France citée dans les lettres ummites
La France citée dans les lettres ummites dans les sujets suivants :
Sommaire
- 1 1950
- 1.1 28 mars 1950 : premier atterrissage de trois nefs lenticulaires dans la région de DIGNE
- 1.2 29 mars 1950 : première exploration
- 1.3 30 mars 1950 : premier contact
- 1.4 2 avril 1950 : aliments terrestres et premiers mots français enregistrés
- 1.5 24 avril 1950 : sur cette planète PAS d'unité de langage ni de structure sociale
- 1.6 25 avril 1950 : premier atteinte à la propriété
- 1.7 1950 : autres contacts
- 1.8 1950 : gouvernement français avait des problèmes beaucoup plus graves à traiter
- 1.9 1950 : ordre de se disperser sur la TERRE
- 2 1959 : recherche des documents secrets à propos de leur arrivée sur Terre
1950
28 mars 1950 : premier atterrissage de trois nefs lenticulaires dans la région de DIGNE
(12/02/67) A 4 heures 16 minutes 42 secondes TMG (heure terrestre de GREENWICH), on effectua l'OAWOOLEAIDAA [...] : l'instant critique pendant lequel le vaisseau interplanétaire UEWA OEMM avec ses pilotes subit une inversion axiale de ses particules sous-atomiques ce qui suppose la substitution d'un système référentiel à trois dimensions par un autre. Ce changement de dimensions nous est nécessaire pour réaliser un voyage en utilisant la distance réelle la plus courte, différente évidemment de celle que parcourt la lumière dans l'autre système référentiel de l'espace tridimensionnel dans lequel nous vivons normalement.
L'Owooleaidaa, vue par un observateur qui se trouve sur TERRE, présente des particularités très singulières. Par exemple, l'UEWAA (Nef interplanétaire de forme lenticulaire) apparaît soudainement comme surgie du néant ou disparaît automatiquement quand le processus est inverse. En réalité la disparition est apparente car le vaisseau continue à exister au sein d'un autre système à trois dimensions.
[...] à l'heure citée, trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spaciaux) "apparurent subitement" en un point situé à la hauteur de 7,338 kilométres au-dessus d'un endroit situé à quelques 13 km de la ville française de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE (Département des Basses Alpes), non loin de la frontière de la République Cantonale et Fédérative de Suisse. C'était le 28 mars 1950. Les trois nefs descendirent rapidement touchant terre à 4 heures 17 minutes 3 secondes TMG.
Les pieds extensibles des vaisseaux s'enfoncèrent à peine dans le terrain rocailleux d'un contrefort alpin, non loin de celui que nous avons identifié par la suite comme Pic "CHEVAL BLANC" haut de 2322,95 m au dessus du niveau moyen de la mer et non loin du petit cours fluvial de " LA BLEONE".
Durant quelques 20 UIW (60 mn), personne ne sortit de nos vaisseaux, en attendant une attaque possible. Nos équipements sondèrent dans un rayon de 800 mètres l'émission possible de radiations infrarouges provenant d'être humains. [...] Rassurés parce n'apparaissait aucune trace détectable d'êtres humains dans les environs, quatre de nos frères non expéditionnaires descendirent, parmi les trente six qui composaient la dotation totale des trois nefs.
[...] Peu après sortaient les six expéditionnaires accompagnés de vingt membres de l'équipage. Il était nécessaire de commencer les travaux d'une construction souterraine d'urgence. On réalisa une évaluation expérimentale des caractéristiques du sol. Ce qui nous frappa le plus ce fut l'absence de Titane dans la composition chimique des roches de la terre (sur notre sol d'UMMO, cet élément chimique est aussi fréquent que l'aluminium dans les argiles terrestres).
Il était nécessaire de réaliser la perforation en fondant à grande température des grés et des calcaires. [...] Les matériaux ainsi fondus furent transmutés en un isotope d'azote. De cette façon, à l'extérieur n'apparaissaient pas des tas de terre qui auraient révélé notre présence à d'éventuels observateurs humains terrestres. L'on travailla toute la nuit jusqu'à 7 heures. [...] La galerie, ouverte dans le sous-sol d'une longueur de 4 mètres et d'une profondeur de 8 mètres fut étayée [...].Voir aussi : Arrivée sur Terre ; 28 mars 1950.
29 mars 1950 : première exploration
[...] le 29 mars à 11 heures du matin (heure française) les explorateurs et les membres de l'équipage célébrèrent un émouvant départ. [...] Les mains de chacun sur la poitrine de son frère comme c'est notre coutume, indiquèrent le moment du départ; personne ne prononça une parole. [...] 30 membres d'équipage montèrent dans les vaisseaux. Rapidement ceux-ci commencèrent le processus de l'AIAIEDUNNII (les zones superficielles extérieures élèvent leur température jusqu'à l'incandescence) de cette manière les germes vivants sont détruits pour obtenir une stérilisation parfaite; cette mesure est nécessaire car aussi bien les micro-organismes que les virus peuvent être inversés dans leurs dimensions et réaliser le voyage spatial, arrivant jusqu'à notre Planète.
Les trois UEWA s'élevèrent à une hauteur de six kilomètres. Les explorateurs contemplèrent leur disparition apparente quand se produisit à cette altitude la seconde OAWOOLEAIDAA pour le retour.
Ce même jour deux de nos frères reçurent l'ordre de réaliser une première exploration à une certaine distance de la galerie pendant que les autres poursuivaient les travaux dans celle-ci.30 mars 1950 : premier contact
(27/03/67) Le 30 mars 1950, deux de nos frères virent des animaux vertébrés avec des protubérances pointues sortant du crâne. [...] Avant de s'approcher d'avantage, ils commencèrent les opérations habituelles d'enregistrement de sons et images et le procédé de détection des champs électrostatiques et gravitationnels émis par ces animaux. Se trouvant à une distance de 15 mètres terrestres [...].
Soudain apparût de derrière un grand rocher des environs un être humain [...] un enfant de 11 ans qui surveillait le troupeau de son père [...] Le jeune français, en voyant l'attitude passive de nos frères, appela son troupeau et se retira en saluant timidement.
[...] L'entrée de la Galerie fut fermée et camouflée, décidant de ne pas sortir de là avant un temps de 1200 UIW (60 heures).2 avril 1950 : aliments terrestres et premiers mots français enregistrés
[...] le 2 avril [...] il fut décidé de sortir en plein jour pourvus des vêtements improvisés imitant le style terrestre. [...] L'on décida d'aller à la recherche de l'enfant terrien [...] l'UGEEgarçon les reconnut malgrè la différence de tenue. L'UGEE sortit un étrange récipient (thermos) et leur offrit son contenu après avoir défait un autre paquet contenant des aliments. Une discussion par gestes très animée commença. Un de nos frères tout en sachant le risque qu'il prenait au cas où les aliments auraient eu leurs protéines orientées dans l'autre sens (vous savez que les molécules protéïques peuvent être dextrogyres ou lévogyres) osa accepter les viandes pour ne pas éveiller d'autres soupçons tout en prévenant son frère de refuser. Ce fut la première fois que l'un de nos frères ingurgita des aliments terrestres. [...] Ce détail [...] est en réalité d'une importance transcendante car il confirme l'hypothèse qui établit une même orientation moléculaire pour tous les être vivants du WAAM (COSMOS) à l'encontre de l'un des postulats de l'hypothèse quelque peu décadente de la parité dans l'orientation, selon laquelle la probabilité pour que sur une planète surgissent les piliers moléculaires organiques orientés dans le sens dextrogyre est statistiquement la même que dans le sens lévogyre.
[...] pendant que le berger prenait nos expéditionnaires pour de simples étrangers, ceux-ci étaient convaincus que l'adolescent avait deviné leur origine extraterrestre. Un de nos frères commença la tâche immédiate de signaler divers objets pour que l'UGEE traduise dans sa langue le signifié. Le petit comprit très vite ce que l'on attendait de lui [...], il traduisit en français une riche gamme d'objets et de verbes faciles. Nos frères sortirent le fragment du journal en langue française et l'enfant quoique avec certaines difficultés, lut parfaitement des paragraphes entiers. [...] Les gestes et les mots de l'enfant étaient enregistrés optiquement et phonétiquement sans que celui-ci s'en aperçoive. Nos frères de la Galerie souterraine suivaient les événements fidèlement grâce à un équipement transmetteur d'ondes gravitationnelles. [...] Dans cette journée 119 mots correspondants à des objets visibles dans la campagne, à des parties du corps humain et à des verbes représentant quelques actions topiques telles que "PRENDRE", "MANGER", "BOIRE", "RELEVER".. etc. dans leur forme infinitive nous furent révélés par cet UGEE terrien.
[...] Nos frères décidèrent de s'isoler quelques temps dans notre base souterraine pour assimiler les quelques notions idiomatiques obtenues de manière si précaire.24 avril 1950 : sur cette planète PAS d'unité de langage ni de structure sociale
Nous avions repris contact avec l'UUGEE (l'enfant français) qui, bien que de culture élémentaire, apprit à nos frères le sens de certains mots clef qui les renseignèrent suffisamment sur certains aspects aussi importants que l'existence de Nations Autonomes, la notion de l'argent et autres coutumes spécifiques des êtres terrestres. Le jeune français fournit deux exemplaires de la presse française, Le Monde du 22 avril et le Figaro du 17 avril [...].
[...] nos frères avaient appris quelque chose d'extrêmement important. Il n'existait pas, sur cette planète d'unité de langage ni de structure sociale. Les OEMIIhommes terrestres se rassemblaient par grands groupes de culture et de morphologie particulière, et, pour incroyable que cela puisse paraître, il était possible de se présenter à un groupe, ou à une nation, en se faisant passer pour membre d'une autre. Il était possible de simuler une langue existante sans créer le doute.25 avril 1950 : premier atteinte à la propriété
Le 24 avril, on fit le plan de pénétrer dans une habitation qui se trouvait à deux KOAE (NDT : 17,4 km) de notre base, pour surprendre ses habitants et, sans leur faire de mal, pratiquer un certain nombre de larcins dont ils recevraient compensation dans le futur (comme il en fut en 1952).
Celle-ci fut la première des quatre atteintes à la propriété que nous avons commises dans le département des Basses Alpes et des dix huit autres commises en France et en Suisse. Jamais, au cours de ces actions, les victimes ne subirent de sévices corporels et toujours elles reçurent des compensations. Dès que nous eûmes la possibilité de disposer d'argent, sans avoir à le voler, de falsifier des papiers d'identité et de connaître les caractéristiques de quelques armes, nous décidâmes d'arrêter de tels actes bien qu'à nos yeux ils étaient justifiés.
La nuit du 24 avril 1950, quatre de nos frères pénétrèrent dans une maison isolée en pleine campagne. Auparavant l'endroit où se trouvèrent les habitants de cette maison avait été reconnu par nos UULEWUA (sphères détectrices se propageant à une altitude quelconque, captant son et images). A trois heures du matin, le 25, les ouvriers, qui dormaient dans un appartement, un couple, propriétaire de la maison, et leurs trois enfants furent anesthésiés en plein sommeil.
Furent dérobés soixante dix mille francs (anciens) approximativement, des vêtements, des pièces d'identité (à partir desquelles nous en fîmes de fausses) [...]. Une partie de ce butin fut camouflé à quelques quatre cent mètres en attendant d'aller le rechercher la nuit suivante, le reste fut transporté dans notre base souterraine.
Les huit jours suivants furent entièrement consacrés, par nos frères, à analyser ces curieux ustensiles, essayant de comprendre les textes imprimés et les images de l'intérieur des appartements.1950 : autres contacts
Pour des raisons facilement compréhensibles, nous tairons le nom de quelques citoyens de la République Française qui ont été en contact avec nous durant ces quelques semaines (nous avons d'ailleurs de bonnes raisons de croire qu'ils ne soupçonnèrent jamais notre identité).
[...] Nous avons aussi renoncé à nourrir cette histoire de quelques faits, d'inégales valeurs anecdotiques, qui constituèrent des jalons importants dans le processus de notre assimilation clandestine éventuelle au RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE. Il s'agit de certains contacts pris avec des personnes et des entités officielles (de l'administration Centrale et, en certains cas, Municipale) de l'État français. Ces contacts, pris grâce à des noms et nationalités frauduleux, ont toujours été enregistrés, d'une manière ou d'une autre, dans des archives, et nous préférons donc, pour des raisons évidentes, ne pas les mentionner.