Corée du Nord citée dans les lettres ummites
La Corée du Nord est citée dans les lettres ummites dans les sujets suivants :
Sommaire
1945 : conférence de Yalta
- à ne pas intervenir directement dans la guerre civile ;
- à limiter l'aide au gouvernement Nationaliste à des niveaux qui seraient supervisés par des représentants de l'Union Soviétique et des États-Unis.
- Interdiction pour un présumé gouvernement socialiste implanté en Chine d'étendre son aire d'influence, en cas de victoire des forces populaires (ainsi que cela arriva), en dehors du territoire chinois.
- engagement de la part des États-Unis de concéder des crédits pour un montant non encore déterminé, au nouveau gouvernement populaire en cas de triomphe.
- au cas où les troupes chinoises soviétiques seraient en déroute : promesse des USA d'exercer leur influence sur le gouvernement nationaliste pour obtenir une amnistie générale des révolutionnaires.
Staline exerça ainsi une contrainte sur son collègue des États-Unis, en le forçant encore à un compromis de plus : que si on ne le consultait pas, cela supposerait le retrait de l'Union Soviétique en ces jours si critiques pour cet astre solidifié.
Les États-Unis, sous la pression des autres alliés et de l'opinion publique des pays de structures capitalistes, violèrent l'accord en protégeant le dictateur chinois dans son réduit de Formose. La Russie et la Chine répondirent en intensifiant le refroidissement des relations entre les deux blocs, en imposant d'abord son influence sur le Tibet et en appuyant militairement la Corée, un petit pays au Nord de l'Asie. Les États-Unis ne se sentirent plus obligés de respecter la clause prématurée d'aide pécuniaire à la République Populaire de Chine et celle-ci eut à affronter au début une série de graves difficultés internes dans son propre processus de reconversion.1950 : gouvernement français avait des problèmes beaucoup plus graves à traiter
1975 : plan d'urgence pour éviter un suicide collectif sur Terre
Il fut immédiatement convenu d'adopter les mesures pertinentes pour prévenir cette urgence. PREMIÈREMENT : construction en différents points de OYAGAA de bases souterraines dotées de l'étanchéité et de moyens d'autoapprovisoinnement en oxygène, eau, énergie et produits d'alimentation. De telles installations furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un contingent réduit d'OEMMIIhommes de OYAGAATerre, qui assurerait leur survie en cas d'attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques, y compris toute la période postérieure du risque d'agression physique et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s'étendre à environ cinq cents jours terrestres).
DEUXIÈMEMENT : equipement de ces bases avec du matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct des nations suivantes : Etats Unis d'Amérique du Nord, Union des Républiques Socialistes Soviétiques, Canada, Grande Bretagne, République Populaire de Chine.
Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait de UMMO avec d'importantes dotations de matériel technologique de coercition, afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République Fédérale d'Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon, République du Vietnam, Corée du Nord, Angola, République Sud Africaine, Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique, Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.
On permettrait durant un temps court la souveraineté aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive de procéder au démantèlement de leur infrastructure militaire (excepté leur force policière), jusqu'à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés par mes frères. [...]
[...] Naturellement, nous ne pouvons pas vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive, et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l'hippocampe, qui bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l'Etat.