Interventions ummites sur Terre
Les interventions ummites pour sauver la vie sur Terre.
Sommaire
Interventions géologiques
- de l'Etna (Sicile) et de Panarea en Italie,
- du Colima et du Popocatepetl au Mexique,
- du Bezimianny et du Chikurachki au Kamchatka,
- du Guagua Pichincha et du Tungurahua en Equateur,
- du Kilauea à Hawaii,
- du Nyamuragira au Congo,
- du Pago en Nouvelle Guinée et
- du Piton de la Fournaise sur l'île de la Réunion.
1967
1972
2002
Nous surveillons plus intensément le Popocatepetl dont l'activité inquiétante menace les populations des grandes agglomérations de Puebla et de Mexico D.F. Nous ne sommes pas les seuls à le faire.
Libérer la Terre de la menace nucléaire
1975 : plan d'urgence pour éviter un suicide collectif sur Terre
Il fut immédiatement convenu d'adopter les mesures pertinentes pour prévenir cette urgence. PREMIÈREMENT : construction en différents points de OYAGAA de bases souterraines dotées de l'étanchéité et de moyens d'autoapprovisoinnement en oxygène, eau, énergie et produits d'alimentation. De telles installations furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un contingent réduit d'OEMMIIhommes de OYAGAATerre, qui assurerait leur survie en cas d'attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques, y compris toute la période postérieure du risque d'agression physique et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s'étendre à environ cinq cents jours terrestres).
DEUXIÈMEMENT : equipement de ces bases avec du matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct des nations suivantes : Etats Unis d'Amérique du Nord, Union des Républiques Socialistes Soviétiques, Canada, Grande Bretagne, République Populaire de Chine.
Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait de UMMO avec d'importantes dotations de matériel technologique de coercition, afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République Fédérale d'Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon, République du Vietnam, Corée du Nord, Angola, République Sud Africaine, Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique, Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.
On permettrait durant un temps court la souveraineté aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive de procéder au démantèlement de leur infrastructure militaire (excepté leur force policière), jusqu'à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés par mes frères. [...]
[...] Naturellement, nous ne pouvons pas vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive, et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l'hippocampe, qui bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l'Etat.1989 : promesse tenu
(09/02/1990) Peuple de la Terre (OOYAAGA): Nous avons finalement tenu notre promesse de libérer la Terre de la menace nucléaire qui pesait sur votre astre froid. La seconde phase commencera par la conférence réservée au démantèlement des armes tactiques de rayon d'action moyen (Armes dites de "théâtre" RBM). Ainsi que les missiles balistiques intercontinentaux ICBM. Ainsi ils s'engagent à détruire tous les systèmes antimissiles ABM, et toutes les armes situées dans les sous-marins SLBM. On gèlera les programmes appelé en occident SDI.
Nous avons prévenu un groupe restreint en Allemagne qu'en mars 1989 se produira la libération de tous les pays de l'Est. En même temps que nous avons avisé un groupe restreint en Espagne d'une alerte atomique quelques jours avant qu'elle se produise. Également nos fidèles amis australiens reçurent bien avant une communication leur annonçant le triomphe URSS - USA réussissant la jonction Apollo 18 et Soyouz 19. Tous les OEMIIhommes de la Terre ont interprété nos lettres comme provenant de quelque groupe secret US.
[...] Nous avons cette fois délibérément voulu signaler notre présence dans la ville soviétique de Voronej le 27 septembre 1989. En exposant l'anagramme du Conseil Général de UMMO. Nous avons donné le maximum de publicité à l’événement coïncidant à la libération du socialismes dans beaucoup de nation.1991 : fin de la mission auprès des grandes puissances de la Terre
(8 janvier 1991) En ce moment se termine la mission que nous nous étions imposée auprès des grandes puissances de la Terre. A la suite d'un entretien avec chacun des deux présidents d'URSS et d'EU, ceux-ci comprirent que le péril nucléaire qui flottait au dessus de leur planète (OOIAA) si la tension continuait à croître jusqu'au point de rupture (UUGAA), cette situation étant malheureusement imminente.
Peut-être avez-vous assisté à un changement surprenant. Au point que personne n'imagina jamais que des structures aussi solides subiraient un changement si profond. L'essentiel est que les deux États en vinrent à réduire substantiellement leur arsenal mortifère. Aussi bien, les E.U. se sont aussi engagés à ne pas faire un pas de plus dans leur escalade agressive envers d'autres pays sans tenir compte du consentement du président et du secrétaire général des Nations Unies.
Jusqu'ici notre intervention, comme signature de celle-ci sur toute la planète, eut lieu sur le territoire soviétique (1989, Voronej) et, comme marque de celle-ci sur toute la planète, un IVOOSO AIIDA (terme difficile à traduire : inversion des atomes) permit de montrer notre marque (deux barres croisées entre deux arcs situés de part et d'autre d'un axe de symétrie « )+( » ) se détachant sur la surface de notre nef brillant par ionisation (AAWOLEEAA OEWE OEM).
Nous avons appris la nouvelle à la presse de toute la planète (OOIAA). Grâce à la collaboration des EU et de l'URSS, nous avons ainsi scellé la collaboration de notre civilisation avec Michael Gorbachof et Georges Bush. Depuis le 18 avril à 15 h 06, où se célébra un contact avec le Président de la dernière nation citée (USA), nous n'en avons eu aucune entrevue et nous n'en aurons aucune autre, notre mission est terminée.
[...] Ce qui arrive avec Saddam Hussein, c'est qu'il est devenu le chef d'une puissante nation renforcée par l'aide militaire que lui ont fourni l'Union Soviétique, les États-unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Italie, le Canada, la Belgique et d'autres pays comme l'Espagne.
[...] Dans la guerre actuelle seuls les E-U, l'URSS, la Grande-Bretagne, la France, Israël, détiennent l'arme "mortifère", le Canada et la Chine la connaissent. Nous allons vous révéler son nom. Ce n'est pas une entité matérielle mais un concept. Il se nomme ISC (Informative Satellite Coefficient) (mesures fournies par satellite d'information). Seuls les deux premiers pays peuvent s'en servir efficacement.Contre les les services de renseignement US
2011 : opérations sur les cerveaux à distance et disparition des dossiers Ummo dans les bureaux de Défense USA
Bien que ces opérations aient été indolores – nous savons opérer les cerveaux sans produire de dommages, en employant nos connaissances de BAAIIBUUAARGOO (une technique vaguement similaire à votre concept embryonnaire de bionique, en association avec des radiations à distance modulées d’une manière qui Vous est inconnue) – les affectés, dont nous avons réduit le nombre au minimum, ont eu certainement des séquelles qui ont affecté leur rendement : désorientation, tremblements, nausées, névroses, manque d’estime d’eux-mêmes, dépression de niveau moyen, baisse notoire de rendement intellectuel... entre autres symptômes hautement incapacitants. Nombre d’entre eux ont reçu une baisse de leurs situations de haut niveau. - Vous pouvez vérifier sur votre XANMOAYUBAAordinateurs le grand nombre de pré-retraites au cours des dernières années, de vos frères nord-américains employés par l’Administration USA dans des situations d’ « observateurs internationaux » et autres euphémismes comparables -, alors que leurs subordonnés nageaient dans une mer d’incertitude puisque nombre d’entre eux connaissaient notre existence, et restaient stupéfaits en observant la quasi-totale ignorance de leurs supérieurs sur notre identité, leur apathie au moment d’agir contre mes frères, ainsi que la pratiquement totale disparition, du jour au lendemain, de presque tous les dossiers extrêmement bien protégés (en théorie) qui nous (et Vous !) concernaient.