Inde citée dans les lettres ummites

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L'Inde (Union Indienne ; des indiens ; des hindous) est citée dans les lettres ummites dans les sujets suivants :

1957-1958 : voyages en Inde

1957 : ce qui divise le réseau social

Lettre D62

(avril 1967) En 1957, notre frère YOA 6, fils de UNOO 532, recevait l'ordre de se diriger vers New-Delhi et ensuite à Hyderabad pour réaliser une grande étude concernant des mystérieux phénomènes réalisés par les fakirs de l'Inde. A la vérité, l'étrange mentalité des hommes de la Terre déconcerta énormément les frères de la planète UMMO. Dès le moment où nous avons assimilé quelques langues (le Français et l'Anglais furent les premières), la riche gamme des pensées, des mythes, des faits contradictoires ; l'exubérance des formes de conduite et des coutumes liées aux différentes cultures de cette planète; nous déconcertèrent et même nous découragèrent au début.

[...] La dissociation mentale de l'homme terrestre provoquée par des facteurs biologiques, sociaux et historiques et même géographiques, devint évidente pour nous. Face à une somme de vérités et de réalités scientifiquement comprises par un petit groupe d'intellectuels et de scientifiques terrestres, la superstition, le mythe, la version populaire des lois biologiques, psychologiques et scientifico-physiques, divisent et fragmentent le réseau social de cette planète.

1957-1958 : étude de seize mystérieux phénomènes des fakirs

Lettre D62

[...] le concept topique terrestre de Parapsychologie en tant que tel, est inconnu sur UMMO. [...] Vous mettez sous le terme de phénomènes parapsychologiques toute une série d'observations concernant par exemple, la télépathie, la clairvoyance, la précognition, l'ectoplasmie, la suggestion hypnotique, la psychotélékynèse, etc... en essayant d'apporter une explication scientifique aux différentes nouvelles ayant un rapport avec les maisons hantées, les merveilleux prodiges obtenus par les brahmanes de l'Inde, la photographie de matérialisations réalisées par les spiritualistes (anciens spirites) ou la radiesthésie, parmi tant d'autres phénomènes enregistrés par la civilisation terrestre. [...]

[...] quand nous avons lu, dans diverses publications, la série immense de croyances en certains phénomènes mystérieux, nous restâmes perplexes. Comment débroussailler le RÉEL de la FICTION ? Nous établîmes un plan méthodique d'étude pour ne pas nous perdre dans les méandres de cette pléiade d'affirmations gratuites concernant "le mystère". Et nous avons sélectionné dans ceux relatés ceux qui avaient atteint la plus grande diffusion. Les pratiques du YOGA et les surprenants phénomènes d'enterrés vivants, la floraison instantané de plantes végétales, la capacité de marcher sur des braises ou des cendres incandescentes, la lévitation, la bilocation, etc... etc... attirèrent puissamment notre attention.

[...] Nous avions des références sur la manière dont se déroulait la merveille de la corde enchantée "Hindoue". Et même nous avions lu un récit d'un certain Juan Weyer qui, au 16ème siècle, l'avait publiée dans un livre intitulé "Prestiges des démons". Nous savions qu'un fameux prestidigitateur nord-Américain, Hovard Thurston, se rendit en Inde en 1920 pour chercher un fakir qui veuille bien lui apprendre le moyen de réaliser cet effet. Il ne put même pas assister à une seule session. La reine Victoria d'Angleterre qui était très intéressée pour être témoin du surprenant phénomène, ne put pas non plus, pendant son voyage , satisfaire son désir bien que les autorités d'occupation aient déplacé des centaines de soldats à diverses cités pour convaincre les natifs les plus qualifiés. On attribua cet échec à la haine que les hindous ressentaient pour le dominateur Anglais.

Un reportage du journaliste états-unien M. Keel, qui fut publié dans la revue "Argosy", essaya de révéler le secret et attira l'attention de mes frères. L'écrivain n'avait pas pû présenter de preuves mais il spéculait d'une manière très ingénieuse sur de possibles explications qui nous parurent peu convaincantes. Nos frères recensèrent beaucoup plus de matériel documentaire sans qu'une seule des études, reportages et analyses puissent apporter une hypothèse plausible. Quelques prestidigitateurs notaient timidement que parfois l'explication pourrait être qu'entre deux arbres, un fin câble suspendu puisse soutenir la corde. L'argument était faible en lisant comment s'effectuait la démonstration, quelques fois dans les esplanades où l'arbre le plus proche se trouvait à 40 mètres (cas de E.Laigher en 1903).

Étions-nous devant un véritable cas de pouvoir surnaturel inconnu sur la Planète UMMO et obtenu par les Terrestres ? Nous ne comprenions pas pourquoi aucun scientifique important de la Terre ne se préoccupait pas d'étudier sérieusement un cas si suggestif. C'est la première fois que nous révélons aux Terrestres un secret soigneusement gardé par les Saddus hindous. Un document analogue que nous envoyâmes à Dionisio Garrido Buendia fut rédigé en langue allemande dans l'intention de prendre des contacts avec les organisateurs du Congrès International de Prestidigitation célébré du 27 au 31 août à Vienne en l'an 1958. Les appels téléphoniques préalables à M. Hans Trunk [1887-1966], président du club de magie de Vienne furent déplorables. Notre frère qui était à Vienne décida de ne pas remettre le document où nous apportions une explication scientifique à seize phénomènes de ce type.

Corde enchantée (avril 1957)

Lettre D62

Le 12 février 1957 arrivent YOA 6 et un frère subordonné, UURIO 79, fils de IYIAA 5 à Hyderabad pour se rendre jusqu'à des villages voisins de la rivière Godovary où, selon des nouvelles extraites de sources dignes de foi, il était possible de trouver quelques hindous capables de répéter ces effets. Surgirent cependant des difficultés imprévues. Nos frères voyageaient avec des passeports au nom de supposés citoyens irlandais et les autorités de la capitale durent observer une irrégularité car elles demandèrent des renseignements par téléphone à l'Ambassade de l'EIRE. Ils durent fuir l'hôtel en déjouant la surveillance de la Police après avoir détruit le matériel scientifique qu'ils avaient avec eux, et retournèrent après de nombreux incidents à Singapour pour tenter de nouveau l'opération qui se réalisa cette fois-ci sans encombres jusqu'à Sholapur (avec de nouveau un matériel scientifique adéquat).

[...] Comme mes frères échouèrent dans leur première tentative en se faisant passer pour des touristes irlandais, ce qui provoqua la naturelle méfiance des habitants, le 2 Avril 1957 ils se présentèrent dans un autre village vêtus et typés comme des agents pakistanais d'une firme commerciale spécialisée dans l'exportation de thé pour Madras, qui, "dès l'enfance avaient été attirés par l'envie d'assister à l'enchantement de la corde".

Durant quatre jours, ils restèrent dans le village en attendant un vieux Saddu dont le fils se déplaça personnellement pour le chercher. Ce n'était pas un véritable saddu, mais les deux autres qui vivaient près de la rivière n'étaient pas capables de réaliser le prodige. Une bonne rémunération en livres sterling stimula ces bonnes gens. Vers les 8 heures du matin du 7 avril 1957 le saddu, ses deux fils, le délégué gouvernemental du village et vingt-deux natifs, hommes, femmes, enfants, accompagnèrent nos frères jusqu'à un lieu situé à 1,8 km. Ils leurs expliquèrent que c'était un endroit où se retirait l'ancien pour méditer.

Le UULUEWA [équipement sphérique d'environ 2,19 centimètres de diamètre] les suivit à 800 m au dessus de leurs têtes, sans que les naïfs accompagnateurs ne s'en aperçoivent.[...]

[La démonstration faite et] Nos frères partirent cette même après-midi et firent semblant de retourner à la Capitale. En réalité, ils retournèrent à l'endroit où s'était produit le surprenant phénomène. Ils attendirent la tombée de la nuit pour effectuer un premier examen du terrain. [...] Avec des équipements miniatures comme ceux utilisés par nos frères en Inde, on peut découvrir ainsi des filons de minéraux, des courants d'eau ou d'hydrocarbures, des roches enterrées, des tunnels et des tubes enterrées, des ruines de cités préhistoriques et différents objets de diamètre supérieur à 5 cm (avec les équipements miniatures tels que ceux que nos frères utilisèrent en Inde).

[...] YOA 6 et URIIO 79 retournèrent quelques jours plus tard à Singapour où résidait à ce moment-là notre ancien chef des hommes d'UMMO en mission sur Terre. Les résultats nous stupéfièrent. L'analyse des photographies de la surface de la zone, les enregistrements de l'intérieur de la corde, l'analyse chimique des fibres, les échantillons de terre et encore moins l'aiguille ne servirent à rien parce que l'examen de la structure géologique de la zone montra clairement la fraude.

Cordes qui rampent et se balancent au rythme de la musique comme des serpents (septembre 1957)

Lettre D62

Le 17 septembre 1957, notre frère en mission sur OYAGAA (planète TERRE) YOA 6 fils de UNNOO 532 accompagné de EMEE 48, fils de EMMEE 44, arrivèrent dans un hameau des environs d'AHMADABAD.

A des dates antérieures, le premier des frères cités avait pénétré en Inde avec des missions d'études définies. La première pour analyser certains phénomènes supposés parapsychologiques et la seconde pour élaborer un rapport sur le développement du TANTRA ainsi que l'analyse du BHUTASSUDDHI ou purification (SHUDDHI) des cinq éléments (bhuta) qui composent le corps, condition requise indispensable dans tout rite tantrique. Les motivations internes de type subconscient qui soustendent ces pratiques du Tantra revêtent pour nous une énorme importance car, en elles, se présente avec toute sa pureté une réaction neurocorticale dénommée par nous OOGOOIAA IXWEE qui apporte assez de lumière sur le comportement des OEMII terrestres sous l'effet de la suggestion provoquée par les liturgies religieuses.

Cette fois cependant, l'objectif était semblable à celui correspondant du premier voyage. Nos frères débarquèrent alors dans la colonie portugaise de Goa et passèrent la frontière coloniale en direction de Bombay et de là à AHMADABAD. Nos frères portaient des passeports finnois en se présentant comme des agents consulaires de Finlande dans la ville portugaise, en voyage de loisirs vers Damao, Goa et le Pakistan. Nos frères visaient trois objectifs concrets dans l'intention d'interpréter de tels phénomènes. L'un d'eux était de résoudre concrètement ce qu'il y avait de certain dans une des plus anciennes traditions hindoues concernant les "enchanteurs" de serpents.

Dans cette cité (AHMADABAD) des conversations téléphoniques eurent lieu avec un commerçant anglais dans l'électro-ménager, en nous présentant à lui comme des OEMII de UMMO. Ce commerçant licencié en mathématiques reçut postérieurement une série de rapports sur la Théorie des Processus et l'algèbre de Boole qui le surprirent grandement. Sans arriver à accepter que nos frères soient réellement des habitants d'une planète lointaine, il montra sa reconnaissance en apportant une série de données des plus précieuses, grâce auxquelles il fut possible de réaliser un court voyage dans une des petites villes voisines et d'entrer en contact avec deux Shagat (espèce de fakirs) qui gagnaient leur vie en réalisant divers effets surprenants, comme avaler du plomb fondu et des grenouilles ou manger du verre (ensuite nous avons su qu'il s'agissait en réalité de lames de sucre candi transparentes) et mettre les mains dans une boite pleine de scorpions.

Le 19 septembre 1957, différents voisins se réunirent avec nos frères et un accompagnant portugais qui servait d'interprète, car nos frères feignaient d'ignorer le dialecte de la région bien que YOA 6 était un spécialiste de la sémantique hindoue à cette date.

[...] Une fois que le SHAGAT s'est éloigné de son panier, il commença à émettre, en le modulant avec ses lèvres, un sifflement pauvre en harmoniques (fréquence fondamentale : 750 cycles par seconde). Du panier sortent les supposées cordes rampant avec difficulté. [...] Réellement ces prétendues cordes qui sortent du panier ne sont pas les mêmes qu'il y avait dans le fond de celui-ci. Il s'agit de serpents à écailles verdâtres, connus des ophidiologues terrestres qui les cataloguent dans la famille des colubridés du genre OPHEODRYS, et dont la longueur oscille entre 40 et 70 cm (non pourvus de crocs toxiques) et faciles à domestiquer. Les mages hindous les soumettent à un long processus d'apprentissage par réflexes conditionnés. Très sensibles à la chaleur, ils les incitent, avec une série de punitions quand ils n'obéissent pas, à se plier à des mouvements rythmiques imposés quand ils entendent les modulations du sifflement, le Shagat utilise aussi de l'eau bouillante pour les effrayer. [...] Les serpents peuvent sortir sous les ordres acoustiques du maître et se remettent de nouveau dans le terrier artificiel une fois l'action magique terminée.

1966

1966‏‎ : correspondant indien

Lettre D37-1
(février 1966) Distribution de ce document : en Inde : 1 [personne].

1966 : NON pour se présenter quand des millions d'affamés meurent en Inde

Lettre D47-2
Nous sommes en train de vous parler d'une terrible désorganisation de vos structures sociales. De ce cruel paradoxe, soutenu par vous, qui permet à quelques milliers d'individus de se distraire dans leurs luxueuses automobiles, alors qu'il manque de combustible pour transporter les excédents agricoles vers l'Inde où meurent des millions d'affamés, et vous désirez que nous nous présentions tout d'un coup sur la place de la Concorde à Paris pour qu'affluent du monde entier des milliers de bourgeois inoccupés, avec l'unique but de satisfaire la curiosité de voir des hommes venus d'un astre lointain...

1967 : menace d'une agression nucléaire dans les années proches

Lettre D68
(reçu le 04/07/67) Si dans les années proches, vous-même et vos politiques arrivent à surmonter la menace d'une agression nucléaire (nous pouvons dire d'une manière confidentielle que les États-Unis réalisent actuellement des études pour contrôler la turbulence gazeuse qui suit une explosion atomique, de manière à ce que le propre champ magnétique terrestre permette la diffusion de la masse radioactive sur des zones immenses, avec une masse minime de Tritium H 13, et que les services de sécurité Soviétiques, Israéliens, Anglais, Français et Hindous ont conscience de ceci).

1969-1980 : expéditionnaires de deux autres astres

Lettre D1378
(30/01/1988) Les deux autres groupes planétaires se mêlèrent à vous facilement par l'avantage que supposait, à l'égal de nous-mêmes, d'avoir une anatomie pas très différente de celle de l'OEMIIhommes de OYAGAATerre. Leurs buts étaient identiques aux nôtres, mais leur stratégie différente. Ils maintinrent un silence strict sans jamais se faire connaître.
Leurs vaisseaux furent inévitablement détectés comme les nôtres, et ils établirent des bases aux Etats-Unis et en Union Soviétique. (Les expéditionnaires de l'une d'elles : Astre ISSSSS, arrivèrent en Angola en 1962, ils se mêlèrent à vous vers 1969 aux Etats-Unis, en URSS et en Union Indienne et ont abandonné OYAGAA en 1980. ISSSSS est situé à 174 années lumière de OYAGAA.) Ils ont tous évité n'importe quel type de contact avec nous. Aucune de ces civilisation ne vous causa de tort, suivant des normes plus ou moins différentes mais coïncidant pour l'essentiel, dérivées des UAAAlois universelles.

1972 : analyse de la régence des groupes sociaux

Lettre D104

(23 novembre 1972, date à laquelle le rapport original fut envoyé sur Ummo) La première chose qui surprend nos frères expéditionnaires sur la Terre, c'est la structure des groupes sociaux et leur régence par le chef. Nous sommes accoutumés à la détection des bases neurophysiologiques de chacun de nos frères dès la période de gestation. [...] nous évaluons depuis le premier moment la capacité intellectuelle et ergologique de chacun d'entre nous, classant les Oemii en fonction de ces bases. De cette façon, nous savons quand un de nos frères possède les traits mentaux qui le qualifie pour le commandement, et on l'y prépare dans les centres d'études pour accomplir cette dominance.

Ce qui nous effraie, ce n'est pas que vous ne soyez pas parvenu à cette évaluation précoce, mais qu'une fois l'Oemmii développé, et sa capacité intellectuelle reconnue, vos systèmes sociaux non seulement ne permettent pas de nombreuses fois la discrimination des mieux qualifiés, mais encore élèvent à des postes clefs des oemmii peu doués. Une analyse que nous avons réalisée fait apparaître des résultats affligeants (ÉCHANTILLONS SOCIAUX SÉLECTIONNÉS AU CANADA, EN ARGENTINE, AU MAROC, EN MAURITANIE, GRANDE-BRETAGNE, ESPAGNE, INDE, PAKISTAN, AUSTRALIE, FRANCE, PHILIPPINES, TCHÉCOSLOVAQUIE). Les études furent réalisées par des moyens différents des enquêtes réalisées avec les techniques de la Terre puisqu'on ne soumit aucun questionnaire aux individus sélectionnés. [...] Les masses se laissent plus facilement entraîner par des strates de neurocorticalisation primitives (des militaires, des sportifs) que par des niveaux ayant un degré plus élevé de développement cortical (penseurs, intellectuels, chercheurs purs, pasteurs religieux, leaders sociaux). Déjà parmi des groupes d'enfants prédominent plutôt les enfants développés musculairement que ceux doués intellectuellement: les premiers deviennent des chefs de clans ou de groupes.

1974 : idéologies orientales comme causes de la misère

Lettre D112

(08 janvier 1974) TOUJOURS SE MÉFIER de tout schéma idéologique qui promet des buts désirés comme Paix sociale, Tranquillité et paix intérieure, atteinte de la VÉRITÉ, conversion de l'esprit, atteinte d'une CONNAISSANCE SUPÉRIEURE, Sainteté, FÉLICITÉ, Harmonie Psychique et Sociale, AMOUR, et cætera, avec un minimum d'effort ou au moyen d'exercices mentaux ou mystiques. Pour être atteints, tous ces buts idéaux requièrent un effort énorme, une étude soigneuse et sont l'œuvre NON D'UNE SEULE PERSONNE mais du RÉSEAU SOCIAL et aussi le fruit de plusieurs générations. Nous, humains venus d'un autre astre froid et spectateurs muets de votre tragédie, tomberions dans une erreur grave si nous vous mentions par compassion, vous faisant forger de vaines espérances.

Vous, Aguirre Ceberio Juan et vos frères, devez réfléchir que ces buts recherchés ne s'atteignent pas si facilement comme le postulent certaines idéologies orientales de la Terre (Hindouisme, Bouddhisme), en tentant de se psychodynamiser vers l'intérieur, en fuyant le Monde qui vous entoure, en essayant de modifier en premier votre" mental" avant de modifier le milieu.

Une telle supercherie illusoire peut entraîner la misère la plus épouvantable puisque l'humain qui, honnêtement mais aliènement, essaye par voie ascétique ou mystique de se transformer pour atteindre la paix ou une connaissance supérieure, oublie simultanément ses contrats avec la société, abandonne son Réseau et y provoque des troubles aux conséquences irréversibles qui génèrent faim, révolution, misère qui à leur tour auront une incidence sur lui-même, limitant le progrès somatique de son propre corps. Et comment un système nerveux central, base de ces processus mentaux qu'il désire transformer, peut-il évoluer sans les plus petites conditions d'Hygiène, Satisfaction de fourniture énergétique et protéique ou stabilité du milieu Physico-Biologique dont il a besoin? Vous mêmes avez été témoins de l'immense misère que ces idées provoquèrent dans des nations comme la Chine, l'Indonésie, l'Inde, la Péninsule Indochine, jusqu'à ce que l'influence d'autres Nations ait rationalisé et calmé un tel état.

1975 : plan d'urgence pour éviter un suicide collectif sur Terre

Lettre D1378
(30/01/1988) [...] nous avons déjà préparé, dès 1975, un plan d'urgence définitif, [... quand] l'évolution turbulente de l'humanité de OYAGAATerre rendrait prévisible bien que peu probable la nécessité d'une intervention de notre part pour éviter un suicide collectif qui entraînerait même l'élimination des espèces animales inférieures.

Il fut immédiatement convenu d'adopter les mesures pertinentes pour prévenir cette urgence. PREMIÈREMENT : construction en différents points de OYAGAA de bases souterraines dotées de l'étanchéité et de moyens d'autoapprovisoinnement en oxygène, eau, énergie et produits d'alimentation. De telles installations furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un contingent réduit d'OEMMIIhommes de OYAGAATerre, qui assurerait leur survie en cas d'attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques, y compris toute la période postérieure du risque d'agression physique et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s'étendre à environ cinq cents jours terrestres).

DEUXIÈMEMENT : equipement de ces bases avec du matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct des nations suivantes : Etats Unis d'Amérique du Nord, Union des Républiques Socialistes Soviétiques, Canada, Grande Bretagne, République Populaire de Chine.

Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait de UMMO avec d'importantes dotations de matériel technologique de coercition, afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République Fédérale d'Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon, République du Vietnam, Corée du Nord, Angola, République Sud Africaine, Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique, Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.

On permettrait durant un temps court la souveraineté aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive de procéder au démantèlement de leur infrastructure militaire (excepté leur force policière), jusqu'à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés par mes frères. [...]

[...] Naturellement, nous ne pouvons pas vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive, et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l'hippocampe, qui bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l'Etat.

1988 : créativité artistique du pays

Lettre D792-3
(Janvier 1988) Aucun pays, à part l'Inde et le Japon, a mérité de notre part tant d'attention, que la péninsule Italique quant à l'aspect relatif à la créativité artistique.

2011 : communication restreinte

Lettre GR1-2
(16/09/2011) Nous avons dû retirer toute communication avec des OEMMII d'OYAGAA par ordre impératif de notre UMMOAELEUUEgouvernement d'UMMO. Une communication (restreinte) a seulement été maintenue avec vos frères dans les pays Canada, EUA, Allemagne, Australie, France, Inde et Norvège. Dans ces pays, et dans quelque autre, il existe autant d’autres groupes, très réduits, qui respectent, sans rien demander, nos suppliques de ne pas divulguer nos communications, ni de se faire connaître comme nos correspondants. [...] Dans tout ce temps, mes frères ont voyagé de manière très intense, sur votre planète, en consacrant une présence spéciale à l’étude en CHINE, EUA, BRESIL, CORNICHE NORDAFRICAINE, IRAN, CORÉE DU NORD ET DU SUD, ET CONTINENT ANTARCTIDE.