Suaire de Turin : Différence entre versions

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==Petit résumé ==
 
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On a cru comprendre dès ce tweet que Benoît XVI n’avait pas pour le moment raconté François le fraude commis sur le Suaire.
 
  
Plus tard OAY avait aimé quelques tweets qui nous mettaient de plus en plus sur cette piste. En fait une personne du groupe GR1 avait demandé, en privé, OAY de liker n’importe quel touite relié au Suaire au cas il serait en train de nous encourager pour répéter cette requête sur le Suaire.
 
  
Par la suite OAY avait, dans une rapide suite, liké ces deux touites 1. Sur Lier et 2. Sur l’église de St. Gummarus en Lier où elle est gardée une copie du Suaire datant de 1516, avant l’incendie qui endommagea le Suaire.
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On a cru comprendre, par ce tweet, que Benoît XVI n’avait pas pour le moment raconté au Pape François la fraude commis sur le Suaire.
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Plus tôt OAY avait aimé quelques tweets qui nous mettaient de plus en plus sur cette piste. En fait une personne du groupe GR1 avait demandé, en privé, à OAY de liker n’importe quel touite relié au Suaire au cas il serait en train de nous encourager pour répéter cette requête sur le Suaire.
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Par la suite OAY avait, dans une rapide suite, liké ces deux touites 1. Sur Lier et 2. Sur l’église de St. Gummarus en Lier où elle est gardée un tableau à l'échelle 1/3 du Suaire datant de 1516, avant l’incendie qui endommagea le Suaire.
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Alors bien, Ok, on serait d’accord pour refaire ce requête, mais pourquoi est si important pour l’humanité, pour notre évolution future, de connaître la réalité sur le Suaire ?
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Pourquoi est ce si important pour l’humanité, pour notre évolution future, de connaître la réalité sur le Suaire ?
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Si on lit les lettres D488, D499, D505, D518, on apprend que (selon les oummains) quand Secondo Pia avait photographié pour la première fois, en 1898, le Suaire il avait découvert dans le négatif de la photo l’empreinte très détaillé d’un homme crucifié. Mais ce qui avait le plus alarmé les autorités catholiques qui suivaient le cours de cette première session photographique, ce fut l’existence de sang non coagulée sur le suaire.
 
Si on lit les lettres D488, D499, D505, D518, on apprend que (selon les oummains) quand Secondo Pia avait photographié pour la première fois, en 1898, le Suaire il avait découvert dans le négatif de la photo l’empreinte très détaillé d’un homme crucifié. Mais ce qui avait le plus alarmé les autorités catholiques qui suivaient le cours de cette première session photographique, ce fut l’existence de sang non coagulée sur le suaire.
  
D505 : « Les membres de la Curie furent surpris; Jusqu’alors on le considérait comme un faux et par conséquent dévalorisé, et ils exigèrent une information exhaustive. Ce fut précisément votre frère biologiste Paul Vignon qui découvrit le mystérieux effet sur le tissus. Les vapeurs ammoniacales réagissent avec l’aloètine (ne pas oublier que le OEMMIWOA éTAIT BADIGEONNé D’ALOéS COMME ONGUENT CURATIF), générant une production de couleur jaune et un certain degré de viscosité qui tacha le tissu.
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{{Lettre|D505| : « Les membres de la Curie furent surpris; Jusqu’alors on le considérait comme un faux et par conséquent dévalorisé, et ils exigèrent une information exhaustive. Ce fut précisément votre frère biologiste Paul Vignon qui découvrit le mystérieux effet sur le tissus. Les vapeurs ammoniacales réagissent avec l’aloètine (ne pas oublier que le OEMMIWOA éTAIT BADIGEONNé D’ALOéS COMME ONGUENT CURATIF), générant une production de couleur jaune et un certain degré de viscosité qui tacha le tissu.
  
 
Ce fut le docteur Vignon qui mit en garde les quelques responsables quand eut lieu la découverte grandiose ! Le sang du " cadavre " était " frais " ! En différentes occasions il y eut des expertises similaires, Yves Delage et d’autres biologistes se relayèrent pour confirmer sa thèse. Comment est-il possible qu’elle ne soit pas prise en compte? De même Barbet s’étonna. Le sang coagulé ne laisse pas de traces durables et les spécialistes le savent. En outre, ne figurent pas sur le cadavre les marques de bandage correspondant à un cadavre, point qui a été " oublié ".
 
Ce fut le docteur Vignon qui mit en garde les quelques responsables quand eut lieu la découverte grandiose ! Le sang du " cadavre " était " frais " ! En différentes occasions il y eut des expertises similaires, Yves Delage et d’autres biologistes se relayèrent pour confirmer sa thèse. Comment est-il possible qu’elle ne soit pas prise en compte? De même Barbet s’étonna. Le sang coagulé ne laisse pas de traces durables et les spécialistes le savent. En outre, ne figurent pas sur le cadavre les marques de bandage correspondant à un cadavre, point qui a été " oublié ".
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Se met alors en marche une opération pour "éliminer" des preuves avec le secret dessein de " découvrir l’imposture " dans le cas où l’affaire serait rendue publique. C’est une décision très grave. La présence de sang DÉMONTE D’UN COUP LES PRÉMISSES QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang non coagulé) .
 
Se met alors en marche une opération pour "éliminer" des preuves avec le secret dessein de " découvrir l’imposture " dans le cas où l’affaire serait rendue publique. C’est une décision très grave. La présence de sang DÉMONTE D’UN COUP LES PRÉMISSES QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang non coagulé) .
  
Il est nécessaire d’insister : l’hypothèse du Dr Vignon (Docteur en Sciences Naturelles) est correcte (Vaporographie) jointe à celle du Dr. René Colson (Médecin, membre de l’Académie des Sciences de Paris). C’est ce que tous les experts attestent depuis que, en 1532 le cardinal Louis Gorrevad l’a examiné à fond et est parvenu à la même conclusion. »  
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Il est nécessaire d’insister : l’hypothèse du Dr Vignon (Docteur en Sciences Naturelles) est correcte (Vaporographie) jointe à celle du Dr. René Colson (Médecin, membre de l’Académie des Sciences de Paris). C’est ce que tous les experts attestent depuis que, en 1532 le cardinal Louis Gorrevad l’a examiné à fond et est parvenu à la même conclusion. » }}
 
    
 
    
 
J’entends parfois cette question. Pourquoi serait-il si important pour nous de découvrir que Jésus n’est pas mort sur la croix ?
 
J’entends parfois cette question. Pourquoi serait-il si important pour nous de découvrir que Jésus n’est pas mort sur la croix ?

Version du 28 août 2017 à 14:45

Voir les lettres D488, D499, D505, D518, D792-2 et tweets O6 ainsi que de OAY

Ainsi que l'analyse 5

Petit résumé

On a cru comprendre, par ce tweet, que Benoît XVI n’avait pas pour le moment raconté au Pape François la fraude commis sur le Suaire.

Plus tôt OAY avait aimé quelques tweets qui nous mettaient de plus en plus sur cette piste. En fait une personne du groupe GR1 avait demandé, en privé, à OAY de liker n’importe quel touite relié au Suaire au cas il serait en train de nous encourager pour répéter cette requête sur le Suaire.

Par la suite OAY avait, dans une rapide suite, liké ces deux touites 1. Sur Lier et 2. Sur l’église de St. Gummarus en Lier où elle est gardée un tableau à l'échelle 1/3 du Suaire datant de 1516, avant l’incendie qui endommagea le Suaire.

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Pourquoi est ce si important pour l’humanité, pour notre évolution future, de connaître la réalité sur le Suaire ?

Si on lit les lettres D488, D499, D505, D518, on apprend que (selon les oummains) quand Secondo Pia avait photographié pour la première fois, en 1898, le Suaire il avait découvert dans le négatif de la photo l’empreinte très détaillé d’un homme crucifié. Mais ce qui avait le plus alarmé les autorités catholiques qui suivaient le cours de cette première session photographique, ce fut l’existence de sang non coagulée sur le suaire.

Lettre D505
 : « Les membres de la Curie furent surpris; Jusqu’alors on le considérait comme un faux et par conséquent dévalorisé, et ils exigèrent une information exhaustive. Ce fut précisément votre frère biologiste Paul Vignon qui découvrit le mystérieux effet sur le tissus. Les vapeurs ammoniacales réagissent avec l’aloètine (ne pas oublier que le OEMMIWOA éTAIT BADIGEONNé D’ALOéS COMME ONGUENT CURATIF), générant une production de couleur jaune et un certain degré de viscosité qui tacha le tissu.

Ce fut le docteur Vignon qui mit en garde les quelques responsables quand eut lieu la découverte grandiose ! Le sang du " cadavre " était " frais " ! En différentes occasions il y eut des expertises similaires, Yves Delage et d’autres biologistes se relayèrent pour confirmer sa thèse. Comment est-il possible qu’elle ne soit pas prise en compte? De même Barbet s’étonna. Le sang coagulé ne laisse pas de traces durables et les spécialistes le savent. En outre, ne figurent pas sur le cadavre les marques de bandage correspondant à un cadavre, point qui a été " oublié ".

Se met alors en marche une opération pour "éliminer" des preuves avec le secret dessein de " découvrir l’imposture " dans le cas où l’affaire serait rendue publique. C’est une décision très grave. La présence de sang DÉMONTE D’UN COUP LES PRÉMISSES QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang non coagulé) .

Il est nécessaire d’insister : l’hypothèse du Dr Vignon (Docteur en Sciences Naturelles) est correcte (Vaporographie) jointe à celle du Dr. René Colson (Médecin, membre de l’Académie des Sciences de Paris). C’est ce que tous les experts attestent depuis que, en 1532 le cardinal Louis Gorrevad l’a examiné à fond et est parvenu à la même conclusion. »

J’entends parfois cette question. Pourquoi serait-il si important pour nous de découvrir que Jésus n’est pas mort sur la croix ?

Toutes les « églises » chrétiennes avaient fondé leur autorité, leur primatie et capacité de manipulation des consciences des fidèles, sur une série de faits extraordinaires, des miracles, qui décoraient les enseignements de Jésus d’un aura « surnaturel ». Entre ces faits miraculeux, il y avait un qui était la clé de voûte. C’était un fait qui « démontrerait » que Jésus était le « Fil de Dieu ». Jésus il était mort sur la croix et de ce fait étaient témoins ces disciples. Puis Il avait ressuscité, recommencé ces enseignements pour à la fin, devant une grande multitude, disparaître.

Ce grand mystère, la crucifixion et mort puis sa résurrection, aurait été utilisé par l’Eglise (plus tard toutes les religions chrétiennes) pour fonder leurs institutions. Si ces miracles, ce GRAND MIRACLE de la RÉSURRECTION, s’avéraient faux, qu’est qu’il resterait de ces institutions ?