Chili cité dans les lettres ummites

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Le Chili est cité dans les lettres ummites dans les sujets suivants :

1966

6 février 1966 : ‏‎atterrissage en Espagne

Lettre D38
(17/06/1966) En date du 6 février 1966 (année terrestre) se posa non loin de la route qui relie la ville d'Aluche à la commune de Casilda de Bustos (Madrid), l'un de nos OAWOOLEEA UEWA OEMM (astronef). En descendirent deux de nos frères avec pour destination ultérieure notre section de la république du Chili. Notre chef de la section espagnole, Dei 98, fils de Dei 97, et l'un de nos frères d'Amérique du Sud, GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540 (venu exprès de Bolivie) attendaient les voyageurs dans un véhicule de tourisme garé dans les environs.

5 juin‏‎ 1966 : atterrissage au Chili

Lettre D39
(05/06/1966) Le 5 JUIN 1966. A 22 h 52 minutes, est arrivé sur la planète Terre, l'un de nos vaisseaux piloté aux environs d'IQUIQUE (CHILI) (heure officielle du Chili). Deux de nos frères en débarquèrent pour une destination secrète.

1967‏‎ : séjour à Santiago du Chili

Lettre D54
(janvier 1967) Dictée par IEREE 86, fils d'IEREE 82, soumis à UADAA 5, fils de OI 74, à Santiago du Chili.

1975 : plan d'urgence pour éviter un suicide collectif sur Terre

Lettre D1378
(30/01/1988) [...] nous avons déjà préparé, dès 1975, un plan d'urgence définitif, [... quand] l'évolution turbulente de l'humanité de OYAGAATerre rendrait prévisible bien que peu probable la nécessité d'une intervention de notre part pour éviter un suicide collectif qui entraînerait même l'élimination des espèces animales inférieures.

Il fut immédiatement convenu d'adopter les mesures pertinentes pour prévenir cette urgence. PREMIÈREMENT : construction en différents points de OYAGAA de bases souterraines dotées de l'étanchéité et de moyens d'autoapprovisoinnement en oxygène, eau, énergie et produits d'alimentation. De telles installations furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un contingent réduit d'OEMMIIhommes de OYAGAATerre, qui assurerait leur survie en cas d'attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques, y compris toute la période postérieure du risque d'agression physique et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s'étendre à environ cinq cents jours terrestres).

DEUXIÈMEMENT : equipement de ces bases avec du matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct des nations suivantes : Etats Unis d'Amérique du Nord, Union des Républiques Socialistes Soviétiques, Canada, Grande Bretagne, République Populaire de Chine.

Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait de UMMO avec d'importantes dotations de matériel technologique de coercition, afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République Fédérale d'Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon, République du Vietnam, Corée du Nord, Angola, République Sud Africaine, Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique, Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.

On permettrait durant un temps court la souveraineté aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive de procéder au démantèlement de leur infrastructure militaire (excepté leur force policière), jusqu'à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés par mes frères. [...]

[...] Naturellement, nous ne pouvons pas vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive, et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l'hippocampe, qui bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l'Etat.

Années 1970‏‎-1980 : dictatures militaires

Avril 1981‏‎ : horreurs génocides par les agents US

Lettre D176
(27/02/83) Les États-Unis ont envoyé depuis avril de l’an terrestre 1981, quatre mille six cent quarante spécialistes en torture policière au Chili, Guatemala, Turquie, Salvador, Haïti, Argentine et Paraguay. Certains de leurs procédés techniques incluent des techniques comme l’emploi des curarisants, comme un dérivé de la tubocurarine qui produit d’horribles souffrances sur les malheureuses victimes interrogées.
Devant leurs propres mères, en Argentine et au Salvador, au Guatemala et au Chili, des enfants de six à huit ans d’âge sont soumis à des sévices par ces agents nord-américains leur extirpant leurs yeux et leur provoquant de terribles incisions à l’abdomen jusqu’à affleurer le paquet intestinal.

Église catholique et tortures

Lettre D540
(02/05/1988) Dans les années de la dictature argentine [1976‏‎-1983] encore, les prêtres catholiques assistaient et collaboraient au travail des militaires arrivant à l’extrême à appliquer la gégène à des nouveau-nés en présence de leurs mères. Ce procédé paraissait correct à l’Église, au point que Monseigneur Medina flattait la junte militaire déclarant que la torture est toujours licite à condition de ne pas dépasser 24 heures, les militaires catholiques argentins avec l’autorisation explicite de leurs confesseurs s’acharnaient spécialement sur les femmes, qu’ils violaient avec des pals, leur introduisaient l’électrode dans la matrice pour les faire avorter et leur coupaient les seins, dans l’école de mécanique de l’armée, un prêtre assesseur alla jusqu’à dire qu’il ne fallait pas appliquer l’électrode dans la bouche de la détenue car cela pouvait provoquer la fracture de la mâchoire, il était plus correct de l’introduire par voie vaginale ou rectale.

Bien sûr, le Saint-Siège était parfaitement au courant de ce qui était arrivé. Nous avons photocopié les lettres du Secrétariat d’Etat dans lesquelles ils conseillaient aux prélats argentins de collaborer activement aux œuvres de répression déchaînées par les autorités militaires argentines, ce même conseil est donné par l’actuel pontife J. Paul II aux évêques chiliens, avec la différence notable ces derniers, indignés, ne voulurent pas suivre ces règles et se sont affrontés courageusement au régime dictatorial de leur pays.

Quand un Evêque chilien, au cours de la récente visite du Pontife dans son pays, lui relata en privé (conversation enregistrée par nous) les horribles tortures auxquelles ont été soumises le 20 novembre 1986 par la police deux femmes ( une agrégée et une licenciée en philosophie), Jean Paul II s’exclama "mais on doit prendre en compte que les deux appartenaient au parti communiste..." et quand un autre prélat lui relate indigné les détails d’un épisode où une journaliste fut brûlée vive par un carabinier, le Pape de mauvaise humeur observa "cela ne serait pas arrivé si elle était restée chez elle à faire les travaux du foyer comme toute femme chrétienne et travailleuse...". Peu après ces commentaires, le Pontife, devant l’opinion publique internationale consternée a bénit le Dictateur Pinochet et, dans des lettres privées aux évêques du monde entier, les prévient avec sévérité qu’il doivent rejeter fermement l’idée exotique que la femme puisse accéder au sacerdoce.

1988‏‎ : fraude du Suaire de Turin (1929 et 1988)

Lettre D505
(11 novembre 1988) [...] en octobre 1988. Le cardinal Erdw. Cassidy osa informer pour la première fois un Pape, qui était en l’occurrence Jean Paul II, lequel entra en colère puis en dépression. Il convoqua immédiatement un noyau très réduit de cardinaux qui apprirent la fraude. Le cardinal Tomko était partisan de dire la vérité puisqu’il ne sera pas possible de changer le Sindon. Jean Paul appuyait timidement sa position tandis que le cardinal Ratzinguer s’y opposa fermement alléguant des raisons gravissimes de scandale. [...] la décision de verrouiller le scandale s’imposait, sa divulgation devant le déclencher immédiatement, contrairement à ce qui se passe dans des circonstances semblables. Ce fut le cardinal Ballestrero qui fut chargé de livrer un échantillon du tissu aux laboratoires.
Lettre D518
(11/11/1988) [...] nous avons vu la Fraude perpétrée sur OYAAGAA. Pour sûr vous avez admiré notre indignation et vous vous demandez quelle est la raison de tant de scandale. Nous pouvons vous indiquer que le thème nous préoccupe gravement, tellement nous avons fait quelque chose d'aussi insolite que nous faire connaître publiquement. Cela est beaucoup plus grave que les violations des droits de l'homme en Argentine, Chili, Indonésie, Allemagne Nazie avec l'extermination massive de Juifs, le meurtre de communistes héroïques par Joseph Staline, le génocide d'Arméniens par la Turquie et la froide extermination des aborigènes de la part des Etats Unis, pour donner quelques exemples, qui ont, vus dans une optique AAGEEEUWWE (intraduisible) un sens anti-évolutif [...].