XOIMMA UGII

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XOIMMA UGII : sonde géologique qui a la forme d'un ellipsoïde de révolution. Il possède un générateur multiple de fréquences comprises dans la gamme de 5.1020 cycles par seconde, en plus de quelques détecteurs de température, intensité des champs magnétique et gravitationnel. Il crée autour de lui une couche gazeuse de GOONNIAOADOO (plasma) capable de vaporiser la silice.

L'appareil est contrôlé par un faisceau de fréquences de 6,77.1020 cycles/seconde. L'équipement existe en grande taille et en miniature.

La différence avec les «Rayons X» est qu'au lieu d'utiliser un écran géant pour enregistrer la radiographie du terrain, un élément explorateur aérien balaye tous les points de l'image idéale en les enregistrant et en les intégrant dans une mémoire de cristal de titane qui donnera à la fin une vue en trois dimensions du sein de l'écorce terrestre explorée avec tous ses accidents internes obtenus grâce à leur contraste d'opacité au passage de ces radiations.

L'équipements miniatures peuvent découvrir des filons de minéraux, des courants d'eau ou d'hydrocarbures, des roches enterrées, des tunnels et des tubes enterrées, des ruines de cités préhistoriques et différents objets de diamètre supérieur à 5 cm.

Autres orthographes

XOOIMAA UYII (sonde géologique) || 57-3

Citations

Descente sur OYAAGAA (Terre) de premiers oummites

Lettre D57-3

En plus de ses équipements individuels […] Il fallait aussi :

des appareils pour la purification de l'eau et sa synthèse,
équipements de sondage, de photographie […]
les équipements XOOIMAA UYII (sonde géologique),
UULUEWAA (dispositif qui permet de capter des sons et prendre des images ou contrôler les différents facteurs physiques du milieu, contrôlé à distance),
ainsi que les dispositifs de défense dont nous ne pouvons vous révéler la nature pour des raisons évidentes.

Les phénomènes magiques de L'inde

Lettre D62

En 1957, notre frère YOA 6, fils de UNOO 532, recevait l'ordre de se diriger vers New-Delhi et ensuite à Hyderabad pour réaliser une grande étude concernant des mystérieux phénomènes réalisés par les fakirs de l'Inde. […]

L'aire analysée présentait comme accident tectonique le plus accusé une petite faille à quelques 300 mètres. Ils préparèrent le petit XOIMMA UGII récupérable dont ils disposaient. Vous ne connaissez pas cet appareil. Nous en avons quelques-un sur Terre pour nos études.

Ils ont la forme d'un ellipsoïde de révolution. Les équipements utilisés sur notre planète sont beaucoup plus grands. Le dispositif possède un générateur multiple de fréquences comprises dans la gamme de 5.1020 cycles par seconde, en plus de quelques détecteurs de température, intensité des champs magnétique et gravitationnel.

L'appareil est contrôlé par un faisceau de fréquences de 6,77.1020 cycles/seconde. Il se dépose au sol et commence alors à se créer tout autour une couche gazeuse de GOONNIAOADOO (vous l'appelez PLASMA). La température très élevée des pellicules extérieures de cette couche de plasma contrôlée magnétiquement, capable de vaporiser la silice, fait s'enfoncer le dispositif au sein des différentes couches ou strates du terrain comme une pièce de monnaie chaude s'enfonce au sein d'une barre de glace. (voir image 2)

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Une fois enterré à des profondeurs de l'ordre de 50 à 100 mètres, il est contrôlé pour pouvoir se déplacer horizontalement (image 2A) en occupant une série de points correspondants à un réseau idéal, à partir desquels il émet un faisceau tronconique d'ondes (fréquences citées) capables de traverser les différentes strates. Simultanément un UULUEWA situé dans l'air à une hauteur de 20 ou 30 mètres capte en autant d'autres points du réseau les impulsions émises par l'appareil qui les lui envoie de sa grande profondeur.

Le système présente une certaine ressemblance avec les appareils radiométallographiques que vous utilisez pour examiner les métaux avec les rayons Rœntgen. La différence consiste dans le fait qu'au lieu d'utiliser un écran géant pour enregistrer la radiographie du terrain, un élément explorateur aérien balaye tous les points de l'image idéale en les enregistrant et en les intégrant dans une mémoire de cristal de titane qui nous donnera à la fin une vue en trois dimensions du sein de l'écorce terrestre explorée avec tous ses accidents internes obtenus grâce à leur contraste d'opacité au passage de ces radiations. Avec des équipements miniatures comme ceux utilisés par nos frères en Inde, on peut découvrir ainsi des filons de minéraux, des courants d'eau ou d'hydrocarbures, des roches enterrées, des tunnels et des tubes enterrées, des ruines de cités préhistoriques et différents objets de diamètre supérieur à 5 cm (avec les équipements miniatures tels que ceux que nos frères utilisèrent en Inde).

L'examen du terrain révéla une première couche de micaschistes granitifères et de calcaires cristallisés, avec une densité élevée, dans la zone la plus profonde, d'ardoises micacées. La couche la plus extérieure était composée d'ardoise mélangée à de l'argile, et présentait une végétation peu riche en variétés.

Pendant les derniers UIW [minutes] de l'après-midi les appareils réalisaient l'exploration et nos frères localisèrent le point exact où le Saddu avait posé sa corde. Il y avait encore les plantes arrachées et les traces de pas des spectateurs. Il ne semblait y avoir personne, bien que l'examen se soit effectué avec la lumière adéquate. Une épingle rustique qui était sûrement tombée d'un des assistants de l'après-midi (puisqu'elle ne présentait pas de signes d'oxydation) fut l'unique élément trouvé. Il n'était pas possible d'examiner et de comparer tout le matériel informatif obtenu ce jour-là. YOA 6 et URIIO 79 retournèrent quelques jours plus tard à Singapour où résidait à ce moment-là notre ancien chef des hommes d'UMMO en mission sur Terre.

Les résultats nous stupéfièrent. L'analyse des photographies de la surface de la zone, les enregistrements de l'intérieur de la corde, l'analyse chimique des fibres, les échantillons de terre et encore moins l'aiguille ne servirent à rien parce que l'examen de la structure géologique de la zone montra clairement la fraude.

On pouvait voir parfaitement trois galeries, renforcées grossièrement par des planches, qui partaient du petit bosquet (image 3).

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