Chili cité dans les lettres ummites
Le Chili est cité dans les lettres ummites dans les sujets suivants :
Sommaire
1966
6 février 1966 : atterrissage en Espagne
5 juin 1966 : atterrissage au Chili
1967 : séjour à Santiago du Chili
1975 : plan d'urgence pour éviter un suicide collectif sur Terre
Il fut immédiatement convenu d'adopter les mesures pertinentes pour prévenir cette urgence. PREMIÈREMENT : construction en différents points de OYAGAA de bases souterraines dotées de l'étanchéité et de moyens d'autoapprovisoinnement en oxygène, eau, énergie et produits d'alimentation. De telles installations furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un contingent réduit d'OEMMIIhommes de OYAGAATerre, qui assurerait leur survie en cas d'attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques, y compris toute la période postérieure du risque d'agression physique et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s'étendre à environ cinq cents jours terrestres).
DEUXIÈMEMENT : equipement de ces bases avec du matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct des nations suivantes : Etats Unis d'Amérique du Nord, Union des Républiques Socialistes Soviétiques, Canada, Grande Bretagne, République Populaire de Chine.
Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait de UMMO avec d'importantes dotations de matériel technologique de coercition, afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République Fédérale d'Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon, République du Vietnam, Corée du Nord, Angola, République Sud Africaine, Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique, Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.
On permettrait durant un temps court la souveraineté aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive de procéder au démantèlement de leur infrastructure militaire (excepté leur force policière), jusqu'à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés par mes frères. [...]
[...] Naturellement, nous ne pouvons pas vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive, et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l'hippocampe, qui bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l'Etat.Années 1970-1980 : dictatures militaires
Avril 1981 : horreurs génocides par les agents US
Devant leurs propres mères, en Argentine et au Salvador, au Guatemala et au Chili, des enfants de six à huit ans d’âge sont soumis à des sévices par ces agents nord-américains leur extirpant leurs yeux et leur provoquant de terribles incisions à l’abdomen jusqu’à affleurer le paquet intestinal.
Église catholique et tortures
Bien sûr, le Saint-Siège était parfaitement au courant de ce qui était arrivé. Nous avons photocopié les lettres du Secrétariat d’Etat dans lesquelles ils conseillaient aux prélats argentins de collaborer activement aux œuvres de répression déchaînées par les autorités militaires argentines, ce même conseil est donné par l’actuel pontife J. Paul II aux évêques chiliens, avec la différence notable ces derniers, indignés, ne voulurent pas suivre ces règles et se sont affrontés courageusement au régime dictatorial de leur pays.
Quand un Evêque chilien, au cours de la récente visite du Pontife dans son pays, lui relata en privé (conversation enregistrée par nous) les horribles tortures auxquelles ont été soumises le 20 novembre 1986 par la police deux femmes ( une agrégée et une licenciée en philosophie), Jean Paul II s’exclama "mais on doit prendre en compte que les deux appartenaient au parti communiste..." et quand un autre prélat lui relate indigné les détails d’un épisode où une journaliste fut brûlée vive par un carabinier, le Pape de mauvaise humeur observa "cela ne serait pas arrivé si elle était restée chez elle à faire les travaux du foyer comme toute femme chrétienne et travailleuse...". Peu après ces commentaires, le Pontife, devant l’opinion publique internationale consternée a bénit le Dictateur Pinochet et, dans des lettres privées aux évêques du monde entier, les prévient avec sévérité qu’il doivent rejeter fermement l’idée exotique que la femme puisse accéder au sacerdoce.