OYAAGAA : Différence entre versions
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+ | {{lettre|D57-2|Le '''7 janvier 1949''', après l'exploration des planètes [[NEPTUNE]] et [[MARS]] par nos frères déplacés dans deux [[OAUOLEA UEUA OEMM]] (NEFS SPATIALES), celles-ci arrivent à proximité d'une nouvelle [[OOYA]] [ '''Terre''' ] pourvue d'une atmosphère beaucoup plus dense que celle enregistrée sur l'[[Mars|astre précédent]]. [...]<br> | ||
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+ | Durant l'exploration de Neptune on avait déjà reçu une grande gamme d'émissions radioélectriques de la '''Terre''' qui permit à nos frères d'identifier cette planète.}} | ||
===Second groupe atterrit en France=== | ===Second groupe atterrit en France=== |
Version du 11 décembre 2018 à 11:01
OYAAGAA (OYAAastre froid+GAAcarré) est le nom de la Terre dans le langage ummite.
Autres orthographes
OYAGAA ; OOYAGAA ; OIIAGAA (D1751).
Globe terrestre
Histoire de découverte
Signal capté
- Voir aussi : Message du navire norvégien en 1934

[...] La durée des signaux captés fut infime, 2,21 UIW (6,83 minutes), et étaient composées d'impulsions courtes et d'impulsions longues. Nous avons su par la suite qu'il s'agissait du code terrestre MORSE. Mais nos techniciens l'interprétèrent comme un code binaire (point = zéro, trait = un). Cette erreur provoqua une traduction incorrecte du message car de nombreuses interprétations étant possibles, la plus correcte et la plus cohérente semblait être l'expression analytique de l'équation qui représente mathématiquement quatre points orthogonaux sur un plan. C'est à dire: un carré. C'est pour cela que la présumé planète d'où étaient issus les signaux fut baptisée avec le mot "OYAGAA" (dont la traduction est: Astre Froid du Carré).
Il nous fut facile (en utilisant notre Système de référence de Coordonnées Galactiques) de situer le point approximatif d'où était partie l'émission. La OOYIA (Étoile naine) d'où provenait le signal était parfaitement visible (Le SOLEIL de votre système). [...]
Jusqu'alors on n'avait pas fait attention à votre SOLEIL, tout simplement parce que l'on n'avait jamais reçu de ce point le moindre signal d'ondes électromagnétiques ou gravitationnelles ce qui fait que nos spécialistes présumaient l'inhabitabilité de ce groupe planétaire.Premières données
[...] La nouvelle fut reçue avec intérêt par notre communauté et avec surprise par nos techniciens ; l'étape suivante fut de spéculer sur les rares données non exemptes de larges marges d'erreur autour de la probabilité de chacun de ces quatre OOYAA cités de ce système planétaire, de présenter des possibilités d'identification avec le récent centre émetteur OOYAGAA (Planète" carré"). Certains de nos spécialistes en spéculant sur la raison de l'émission du message se référant à cette figure géométrique, supposèrent qu'il obéissait à la simple raison d'employer un Code interplanétaire à base de figures géométriques simples.
À cette époque là nos techniciens avaient calculé ainsi les masses probables de ces quatre planètes Solaires :
OOYAA... (identifiée aujourd'hui comme NEPTUNE) : 52.1024 OOBO (Unité de Masse, équivaut à 1,733 kilogrammes-masse)
OOYAA... (probablement SATURNE) : 286.1024 OOBO
OOYAA... (identifiée aujourd'hui comme JUPITER): 940.1024 OOBO
OOYAA ... (Cette planète n'existe pas, sa déduction se fit en partant des influences gravitationelles de MERCURE et de VENUS): masse estimée: 2,6.1024 OOBOO.
Ordre d'explorer ce système planétaire
En premier lieu la distance mesurée dans l'espace-temps tridimensionnel classique est si énorme que dès le départ on rejette toute tentative de réaliser le voyage sur l'axe "droit" qui sépare les deux planètes. Un vaisseau qui atteindrait même 118 000 (cent dix-huit mille) kilomètres/seconde (vitesse maximum conseillée pour ces déplacements) et qui se dirigerait sur la trajectoire supposée droite que suit la lumière jusqu'à cette Planète, mettrait plus de 35 (trente-cinq) ans à arriver.
Principe des voyages à travers la Galaxie (permutation des particules subatomiques)

Si maintenant je plie le drap suivant un axe qui coupe perpendiculairement le plan médian de la distance qui sépare les deux tâches, il est certain qu'en plus de cette distance (celle que les mathématiciens appellent Géodésique) il en existera une autre plus courte qui, en sortant de la surface du drap, traverse l'espace aérien qui sépare ces deux points.
De plus vous pouvez observer qu'une telle distance est axiale par rapport à une distance qui tombe en dehors de l'Espace Tridimensionnel représenté par le tissu du drap. L'unique voie pour réussir à nous situer dans un cadre tridimensionnel de référence qui ne soit pas celui de la propre toile du drap qui nous sert d'exemple, sera d'orienter nos propres corpuscules subatomiques vers un axe différent; exprimé en langage physique de la TERRE : permuter les particules subatomiques avec un contrôle homogène et rigoureux.
Dans ces conditions un voyage interstellaire n'est pas quelque chose que nous puissions faire à notre guise. Il dépend, comme vous avez pu le comprendre, de ce que nous appelons les CONDITIONS "USAAGIXOO" (isodynamiques) de l'espace. [...]
Mais ces ondulations ou plis de l'espace sont apériodiques, ils ne subissent pas une loi déterminée. On peut les prévoir à court terme mais avec de grandes marges d'erreur. Par exemple en ce moment (janvier 1967) nous savons que l'un de ces intervalles favorables approche (la marge d'erreur s'étend de décembre à mars des deux années 1966-1967).Première exploration n'atterrit pas
Durant l'exploration de Neptune on avait déjà reçu une grande gamme d'émissions radioélectriques de la Terre qui permit à nos frères d'identifier cette planète.
Second groupe atterrit en France
- Le processus d'apprentissage, les angoissantes méthodes de défense improvisées les premiers jours pour ne pas tomber aux mains des autorités françaises, les motifs qui nous amenèrent à enfreindre vos lois en recourant au vol pour obtenir du papier monnaie (argent qui fut restitué par la suite), tout cela mérite sans doute d'être dit pour fonder une première tentative d'élaboration des premières relations entre les deux Planètes.