Lieu d'arrivée sur Terre : Différence entre versions
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L'on travailla toute la nuit jusqu'à 7 heures. Peu avant l'aube nos UEWA se déplacèrent dans un petit bois d'étranges arbres à feuilles filamenteuses identifiés ensuite sous le nom terrestre de "PINUS MONTANA". | L'on travailla toute la nuit jusqu'à 7 heures. Peu avant l'aube nos UEWA se déplacèrent dans un petit bois d'étranges arbres à feuilles filamenteuses identifiés ensuite sous le nom terrestre de "PINUS MONTANA". | ||
− | La galerie, ouverte dans le sous-sol d'une longueur de 4 mètres et d'une profondeur de 8 mètres fut étayée avec des IGAAYUU (sortes de CINTRES extensibles modulaires d'un alliage de Magnésium très léger), se maintenait à une température très élevée (quelques 500 degrés) bien que la fusion au moyen d'un processus énergétique nucléaire des produits ou des composés du sous-sol s'accompagne ensuite d'un refroidissement très rapide. De plus il était nécessaire de résoudre le problème de la condensation de vapeur d'eau sous forme de petits nuages qui en émergeant de la galerie en une haute colonne pouvaient révéler notre présence. Il fut nécessaire d'obturer la bouche du tunnel ou galerie avec une plaque plastique et de recueillir aussi par aspiration les fumées produites à partir de la combustion des substances organiques du sol. | + | La galerie, ouverte dans le sous-sol d'une longueur de 4 mètres et d'une profondeur de 8 mètres fut étayée avec des IGAAYUU (sortes de CINTRES extensibles modulaires d'un alliage de Magnésium très léger), se maintenait à une température très élevée (quelques 500 degrés) bien que la fusion au moyen d'un processus énergétique nucléaire des produits ou des composés du sous-sol s'accompagne ensuite d'un refroidissement très rapide. De plus il était nécessaire de résoudre le problème de la condensation de vapeur d'eau sous forme de petits nuages qui en émergeant de la galerie en une haute colonne pouvaient révéler notre présence. Il fut nécessaire d'obturer la bouche du tunnel ou galerie avec une plaque plastique et de recueillir aussi par aspiration les fumées produites à partir de la combustion des substances organiques du sol.} |
{{lettre|D57-3| | {{lettre|D57-3| | ||
Le nouveau jour réserva aux expéditionnaires un beau et nouveau spectacle. Pour la première fois ils se trouvaient face à un nouveau monde, une structure géologique nouvelle. Le ciel était plus indigo que sur UMMO. De nombreux strato-cumulus couvraient ce jour là le ciel de la région. Bientôt furent remarquées la présence de deux structures artificielles (habitations humbles) situées à 1,3 km et 1,9 km respectivement. | Le nouveau jour réserva aux expéditionnaires un beau et nouveau spectacle. Pour la première fois ils se trouvaient face à un nouveau monde, une structure géologique nouvelle. Le ciel était plus indigo que sur UMMO. De nombreux strato-cumulus couvraient ce jour là le ciel de la région. Bientôt furent remarquées la présence de deux structures artificielles (habitations humbles) situées à 1,3 km et 1,9 km respectivement. | ||
− | L'origine des lumières aperçues le matin fut parfaitement éclaircie. Elles correspondaient aux cités ou petites localités de DIGNE et LA JAVIE. La forme anarchique des étranges constructions attira notre attention. Dans DIGNE apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique Romane du XIII siècle. [...] | + | L'origine des lumières aperçues le matin fut parfaitement éclaircie. '''Elles correspondaient aux cités ou petites localités de DIGNE et LA JAVIE.''' La forme anarchique des étranges constructions attira notre attention. Dans DIGNE apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique Romane du XIII siècle. [...] |
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On trouva, à 200 mètres, d'étonnants piliers prismatiques, avec d'autres matériaux artificiels. Tout était en ruines. On se trouvait devant la première œuvre enregistrée et provenant d'êtres humains terrestres. Plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ancien petit hangar pour le stockage d'aliments, mais la découverte remplit nos frères d'émotion. | On trouva, à 200 mètres, d'étonnants piliers prismatiques, avec d'autres matériaux artificiels. Tout était en ruines. On se trouvait devant la première œuvre enregistrée et provenant d'êtres humains terrestres. Plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ancien petit hangar pour le stockage d'aliments, mais la découverte remplit nos frères d'émotion. | ||
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{{lettre|D57-4| | {{lettre|D57-4| | ||
− | L'entrée de la galerie se trouve sur l'un des contreforts montagneux de la région, pas très loin du pic du "Cheval Blanc". De là on domine toute la vallée dans laquelle coule la rivière Bléone. Avec un bon instrument optique on voit parfaitement les édifices de Digne, sa vieille cathédrale et même fragmentairement l'on peut observer le Bès et quelques tronçons du chemin de fer. On peut également observer parfaitement le hameau de La Javie et quelques constructions humbles des environs.}} | + | L'entrée de la galerie se trouve sur l'un des contreforts montagneux de la région, '''pas très loin du pic du "Cheval Blanc"'''. De là on domine toute la vallée dans laquelle coule la rivière Bléone. Avec un bon instrument optique on voit parfaitement les édifices de Digne, sa vieille cathédrale et même fragmentairement l'on peut observer le Bès et quelques tronçons du chemin de fer. On peut également observer parfaitement le hameau de La Javie et quelques constructions humbles des environs.}} |
Dans les lettres, apparaît une confusion entre les deux cathédrales de Digne : la plus ancienne, romane, construite entre la fin du XIIe siècle et le début du XIVe siècle ne dispose pas de clocher (Notre-Dame du Bourg), tandis que la plus récente, d'architecture gothique et néogothique, se glorifie effectivement d'un étrange clocher ajouré (Saint-Jérôme). | Dans les lettres, apparaît une confusion entre les deux cathédrales de Digne : la plus ancienne, romane, construite entre la fin du XIIe siècle et le début du XIVe siècle ne dispose pas de clocher (Notre-Dame du Bourg), tandis que la plus récente, d'architecture gothique et néogothique, se glorifie effectivement d'un étrange clocher ajouré (Saint-Jérôme). | ||
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− | La descente se produisit dans une zone définie du Département des "Basses Alpes" à quelque 8000 mètres du village de La Javie (France).}} | + | '''La descente''' se produisit dans une zone définie du Département des "Basses Alpes" ''[nota: Alpes de Haute Provence]'' à quelque 8000 mètres du village de La Javie (France).}} |
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+ | ''Il y aurait donc eu 20 secondes entre l'OAWOOLEAIDAA (hauteur au dessus du sol 7328 m / 8 km de la Javie et 13 km de Dignes), et l'attérrissage. Juste pour info: à 1000 km/h (277 m/s), 20 secondes permettent de parcourir 5,5 km. Une descente verticale ou quasi verticale correspondrait à un taux de descente d'environ 300 à 400 m par seconde'' | ||
==Résumé des informations concernant ce lieu== | ==Résumé des informations concernant ce lieu== |
Version du 14 avril 2024 à 13:56
De nombreuses personnes intéressées par l'Affaire Ummo ont essayé de déterminer l'endroit où fut creusé le premier abri, le 28 mars 1950.
Le 2 décembre 2015, OOMO TOA (https://www.ummo-sciences.org/fr/W3.htm #31) réponds à une question de @jfd911 à propos de cet abri
Q "Que subsiste t-il à La Javie des installations que vous dites y avoir laissées? Qui y a eu accès depuis que vous avez quitté les lieux?"
R ; Fortuitement découvertes début 1972 par des chasseurs du 11e B.C.A. de Barcelonnette. GAL IDIER, GAL CRAPLET, LCL OUVRARD, ...
Pour information - Décès du Général Jean Craplet à 63 ans le 18 Août 1972 à Albertville (73) selon http://gw.geneanet.org/pierfit?lang=en&p=jean+general&n=craplet - Et fin de commandement pour le LCL Ouvrard à la même date, le 18 Août 1972. (Wikipedia 11è BCA)
(voir wikipédia 11e bataillon de chasseurs alpins à propos de ces noms, et http://anaestm.fr/nosjournaux/bulletin-n-2.pdf et sur France 3 à propos du Général Idier)
Sommaire
Informations des lettres
{{lettre|D57-3|
"A 4 heures 16 minutes 42 secondes TMG (heure terrestre de GREENWICH), on effectua l'OAWOOLEAIDAA .../...à l'heure citée, trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spaciaux) "apparurent subitement" en un point situé à la hauteur de 7,338 kilométres au-dessus d'un endroit situé à quelques 13 km de la ville française de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE (Département des Basses Alpes), non loin de la frontière de la République Cantonale et Fédérative de Suisse. C'était le 28 mars 1950. Les trois nefs descendirent rapidement touchant terre à 4 heures 17 minutes 3 secondes TMG.
Les pieds extensibles des vaisseaux s'enfoncèrent à peine dans le terrain rocailleux d'un contrefort alpin, non loin de celui que nous avons identifié par la suite comme Pic "CHEVAL BLANC" haut de 2322,95 m au dessus du niveau moyen de la mer et non loin du petit cours fluvial de " LA BLEONE".
Une grande nébulosité empêchait à ces heures de la nuit la vision directe des alentours. Les images obtenues dans la longueur d'ondes de 740 millimicrons permirent néanmoins de visualiser les alentours. Des plantes d'une morphologie étrange croissaient dans les environs. La morphologie érodée du terrain permettait de reconnaître quelques accidents accusés comme le lit de la rivière citée. Jusqu'au matin suivant l'on ne parvint pas à identifier la nature d'un groupe de lumières blafardes qui apparaissaient en trois points définis dans le lointain.
Néanmoins l'endroit paraissait désertique. Furent recueillis du sol quelques insectes et arrachées quelques espèces végétales identifiées ensuite selon la classification botanique de la Terre comme:"Valériana celta" et "Erica Carnéa". Celles-ci furent emmenées dans le Vaisseau où tous purent les examiner avec une curiosité réjouie. Comme il fallait s'y attendre, la morphologie de ces petits animaux et plantes différait des espèces connues sur UMMO.
Peu après sortaient les six expéditionnaires accompagnés de vingt membres de l'équipage. Il était nécessaire de commencer les travaux d'une construction souterraine d'urgence. On réalisa une évaluation expérimentale des caractéristiques du sol. Ce qui nous frappa le plus ce fut l'absence de Titane dans la composition chimique des roches de la terre (Sur notre sol d'UMMO, cet élément chimique est aussi fréquent que l'aluminium dans les argiles terrestres). Furent aussi détectés de nombreux phénocristaux inclus dans des roches porfidiques. La désagrégation des roches ignées était de plus évidente en constatant la composition dosimétrique de sable et argile. Les carbonates et les silicates abondants permirent d'élaborer une hypothèse de l'évolution géologique de ces terrains.
Il était nécessaire de réaliser la perforation en fondant à grande température des grés et des calcaires. La haute composition siliceuse du sol provoqua au début un sérieux problème qui fut rapidement résolu. Les matériaux ainsi fondus furent transmutés en un isotope d'azote. De cette façon, à l'extérieur n'apparaissaient pas des tas de terre qui auraient révélé notre présence à d'éventuels observateurs humains terrestres.
L'on travailla toute la nuit jusqu'à 7 heures. Peu avant l'aube nos UEWA se déplacèrent dans un petit bois d'étranges arbres à feuilles filamenteuses identifiés ensuite sous le nom terrestre de "PINUS MONTANA".
La galerie, ouverte dans le sous-sol d'une longueur de 4 mètres et d'une profondeur de 8 mètres fut étayée avec des IGAAYUU (sortes de CINTRES extensibles modulaires d'un alliage de Magnésium très léger), se maintenait à une température très élevée (quelques 500 degrés) bien que la fusion au moyen d'un processus énergétique nucléaire des produits ou des composés du sous-sol s'accompagne ensuite d'un refroidissement très rapide. De plus il était nécessaire de résoudre le problème de la condensation de vapeur d'eau sous forme de petits nuages qui en émergeant de la galerie en une haute colonne pouvaient révéler notre présence. Il fut nécessaire d'obturer la bouche du tunnel ou galerie avec une plaque plastique et de recueillir aussi par aspiration les fumées produites à partir de la combustion des substances organiques du sol.}
Le nouveau jour réserva aux expéditionnaires un beau et nouveau spectacle. Pour la première fois ils se trouvaient face à un nouveau monde, une structure géologique nouvelle. Le ciel était plus indigo que sur UMMO. De nombreux strato-cumulus couvraient ce jour là le ciel de la région. Bientôt furent remarquées la présence de deux structures artificielles (habitations humbles) situées à 1,3 km et 1,9 km respectivement.
L'origine des lumières aperçues le matin fut parfaitement éclaircie. Elles correspondaient aux cités ou petites localités de DIGNE et LA JAVIE. La forme anarchique des étranges constructions attira notre attention. Dans DIGNE apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique Romane du XIII siècle. [...]
On trouva, à 200 mètres, d'étonnants piliers prismatiques, avec d'autres matériaux artificiels. Tout était en ruines. On se trouvait devant la première œuvre enregistrée et provenant d'êtres humains terrestres. Plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ancien petit hangar pour le stockage d'aliments, mais la découverte remplit nos frères d'émotion.
L'analyse montra la présence d'une substance agglutinante de mélange complexe dans laquelle intervenait du sulfate calcaire, des alumines et des petites quantités d'oxydes minéraux (plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'un ciment sur-sulfaté) et de fragments de roche et sable en proportion et dosage presque constant (plus tard nous avons su qu'il s'agissait d'agrégats pour le béton).Dans les lettres, apparaît une confusion entre les deux cathédrales de Digne : la plus ancienne, romane, construite entre la fin du XIIe siècle et le début du XIVe siècle ne dispose pas de clocher (Notre-Dame du Bourg), tandis que la plus récente, d'architecture gothique et néogothique, se glorifie effectivement d'un étrange clocher ajouré (Saint-Jérôme).
Il y aurait donc eu 20 secondes entre l'OAWOOLEAIDAA (hauteur au dessus du sol 7328 m / 8 km de la Javie et 13 km de Dignes), et l'attérrissage. Juste pour info: à 1000 km/h (277 m/s), 20 secondes permettent de parcourir 5,5 km. Une descente verticale ou quasi verticale correspondrait à un taux de descente d'environ 300 à 400 m par seconde
Résumé des informations concernant ce lieu
Il est plus que probable qu'il y ait eu assez rapidement des galeries de ventilation et de circulation construites à partir du refuge initial. Pensons qu'ils leur fallait aussi une source ou une rivière: on ne peut vivre sans eau.
Les conditions à respecter sont:
1) C'est un contrefort alpin près du Cheval Blanc.
2) L'endroit est désert, sans accès routier
3) En 1950, ce lieu était dénudé avec un proche bosquet de pins.
4) "Valeriana celta" (Il s'agit de la "valeriana celtica" ou "valériane celte" qui ne pousserait qu'au dessus de 1800 m) et "Erica Carnéa" (Bruyère).
De ce point ou de la verticale de ce point on devrait voir:
1) Le pic du Cheval Blanc.
2) La vallée de la Bléone.
3) Le village de La Javie.
4) La tour de la cathédrale St-Jérôme, à Digne.
5) Une partie du cours du Bès.
6) Des tronçons du chemin de fer.
7) D'humbles demeures à 1,3 et 1,9 km.
8) Des pâturages à vaches à environ 350 m
9) Une ruine prismatique à 200m.
10) Les édifices de Digne,
11) La vieille cathédrale (Notre-Dame-du-Bourg)
Diverses propositions anciennes
(1) D'après le livre de Ribéra
(2) D'après Jacques Vallée
(3) D'après Claude Poher
(4) D'après le groupe U3
(5) 1ère localisation de J-P Petit
(6) 2ème localisation de J-P Petit
(7) Sommet de Chappe
(8) Sommet de Cluchemet
(9) L'adroit de Blégiers
(10) Sommet de Triey
(11) Tête de Laval
(12) Sommet de Cucuyon
(13) Sommet de Couard
(14) Sommet des Ajustats
(15) Col de l'Escuichière
(16) Clau Chastel
(17) Le Martignon
Adéquation lieux atterrissage (selon Oncle Dom)
(Plus grande image [Fichier:Lieux possibles G.png] )
Proposition Denocla: Nord de St-Pierre
Ces derniers temps plusieurs chercheurs ont fait état d'une possibilité au nord du village de St-Pierre (environ 9 km au Nord-Est de la Javie), d'une zone d'effondrement d'un diamètre d'environ 23 m (qui peut sembler artificielle) servant actuellement d'enclos à moutons.
Position: Montagne de l'Ubac - N 44.246644 , E 06.403684 (altitude 1800 m)
Cette hypothèse impose des galeries de plusieurs centaines de mètres.
Sur géoportail, une photo aérienne prise entre 1950 et 1965 (pas de précision)
Proposition de Denocla
Denocla affirme avoir reçu plusieurs messages personnels d'OAXIIBOO6 sur tweeter suite à une question concernant le risque de poursuivre les recherches
44.24666 6.40366 // Trouvée en 1972 par 11ème BCA // Risqué: Gal CRAPLET, Lt Col OUVRARD éliminés/accident.
et ensuite
Une galerie fut creusée, à cœur de montagne. Deux longues ramifications débouchent très en contrebas : aération, sécurité et exploration. // 1. Parc du Demontzey. // 2. En surplomb du village de Saint-Pierre. // Les mesures mentionnées sont relatives à la seconde issue. Vues: du sommet.
Tableau de synthèse d'après Denocla
1 - Galerie : Il y a une bouche d’accès à une galerie (1 à 2 mètres de diamètre ?) forée à 8 mètres de profondeur sur 4 mètres de long (volume pour 6 personnes + matériel) RQ : Taches : Zones aqueuses (Réflexion : quand nous amis arrivent, la seule chose qui peut leur manquer … l’eau !)
2 - NB rappel : La zone de la DESCENTE (qui n'est PAS l'atterrissage, Ni la base-galerie) à environ 13 km de Digne et 8 km de la Javie.
3 - zones assez plates pour permettre l’atterrissage de 3 engins.
4 - De là on domine toute la vallée
5 - L'entrée de la galerie se trouve sur l'un des contreforts montagneux de la région
6 - la zone est rocailleuse
7 - Présence de roches magmatiques ou ignées ou "porphyres" dont les phénocristaux (cristaux dont les dimensions sont nettement supérieures à la taille moyenne des grains constituant la pâte dans laquelle ils sont englobés) se désagrégeant sous l'effet de l'érosion, donnent des argiles qui vont se sédimenter et, en se mélangeant à des dépôts calcaires (carbonate de Ca), conduisent à ces marnes grises (dans différents "carbonates et silicates" + éboulis => aspect « porphyriques » tons de gris) sont le constituant principal
8 - zone où il y a une désagrégation des roches ignées OK phénocristaux abondants
9 - la zone à des sables et argile
10 - la zone à carbonates et silicates abondants
11 - la zone à Erica carnea - bruyère des Alpes. – variété du genre présente
12 - la zone à Valériana celtica – variété du genre présente
13 - Positon du soleil / berger Ok – du coté Haut Vernet . La zone est à pins Montana, les pins noirs replantés après 1950
14 - à 630 mètres une zone est accessible pour les vaches // 1. En surplomb du village de Saint-Pierre. Les mesures mentionnées sont relatives à la seconde issue.
15 - à 200m les poteaux en béton d'une ruine d'un hangar // Il est possible que le petit hangar en ruine en 1950 ait été totalement rasé depuis Ruines du petit hangar possible à 100m sur le chemin.
16 - DEPUIS LA GROTTE on voit:
- Le pic du Cheval Blanc.
- La vallée de la Bléone.
- Le village de La Javie (le centre)
- la rivière Le Bès o - au confluent
- La cathédrale St-Jérôme, à Digne. Important : La vue du clocher montre ses limites de visibilité. Piste sur l’Emporte visible aux jumelles, elle délimite l’angle maximal à gauche. A droite La Blache est visible. Ce sont les seuls sommets qui permettent potentiellement de voir aussi La JAVIE. ( possible)
- quelques tronçons du chemin de fer (a priori dans l'alignement de la tour de la cathédrale)
- d'humbles demeures à 1,3 km Maison ok 1948 44°15'9.83"N 6°25'13.37"E
Sur le blog de "Futur en Folie" : "Un anonyme a réagi en indiquant sans plus de précisions les coordonnées suivantes : N 44.246767 et E 6.404027 (flanc Sud-Est de la Montagne de l'Ubac). Le souci est que St-Jérôme n'est pas visible de ce point si on trace le profil altimétrique (grâce à geoportail.fr et aux coordonnées de la cathédrale fournies par Wikipedia)"
Cette position imposerait donc un surélévation ou un déplacement sur un autre point de cette montagne de l'Ubac
Autres propositions
Jean-Pierre Petit raconte ses recherches dans son ouvrage : "Enquête sur des extraterrestres qui sont déjà parmi nous: Le Mystère des Ummites" : La crête de la Blâche (environ 1200 m)
Oncle Dom : D'après "Oncle Dom" ce serait le replat du Martignon ...Ca semble vraiment trop proche du centre de Dignes (quelques km), et divers points
En A et B, les deux points possible d'OAWOOLEAIDAA
En C, proposition Oncle Dom
En D, proposition Anonyme (Montagne de l'Ubac, nord fr Beaujeu)
En E, proposition Jean-Pierre Petit