OYAA

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OYAA (astres planétaires non brûlantsD731 ) ; un astre froid, un astre solidifié, une planète ou une étoile froide.

  • OYAAUMMO — la planète UMMO.
  • OYAAGAA (astre du carré) — la planète Terre (GAA = carré).
  • OOYAEBEEM — la civilisation auto-détruite avec des armes à plasma (D41-16).
  • OOYAWIIA — la planète du deuxième voyage d'exploration ummite : les six expéditionnaires étaient tués par les habitants autochtones (D41-16).
Lettre D731
(20/03/87) Normalement, les AIUUBAHAYII ou organismes vivants, s'implantent sur les astres froids, c'est-à-dire sur les planètes ou les étoiles froides dont la température superficielle est suffisamment basse pour maintenir l'eau en phase liquide (ou solidifiée) à t° > 250° kelvin (-23°C) ou t°<116°C, selon la pression atmosphérique.

A l'intérieur de ces conditions, sans arriver aux limites extrêmes citées, on trouve OYAAUMMO et OYAAGAA (TERRE).

Quand l'OYAA possède une température "moyenne" extrême [...], le développement des êtres vivants est embryonnaire et ils ne sont pas capables d'évoluer vers des OEMMII (humains).

Autres orthographes

OYA ; OOYAA (D57-1).

Trillions de OYAA habitées

Lettre GR1-4
(23/01/2012) L’OEMMIIhomme vit sa vie sur n’importe laquelle des trillions (littéralement) de OYAA habitées qui infestent notre WAAMUnivers (le nombre pour le WAAM-WAAM est incalculable, nous pensons qu’il est de fait infini mais nous utilisons, pour nos hypothèses mathématiques, un nombre conventionnel de 10526 pour exprimer le nombre d’entités vivantes en lui) [...].

Planètes habitées connus par les Ummites

Lettre D69-5
(Juin 1968) Nos relations avec quelques civilisations établies sur d'autres OYAA datent d'assez longtemps. La structuration biologique de telles Planètes habitées suit les mêmes lois que celles que nous connaissons, vous et nous. La gamme des espèces et subespèces vivantes y est d'une richesse considérable, sans que l'on enregistre de grandes ressemblances parmi les phylums de chaque milieu écologique; au contraire, les schémas phylogénétiques respectifs présentent dans leur multiplicité phylétiques de profondes différences bioconfiguratives même en ce qui concerne les êtres les plus semblables d'un autre milieu planétaire.
Lettre D99
(12/05/1971) Nous avons eu directement accès à quelques planètes et nous avons reçu des informations de quelques autres. Nos voyages ont à peine dépassé (quand les conditions de "courbure" spatiale ont été optimum) une limite de 1266 années-lumière. Notre Galaxie possède une dimension maximale de 117 312 années-lumière et nous ignorons totalement les autres civilisations qui se trouvent certainement en dehors de celle-ci.
Voir aussi : Contacts d'Ummo

Habitants des planètes (êtres pensants)

Nombre d'espèces possibles n'est pas infini

Lettre D99
(1971)

La composition phylétique, complexe et très riche que vous observez sur Terre (moins riche et moins variée sur UMMO) pourrait vous faire croire que le nombre d'espèces possibles est infini. Selon cette supposition (et à l'intérieur des limites imposées naturellement par des conditions physiques totalement défavorables au développement des composés complexes de carbone) vous pourriez croire que sur des planètes à différences "géophysiques" trés marquées "peuvent exister" des êtres pensants fabuleux avec une structure somatique qui vous paraîtrait monstrueuse.

Rien n'est plus éloigné de la réalité. En effet : les astres froids que nous avons nous-mêmes connus et dont les caractéristiques atmosphériques, de masse, de l'étoile autour de laquelle elle tourne, etc., différent de la Terre et d'UMMO, abritent dans certains cas des êtres humanoïdes avec une structure mentale similaire mais dont les corps présentent seulement des différences anatomo-physiologiques accidentelles (différentes statures, épidermes variés, organes développés, circonférence crânienne et surface encéphalique étendues, etc.).

Lois qui conditionnent des êtres

Lettre D99
En réalité il existe des lois (que nous vous exposerons une autre fois) qui conditionnent l'orthogenèse des êtres en permettant tout au plus une quantité indéfinie de formes différentes, quand le cadre biophysique l'exige ainsi, mais il faut toujours que ces diverses formes soient compatibles avec un substrat biologique ou modèle universel qui tolère des modifications circonstancielles et superficielles (en réalité il s'agit d'une série complexe de modèle).

Milieu hostile

Lettre D99
Quand le milieu est excessivement hostile, ce n'est pas qu'une espèce qui prétend se structurer en s'adaptant à celui-ci périsse après une mutation frustrée, mais c'est tout simplement que l'apparition d'une nouvelle espèce était impossible.
De cette manière il existe une multitude immense de planètes sur lesquelles on ne trouve pas d'êtres vivants, ou exprimé autrement, seules des planètes aux caractéristiques proches des nôtres abritent des espèces qui dans leurs formes évolutives moyennes diffèrent de celles connues par vous, quoique conservant les traits communs aux espèces maintenant familières (systèmes nerveux et circulatoire semblables, structures osseuses et tissus aux formes différentes mais avec une base physiologique et cytoplasmique déjà connue dans leurs lignes générales).

Anthropoïdes

Lettre D99
Mais les différences sont encore moindres chez les êtres oligocellulaires ou primitifs et à une autre échelle dans les Phylums complexes (anthropoïdes).

Nous avons établi un critère de discrimination entre "l'anthropoïde supérieur ou intelligent" à l'animal inférieur même s'il possède des traits anthropoïdes comme les primates de la Terre : c'est la présence du troisième facteur OAMBUAM que nous décrirons plus loin. Et nous appellons OEMII le complexe somatique (matériel et par conséquent perceptible par nos organes sensoriels) de ce que vous nommez "Homo sapiens".

.../...

Nous achevons de vous signaler que les êtres pensants qui existent sur les relativement rares planètes (voir note 29) habitées, ne diffèrent pas énormément de notre soma (nous avons été surpris par ces fantaisies créées par vos romanciers et même par des biologistes qui postulent l'existence d'êtres basés sur la chimie du silicium ou de monstres intelligents polypodes, monophtalmes, à la peau gélatineuse, etc.).

Note 29 : [...] Si nous présumons que dans d'autres macro accumulations d'étoiles les conditions doivent être similaires, c'est parce que nous constatons ces lois biologiques par la preuve statistique d'enregistrement de planètes habitées. Le résultat fut favorable et les lois ont été confirmés par l'expérience. Les frères intelligents qui les peuplent possèdent des traits anatomorphiques très spécifiques (boîte crânienne étendue, organes génitaux avec un clitoris développé, doigts des extrémités réunis par l'intermédiaire d'une membrane, épiderme légèrement écaillé, paupières cornées, villosité sur les fesses, dans certains cas absence de molaires, poumons volumineux, pharynx protégé par des membranes perméables...).

Naturellement, comme vous ignorez cette série de lois, vous vous trouvez à un stade culturel où de telles hypothèses peuvent proliférer et provoquer la spéculation des scientifiques.

Conditions pour l'apparition d'humains

Lettre D99
Nous savons qu'une hypothèse phylétique qui postule de nombreux degrés de liberté pour que le message génétique s'exprime dans toutes les classes de structures biologiques d'ordre supérieur est inexacte. Si le milieu écologique est adéquat et analogue à celui que nous connaissons sur nos OYAA respectives, l'apparition "d'humains" comme vous nous appelez ou bien OEMII selon notre idiome, sera possible. Si à l'inverse, les conditions biophysiques sont contraires, à un degré et une estimation que nous vous indiquons ci-dessous, OUI, l'apparition d'autres êtres vivants non "doués de raison" sera possible mais jamais des ÊTRES PENSANTS.

Bien que le fait de vous offrir tous les aspects physiques conditionnants soit complexe, nous sélectionnons quelques-uns parmi les plus importants. Les planètes qui n'ont pas de traits définis à l'intérieur de ces limites, n'abritent pas en leur sein des êtres humains ou pensants qui doivent nécessairement nous être semblables au niveau de leur constitution anatomique.

Spectre des conditions physiobiologiques pour que soit possible la genèse d'OEMII à partir d'AYUUBAAYI (êtres vivants) inférieurs

Température superficielle de l'étoile "solaire" : 6170° K à 4552° K.

Excentricité de l'orbite planétaire : 0 à 0,1766 ± 0,0002.

Temps ou période de rotation : 16 h 31 mn à 84 heures.

Spectre de température sur la surface de la planète : 241° K à 319° K.

Masse de la planète : 2,65.1027 g à 12,01,1027 g.

Pourcentage de gaz atmosphérique à proximité de la lithosphère :

Oxygène : 18 % comme minimum.

Azote : 64 % comme minimum.

Radiation cosmique (valeurs moyennes) inférieure à 0,48 nucléons/cm2 (s) (stéréo-radiant) pour 1,8 GeV/nucléon.

Mais nous répétons que ce ne sont que quelques facteurs d'environnement parmi les plus importants, car les caractéristiques d'un écosystème influent fortement pour fixer le seuil qui permet l'apparition d'êtres humains. Le développement excessif de certaines espèces de micro-organismes a empêché dans certaines planètes la genèse de l'OEMII.

Traits typiques

Lettre D99
Dans un stade spécifique de l'évolution sur un OYAA, les OEMII présenteront des traits typiques qui les différencient d'autres OEMII vivants dans les autres planètes. Voyez, par exemple, dans notre cas, quelques caractères qui nous identifient par rapport à l'Homo Sapiens de la Terre. (Pour des raisons de sécurité nous omettrons la partie de ceux qui affectent notre anatomie extérieure.)

Écorce gazeuse est rare (?)

Lettre D69-4
(Juin 1968) L'entrée de nos vaisseaux dans l'écorce gazeuse qui entoure quelques très rares OYAA présente, comme vous pouvez le supposer, un autre ordre de problèmes graves.

Système solaire

Articles connexes