEE . Cette masse gélatineuse, en dehors d'autres fonctions, agit comme un amortisseur pendant les procédures d'accélération ou de décélération de l'UEWA.
L'OEMII voyageur est ainsi encastré au sein de cette masse visqueuse, directement isolé de ses frères et soumis à la dynamique d'accélération qui ont quelquefois dépassé les 245 mètres/s2 (bien que ces pics d'accélérations durent peu de fractions de UIW). La description aussi bien de ces "VÊTEMENTS" que du système BIEWIGUU AGOYEE (CONTRÔLE PSYCHIQUE ET PHYSIOLOGICO-BIOLOGIQUE) exigerait sur le plan de la divulgation autant de pages qu'en contient ce document.
Comme résumé nous vous indiquerons que le EEWE (VÊTEMENT) est une membrane complexe qui entoure d'une manière périphérique le corps du voyageur sans que sa surface établisse un contact quelconque avec l'épiderme de l'OEMII (CORPS HUMAIN). L'ensemble se trouve situé dans la masse gélatineuse d'une façon telle, qu'au moment où va se produire une accélération dans une direction déterminée, la substance gélifiée se liquéfie dans l'environnement, et le corps du voyageur adopte avec l'aide extérieure une posture apte à rendre les effets minimes. L'espace qui sépare la surface interne du EEWEEANIXOO OOE de la peau humaine, est rigoureusement contrôlé en fonction du degré de vasodilatation capillaire de l'épiderme et de la transpiration de celui-ci. De cette façon, la chaleur métabolique du corps adopte les valeurs normales dans les conditions habituelles du vol. Pression, absorbtion de dioyde de carbone, régulation de l'azote, oxygène, vapeur d'eau et autres composantes des constituants internes, sont autorégulés en fonction de l'information que proposent les détecteurs qui contrôlent à chaque instant les activités métaboliques et physiologiques de l'appareil respiratoire, circulatoire et épidermique.
Les équipements de contrôle physiologique ont été dotés de sondes transductrices non invasives qui vérifient presque toutes les fonctions organiques, à l'intérieur des tissus organiques, sans que l'introduction de tels xxxxxxx (je ne sais pas bien s'il a dit UAXUOETY ou OAXUOETT. Cette note est écrite à la machine) soit nécessaire. Depuis l'activité musculaire et l'évaluation des niveaux de glycogène et acide lactique, jusqu'au contrôle complexe de l'activité neurocorticale qui fournit des données précises sur l'état psychique du sujet, toute la gamme des dynamismes biologiques est enregistrée et fournie ce courant informatif à travers près de 2,16.106 canaux informatifs jusqu'à un XANMOO qui, après les avoir comparés avec des modèles standard, "dicte" les réponses effectrices ou motrices aux organes du BIEWIGUU AGOIEE.
L'alimentation s'effectue par l'introduction de pâte par voie orale. Quelques aliments et l'eau sont introduits sous forme de capsules avec un emballage insipide qui se dissout au contact de la salive. Le gradien thermique varie dans les différentes zones périphériques de l'enceinte. La sensation que nous éprouvons dans le voyage pendant la phase OOE durant les intervales où l'accélération est nulle ou modérée, peut se définir comme étant une paisible sensation de flottement dans un matelas d'air tiède. On ressent à peine les effets vestibulaires provoqués par la rotation de la AYIYAA OAYUU pour créer une gravité artificielle, grâce à l'introduction à proximité du labyrinthe membraneux de deux dispositifs de contrôle grâce à une simple opération chirurgicale (deux implants en forme d'aiguille sont introduits sans abîmer les tissus ni le réseau artériel et neuronal).
L'enceinte qui sépare l'épiderme du EEWE subit, au niveau du visage, un élargissement considérale de forme tronconique. La base d'un tel tronc cernant depuis l'oeil jusqu'à une distance de 23 centimètres, avec un angle de 130° sexagésimaux, représente un écran pourvu sur sa surface de quelque 16.107 centres excitables capables de diffuser chacun, avec divers niveaux d'intensité, tout le spectre électromagnétique entre 3,9.1014 et 7,98.1014 cycles/seconde. La définition des images obtenues est suffisamment élevée pour que les deux yeux ne puissent faire la différence entre les perceptions visuelles normales et celles engendrées artificiellement par cet organe. La vision binoculaire est réalisée grâce à la disposition prismatique de chaque centre émetteur. L'excitation de faces opposées, pour que un des deux yeux n'ait pas accés à l'image de l'autre, se réalise d'une manière très complexe (IMAGE A) . Un transducteur enregistre les champs électriques engendrés par les muscles oculaires des deux globes (véritables électromyogrammes). Le XANMOO connaît ainsi, à chaque instant, l'orientation de l'axe de la pupille. D'autres part, les prismes excitables qui composent le panneau (ces derniers étant de dimensions microscopiques) sont situés sur la surface d'une couche d'émulsion visqueuse qui leur permet de tourner librement. Ces prismes sont contrôlés mécaniquement par un champ magnétique double, de sorte que la moitié d'entre eux obéissent à une composante horizontale et l'autre moitié à une composante transversale. De cette manière l'un et l'autre groupe orientant leurs faces indépendamment comme des stores vénitiens utilisés par les terrestres orientent indépendamment leurs lames quand on tire sur les cordes qui règlent l'angle pour l'entrée de la lumière (dans ce cas les "cordes" seront les deux champs magnétiques, et le facteur moteur la réponse du XANMOO aux micro-mouvements musculaires du globe oculaire).
La perception binoculaire offre des images en relief normal, pour que le sujet croit qu'il est en train de vivre un monde réel loin de l'environnement et de la masse gélatineuse qui l'entoure. Il peut essayer de prendre les objets qu'il "voit près de lui" et comme la liberté de mouvement est large malgré la résistance du milieu visqueux, il est conseillé "d'essayer" pour éviter l'inactivité musculaire.
Les stimuli acoustiques sont synchronisés avec l'image. Le voyageur peut voir les visages de ses frères, parler avec eux ou se plonger dans le paysage figé d'ANAUGAA (espèce arborescente) de nos lointaines forêts de UMMO. Deux YOYGOAAXOO logés dans les fosses nasales fournissent en séquences, moins riches que dans le milieu naturel mais suffisamment rapides, des programmes d'IAIKEAI (STIMULI OLFACTIFS) synchronisés aussi avec les images. Ceci est un des aspects du contrôle psycho-biologique auquel est soumis le frère voyageur. Nous pouvons à volonté visualiser les équipement de contrôle de l'UEWA ou lire un texte d'étude. Un des moyens parmis les plus intéressants est BOOGOO. Grâce à ce système les mouvements musculaires imitant la préhension d'un stylet (vous l'appelleriez crayon ou pinceau) sont injectés après leur enregistrement au XANMOO. Celui-ci ordonne les réponses de la main comme si celle-ci avait effectivement fait un dessin, un graphique ou un texte. L'image artificielle de cette composition fictive apparaît sur le panneau binoculaire comme si nous avions effectivement dessiné sur une surface de tels caractères graphiques.
Un dispositif intégré dans le rectum recueille la défécation du voyageur. Celle-ci est en premier lieu déshydratée, les résidus sont ensuite, par une analyse chimique rigoureuse, dissociés et transmués en oxygène ou autre élément chimique gazeux. Quelque chose de semblable est réalisé avec l'urine pour que l'eau chimiquement pure des deux excrétions ajoutée à celle qui reste de l'enceinte gazeuse du EEWE (dont le degré d'humidité est une fonction continuellement régulée) soit renvoyée aux réservoirs centraux sous forme de vapeur.
Voir l'article 35 sur ummo-sciences: À propos de l’écran de réalité virtuelle du scaphandre ummite; Un article calculant la résolution de l'écran de réalité virtuel du scaphandre oummain puis la compare au pouvoir séparateur de l'oeil humain. (10/28/2020, Julien Geffray)